Il a demandé à sortir de prison pour pouvoir travailler et a affirmé que même libéré, il serait là à son procès qui devrait vraisemblablement se dérouler fin-avril ou début mai. Il s’est montré favorable au port d’un bracelet électronique. A la barre, Toni Musulin a semblé marqué physiquement et moralement par son placement à l’isolement depuis deux mois à la maison d’arrêt de Lyon-Corbas. La décision de la cour d’appel de Lyon concernant sa demande de remise en liberté sera rendue publique mardi.