Président des Nuits de Fourvière, l'élu de Grigny-sur-Rhône Jérôme Bub salue un "modèle vertueux en termes d'argent public" qui "s'autofinance aux trois quarts" et qui a, ces dernières années, oeuvré à une "ouverture vers un public moins habitué de la colline".
Le festival estival est selon lui "un spectacle de proximité par rapport aux machines culturelles que l'on voit ailleurs". Et qui doit "aller vers plus d'éco-responsabilité".
Les Nuits de Fourvière s'apprêtent toutefois à vivre une année 2025 inquiétante, avec les probables efforts demandés par les collectivités écologistes à la culture et au sport. La subvention de la Métropole de Lyon était de 3 278 000 euros l'année dernière, on se dirige vers une coupe d'environ 300 000 euros cette année.
"Rien ne sera sacrifié. On revoit à la baisse un peu partout, on demande aux artistes de faire un effort sur le cachet. On est victime de la mauvaise gestion nationale", promet Jérôme Bub.
Les Coulisses du Grand Lyon sont à retrouver tous les jours à 12h sur LyonMag.com et sur la chaîne Youtube de LyonMag.
00:00 Voeux pour 2025
00:44 Nuits de Fourvière
04:30 Efforts financiers
08:40 Iles et Lônes
10:22 Municipales à Grigny-sur-Rhône
Si les concerts n’étaient pas subventionnés, peu de gens auraient les moyens de se les payer ! Nos chers artistes préférés sont tous de gauche mais leurs cachets , de plus en plus chers, les font entrer dans la catégorie des riches ou ultra riches ou assez riches mais en tout cas bien loin des populeux qui les écoutent !
Signaler RépondreC’est totalement incompréhensible que des concerts soient financés avec l’argent public
Signaler RépondreIl est temps d arrêter cette politique de subventionnement. Que celui qui veut voir un spectacle assume le coût réel.
Signaler RépondreAvec ces méthodes d'un autre temps, les cachets des artistes sont nourris d'argent public et augmentent.
Pour répondre à ce monsieur qui se plaint de la dérive étatique au niveau financier, cela ne date pas d'hier et à une certaine époque son parti était au pouvoir donc porté une part de responsabilité.
3 millions d’euros dans les nuits de Fourvière, c’est affolant! Il n’y a plus d’argent nulle part et on continue de dépenser sans compter l’argent du contribuable.
Signaler RépondreLa métropole qui se plaint de ne plus avoir d'argent va quand même injecter environ 3 millions d'euros dans les nuits de Fourvière ?
Signaler RépondreQuand son directeur dit s'auto financer aux trois quart ? qu'il réduise déjà ses prétentions d'un quart !
Quand à Bruno Bobard, il pourrait faire quelques économies (pour lui 3 briques c'est peanuts, vu que c'est notre argent)