Depuis le 1er octobre 2023, la Métropole de Lyon permet aux employées souffrant de règles douloureuses de bénéficier de deux jours d’absence par mois sur présentation d’un certificat médical.
"Six mois après le début de son expérimentation, la Métropole de Lyon dresse un bilan encourageant des congés menstruels mis en place pour ses agentes", annonçait dans un communiqué la Métropole de Lyon en mars 2024.
Mais l’attaque devant le tribunal administratif menée par la préfecture de l’Isère cette semaine contre les mairies de Grenoble et Échirolles pourrait-elle se reproduire contre la Métropole de Lyon ?
Un premier bilan pourtant positif
En six mois, 107 agentes de la Métropole lyonnaise avaient demandé cette autorisation spéciale d’absence, et la collectivité estime que la mesure s’est mise en place sans impact négatif sur la continuité du service public.
En parallèle, une campagne de sensibilisation a été lancée auprès des agentes et des managers afin de mieux connaître le dispositif et de lever le tabou autour des douleurs menstruelles. La Métropole affirme que cette initiative témoigne d’une politique plus large d’amélioration du bien-être au travail, incluant également la semaine de quatre jours et le congé pour interruption naturelle de grossesse.
Vers une contestation préfectorale ?
À ce stade, aucune démarche judiciaire n’a été engagée contre Bruno Bernard et la Métropole de Lyon, puisque la mesure n'est pas entérinée. Cependant, l’argument principal avancé par la préfecture de l’Isère – la non-conformité avec les 1607 heures de travail obligatoires dans la fonction publique – pourrait être utilisé contre la Métropole de Lyon dans le département du Rhône.
L'audience devant le tribunal administratif de Grenoble est prévue le 6 février.
Vu le sujet, on pouvait s'attendre à ce que les gros bourrins comme toi la ramènent, et on est pas déçu. Je ne sais pas si tu as une idée de l'image que tu donnes de toi-même en écrivant de telles conneries ?
Signaler Répondre" un bilan positif " ......ils pourraient accordé même 1 semaine/mois également aux ménopausées et aux hommes pour qu’ils puissent "soigner" leurs épouses ! Ils ne foutent rien...
Signaler RépondreFaut arrêter de raconter n'importe quoi. Les hommes n'ont pas de règles, seules les femmes en ont. point final
Signaler RépondreC’est une préoccupation qui concerne effectivement les femmes …. et pas les hommes!
Signaler RépondrePourtant , a t’on conscience que notre modèle social est à l’agonie économique !
3200 millards de dettes !
Bruno Bernard n’est visiblement pas au courant !
Je lui conseille d’abandonner cette idée et en même temps de mettre sa Tesla à la casse !!!
Je peux comprendre j ai régulièrement des colliques homériques mais la différence c est que tout le monde s en fout
Signaler RépondreSans oublier le foie et les glandes génitales qui grattent ;-)
Signaler RépondreL'état veux faire venir encore plus d'immigrés, alors qu'on a 3 millions de chômeurs et 2 millions de rmistes!!!!!
Signaler RépondreCertains de vos symptômes sont manifestes. Une équipe de spécialistes peut vous prendre en charge, boulevard Pinel à Bron.
Signaler RépondreEn tant que femme ayant fait de l'adénomyose et donc ayant eu des règles particulièrement abondantes et douloureuses, je suis pour la toute première fois d'accord avec les Verts ! Les hommes ou les femmes ayant des règles "normales" ne peuvent hélas pas comprendre à quel point c'est douloureux et handicapant...
Signaler RépondreOui, inutiles comme les personnes qui sont au rsa depuis 30 ans, alors que les entreprises ne trouvent pas de personnels!
Signaler RépondreL'état voit là des fonctionnaires payées à rester chez elle 10% du temps...
Signaler RépondreFaut pas chercher plus loin.
Au nom de l'égalité homme-femme, le congé prostatique ne pourrait-il pas être envisager ?
Signaler Répondre107 agentes en bénéficient et aucun impact… je crois que tout est dit, ces personnes sont inutiles au bon fonctionnement du service en question ou alors ils n’ont pas interrogés les collègues qui font le boulot à leur place pour avoir leur avis… vivement que ce soit rétoqué. Soit on est malade, on va chez le médecin et on a un arrêt maladie, soit on est pas malade et on va bosser c’est tout
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