Un appel à la mobilisation est lancé pour le samedi 18 janvier, à Lyon et dans plusieurs villes de France, afin de soutenir l’hôpital public et ses acteurs, au lendemain de la visite de Yannick Neuder, le ministre de la Santé, à Lyon. Portée par le mouvement Victoires Populaires et soutenue par des organisations comme la Ligue des Droits de l’Homme (LDH), Attac France et Médecins du Monde, cette initiative a pour but d’alerter sur l’urgence de sauver le système public de santé.
Un rendez-vous à Lyon pour défendre l’hôpital public
Le rassemblement se tiendra à 10h30 devant l’hôpital Édouard-Herriot (3e arrondissement). Cette mobilisation s’inscrit dans un contexte de crise sanitaire marqué par une épidémie de grippe particulièrement virulente, qui a déjà conduit 87 établissements à activer leur "plan blanc" (ndlr : plan permettant la mobilisation rapide afin d’assurer la continuité des soins lors d’une crise sanitaire).
Alors que les soignants dénoncent des conditions de travail insoutenables et alertent sur les risques pour la sécurité des patients, le vote d’une loi garantissant un ratio minimum de soignants par patient est prévu le 23 janvier à l’Assemblée nationale.
L’objectif : interpeller les députés
En parallèle des rassemblements, une campagne d’interpellation des députés sera lancée dès ce mercredi 15 janvier avec comme objectif, encourager les élus à voter pour cette loi. "Il est impératif de défendre le droit fondamental à des soins de qualité pour toutes et tous", clament les organisateurs, qui invitent les citoyens à se mobiliser massivement.
Nous payons déjà en fait. Et spécifiquement pour ça, on voit bien la ligne sur les feuilles de paye.
Signaler RépondreLes classes inférieures et moyennes paient très nettement leur part. Nous payons pour avoir des lits d'hôpital et des infirmières. Nous ne les avons pas, les taxes ne baissent pas cependant.. en gros on se fait voler, c'est payé d'avance et on n'est pas livré.
Quand c'est une commande internet et que le colis n'arrive pas, les gens sont furax et remuent ciel et terre...
Bien-sur tout le monde souhaiterait sauver nos institutions publique . Tout comme partout en Europe, c'est une politique de liquidation qui est mise en oeuvre . Avec Macron en liquidateur en chef, partout on assiste a la destruction et la reconstruction selon de nouvelles normes . Face aux forces de l'empire, les petits" EWOKS"ne font vraiment pas le poids .
Signaler RépondreOn va solliciter de l'aide de la part des pays qui ont contribué aa l'ensauvagement de la France par le biais de la racaille de plus en plus nombreuse. Principe de pollueur payeur.
Signaler RépondreLa loi garantissant un ratio minimum de soignants par patient va être certainement votée, et après ?
Signaler RépondreIl n'y aura pas les moyens pour la faire appliquer...
Avec les personnages politiques de tous bords que l'on a aujourd'hui ce n'est pas près de s'arranger en France, et pas que dans le domaine de la santé.
Plus personne ne veut rien foutre dans ce pays!
Signaler RépondreC’est ça la réalité !
Alors les hypocrites et autres menteurs, quel va être le nouveau mensonge pour justifier les difficultés de l'hôpital ? Parce que là ils ne peuvent plus dire que c'est la faute aux non vaccinés hein. Vaccins foireux et non fonctionnel au passage ,mais c'est un autre sujet..
Signaler RépondreBref rien de nouveau ici.
Le temps passe et rien ne change en mieux.
Quand je pense que ce pays continue de voler aux français la qualité des soins auxquels ils cotisent, tout ce vol légal, c'est dégoûtant.
Ils peuvent voter toute les lois qu'ils veulent, c'est de l'hypocrisie. Ce qu'ils te donnent d'une main sera repris au double voire triple de l'autre main.
Qui va payer ?
Signaler Répondre