La promesse est belle : une ville plus verte, plus respirable, une ville enfin "apaisée". Mais, à observer la réalité lyonnaise de ces derniers mois, on peut légitimement se demander : l’apaisement est-il vraiment au rendez-vous ? Ou sommes-nous en train de sacrifier Lyon sur l’autel d’une vision dogmatique et précipitée de la transition écologique ?
La ville se transforme à une vitesse inédite, sans que ses habitants, commerçants, artisans, professionnels, ou même ses élus locaux, aient le temps ni les moyens de s’adapter.
On ferme des voies de circulation, on réduit des rues entières pour mettre des couloirs à vélo, on choisit de faire des tramways sur des espaces déjà restreints pour mieux renoncer aux projets de métro sous-terrain, on superpose les projets Zone à Faible Emission (ZFE), Zone à trafic limité (ZTL) et les travaux massifs, on augmente le prix du stationnement et des forfaits post-stationnements, le tout sans aucune coordination ni anticipation des impacts.
En résumé, on décide d’éliminer la voiture à coup de pelleteuse et de baguette magique. Résultat ? Le chaos total en matière de circulation automobile, des embouteillages monstrueux et d’une ampleur inégalée, et des familles qui quittent le centre ville pour s’installer en périphérie.
La ville de Lyon est devenue impraticable et les consommateurs habituels fuient la Presqu’île.
Une ville "apaisée" ou un territoire asphyxié ?
Tous les indicateurs économiques sont au rouge et on ne peut pas tout mettre sur le dos du Covid, de la consommation sur internet ou sur la guerre en Ukraine. Alors que le Tribunal de commerce alertait ces derniers mois, nous sommes désormais passés dans une phase plus concrète.
Les commerçants ne ferment plus leurs boutiques par hasard, à la faveur de mauvais choix ponctuels ou d’incidents de parcours. Ce ne sont plus des cas isolés, mais les premières victimes d’un modèle pensé sans eux. Chaque semaine, les annonces de fermeture s’accumulent, et elles ne sont plus anecdotiques : elles sont la conséquence directe des choix politiques imposés à marche forcée ces deux dernières années.
Dernière en date, Cécile Simeone, ancienne présentatrice télé, contrainte de fermer sa boutique de décoration sur le quai Saint-Antoine. "La piétonnisation du centre-ville de Lyon se fait de manière très brutale et rapide, nous n’avons pas eu le temps de nous adapter. Je ne peux pas résister", explique-t-elle, résignée, sur son compte Instagram.
Le chef Fabrice Bonnot, pourtant l’un des visages de la gastronomie lyonnaise, a lui aussi lancé un cri d’alarme dans une tribune où il s’inquiète de la "situation dramatique de la Presqu’île de Lyon".
Jean-Michel Aulas, figure emblématique de Lyon, s’est également exprimé à plusieurs reprises sur les réseaux sociaux pour dénoncer une situation devenue intenable, des embouteillages qui impactent l’activité économique et des problèmes de sécurité. Quand des personnalités aussi différentes que celles-ci disent stop, ce n’est pas anecdotique.
Symbole d’un véritable changement d’ambiance, d’après les médias locaux, le hard-discounter Aldi préparerait son arrivée en plein cœur de ville, à la place du magasin Boulanger. Une enseigne qui incarne tout sauf l’identité lyonnaise. La capitale des Gaules, ville de la gastronomie et des Lumières, serait-elle en train de se fondre dans un paysage urbain sans âme, transformée en une simple zone commerciale standardisée ?
Le dogme comme unique ligne directrice
Il suffit de se souvenir des mots du maire de Lyon à son arrivée : "Je ne veux pas que Lyon soit un poids pour la planète." Une formule choc, mais lourde de sens, pour celui qui annonçait faire de son mandat "le dernier pour le climat". Tout était dit. Pour ceux qui nous gouvernent aujourd’hui à Lyon, il y aurait les "bons élèves", ceux qui comprennent la révolution écologique, et les autres. Ces "non-terriens", pour reprendre l’expression du maire, ces réfractaires au changement, forcément ringards, voire un peu réactionnaires. Ceux-là sont réduits à une "poignée d’excités", comme aime à se rassurer le président de la Métropole, plutôt que de prendre la peine de les écouter.
Sauf que depuis quelques mois, cette "poignée" grossit à vue d’œil. Des dizaines de milliers d’habitants, commerçants, artisans, professionnels de santé, livreurs, parents d’élèves, retraités, se regroupent désormais sous les bannières du Collectif des Défenseurs de Lyon et du Grand Lyon qui agrège des dizaines d’autres associations et collectifs sur tous les projets qui posent problème. Des citoyens de bonne volonté, qui n’ont rien d’extrémistes ni de caricatures, mais qui disent : "Trop, c’est trop." Quand la mobilisation atteint une telle ampleur, ce n’est plus un micro-phénomène. C’est un signe d’un profond malaise. Ignorer cette mobilisation serait une erreur historique.
Une ville en danger de perdre son âme
Ce que nous sommes en train de perdre, ce n’est pas une simple habitude de consommation ou de confort. C’est l’âme de Lyon, son attractivité, son économie. Les transformations en cours risquent d’entraîner un véritable déclassement de Lyon, dans tous les secteurs. Ce qui faisait la singularité de notre ville, son identité forte, est en train de disparaître. Lyon, ce sont des milliers de commerces indépendants, des restaurants emblématiques, une authenticité qui la distingue des autres grandes villes françaises. Ce n’est pas une aire commerciale anonyme ou un simple carrefour de mobilités. C’est la capitale de la gastronomie, la ville des lumières, un lieu de rencontres, d’histoire et de patrimoine. Mais elle est en train de s’éteindre. Littéralement.
Mobilisons-nous avant qu’il ne soit trop tard
Je me fais aujourd’hui le relais de ces milliers de voix silencieuses, tous ces anonymes Lyonnais et grands Lyonnais. Des voix qui n’appartiennent à aucune chapelle politique, des amoureux de leur ville, profondément malheureux de la voir se dégrader jour après jour. Lyon devient impraticable, chaotique, et se vide peu à peu de son âme. Ces citoyens-là ne sont ni des contestataires, ni des militants, ni des extrémistes, mais simplement des Lyonnais qui refusent de rester les bras croisés et sont déterminés à la sauver.
Et nous ne pouvons plus attendre. Nous devons nous mobiliser. Cela ne peut plus être le combat d’une poignée de courageux obligés de prendre la parole et d’affronter la colère de nos dirigeants. Ce n’est pas non plus un combat du dimanche, quand on a un peu de temps libre. C’est un combat pour sauver Lyon. Pour sauver nos commerces, nos artisans, notre gastronomie, notre patrimoine. Parce qu’après, il sera trop tard. Il faut des dizaines d’années pour retrouver ce que l’on a laissé disparaître.
Alors je vous le demande : Aidez-nous à sauver Lyon. Aidez-nous à sauver tous ceux qui en font le sel, avant que cette ville, que nous aimons tant, ne devienne qu’un souvenir de ce qu’elle était.
Alexandra Carraz-Ceselli
Professionnelle des médias et des politiques publiques, Fondatrice de L’Équipe des Lyonnes
la planète se porterait mieux d’après le rapport des satellites qui mesurent les températures mondiales :
Signaler Répondre"L'anomalie de température moyenne mondiale de la basse troposphère (LT) pour janvier 2025 selon la version 6.1 était de +0,46 °C par rapport à la moyenne de 1991-2020, en forte baisse par rapport à l'anomalie de décembre 2024 de +0,62 °C. La majeure partie de ce refroidissement s'est produite au-dessus des océans du monde entier."(données UAH)
les pics de températures de 2023- 2024 seraient dus à l 'éruption sous-marine du Hunga Tonga en 2022, qui a produit de la vapeur d'eau qui est la principale responsable de l effet de serre :
" La vapeur d’eau, qui fluctue entre 0,4 et 4 %, est le principal gaz à effet de serre. (...) le CO2 est le gaz qui a le plus petit pouvoir de réchauffement global"(Ministère de la transition écologique)
une attitude vraiment scientifique serait d'attendre la confirmation de ce refroidissement.
Ok boomer !
Signaler Répondrequel bel argument
Signaler Répondresurtout à mettre un parapluie dans la roue de ces barbares.
Signaler Répondreje suis curieux de savoir qui achète les appart de la guill?
Signaler Répondrefaut peut etre leur apprendre à traverser la rue?
Signaler RépondreC'est évident qu'avec des militants écolos en guise de responsables publics, avec leur activisme ils limitent les perspectives au lieu d'en apporter (ce que feraient de véritables élus responsables) mais voila quand l'idologie passe avant tout, avant les intérêts de Lyon et des lyonnais...
Signaler RépondreJe ne veux pas que Lyon soit un poids pour la planète.
Signaler RépondreOn ne pourra bientôt plus rouler en sisel dernière génération qui consomme 5,4 litres au 100 mais toujours avec une grosse berline ou (sportive)allemande qui consomme 3 fois plus.
Il n'y a rien de mauvaise foi la dedans, juste su bon sens. Ce que n'ont pas ces escrocs.
Pour rappel, TOUTE la population lyonnaise n'a pas entre 18 et 35 ans et n'est pas en capacité de faire du vélo. Ces mêmes cycliste qui disparaissent comme par magie dès que le temps est pourri.
la planete survivra comme elle l'a tjr fait.
Signaler Répondremais il y a des espèces qui vont disparaitre dont potentiellement la notre.
voilà à quoi va ressembler Lyon 😴💤 ville dortoir
Signaler RépondreSauvez la planète , belle utopie . La planète est née d'une explosion . boule de feu devenue bleue elle conserve le feu ardent dans son noyau .Elle a déjà connue des extinctions massives. Une de plus ou de moins c'est son cycle . Elle n'a pas d'âme . Elle finira absorbée dans le feu nucléaire du soleil. Sauvons déjà l'humanité qui phagocyte la planète en pullulant comme certains lapins écologistes.
Signaler RépondreTout comme Simone Sisters, le chiffre d'affaires de Fabrice Bonnot baisse depuis 2016. Mais il accuse les pistes cyclables et la piétonnisation (pas encore faites) !
Signaler RépondreCette tribune est un ramassis de mauvaise foi et de mensonges à chaque phrase. Mais tant pis, la poignée de bagnolaleux est rassasiée.
Je suis d'accord avec l'article sur beaucoup de points, par contre, si vous lisez les avis sur la fameuse boutique de Cécile Simeone, ce n'est pas la piétonnisation qui a tué son business, mais l'incompétence et l'arrogance des vendeurs.
Signaler RépondreVotre commentaire est illisible, tout comme vos "idées".
Signaler RépondreHabiter à la campagne ou en banlieue n'a rien d'écologique. Réduire la prédominance de la voiture est une question de santé publique.
nous ne sommes pas si nombreux ? En discutant avec le voisinage et une partie des habitants du quartier (Lyon 7) je constate que majoritairement la population en ras le bol des Verts, donc la majorité silencieuse à mon humble avis elle n'est pas pro-Doucet ne vous en déplaise.
Signaler RépondreA voir les commentaires l'article de Madame Carraz fait réagir. Ces écrits sont d'une justesse et d'une grande pertinence .Bravo .
Signaler RépondreEll à oublié de mentionner comme principe de fonctionnement de Doucet/Bernard le mensonge.
Dernier en date les 20.000 cyclistes attendus sur la Voie Lyonnaise Vieux Lyon /Grange Blanche ..vous avez bien lu 20.000 cyclistes journaliers .Une affirmation pour mieux faire passer le tout vélo basé sur aucune étude..20.000 par jour ??? sur 10h c'est 2000 cyclistes .Irréalistes et mensonger
Tu parles !... sors un peu soir pour voir des rats ( des vrais ., bien gras ) te partent sous les ieds au gros caillou les pentes taguees et mal fréquentées...saletés et déjections...enduite la ville et la racaille Ui te cherche un pretexte ...ne passes pas à la guille surtout et perruche et l armée des clodos Ui te boufferont ta paie en moins de deux ! Et ne refuse pas une clope sinon tu est mort ! Et le vieux Lyon, oublie !
Signaler RépondreDoucet , ton copain , as une politique à lui ;
donnez moi le pouvoir et l argent dès autres et je ferai de grandes choses !mais il a des poches , lui eet ses acolytes ! Et ils s'en dépêchent de se gaver avant de dégager en 2026!
Les canons les chars les avions de combats les portes avions les bombes..... Eux ne poluent pas...
Signaler RépondrePar Contre nos bagnoles oui ?
Liberté de circulation... Liberté de consommer
Liberté Liberté... Sus aux bobos masos
Aux urnes citoyens
Exact. Les Lyonnais sont très nombreux à penser comme vous (des millions de voix silencieuses, comme l'affirme Carraz-Ceselli). Lyon se débarrasse enfin des voitures de transit. Ces automobilistes pendulaires n'achètent pas mais ils polluent inutilement et impunément. Les quelques commercants qui hurlent dans les médias sont tous des bagnolards militants, et leurs commerces sont défaillants depuis plusieurs années avant l'arrivée des écolos.
Signaler Répondrele 6e n"est pas concerné à ce que l'on sache. Vos 4*4 et SUV pourront toujours empieter sur l'espace public de tous de ce coté.
Signaler RépondreQu'en pense les commerçants et les "vivants".
Vous êtes vous demandé QIUI ACHETE DES APPARTS A la guille ? On laisse bien les événements faire chuter les prix ! Et dans un futur proche , qund les ecolos auront été viré et le quartier rénové, la sécurité réelle ,qui aura assuré ses vieux jours ?
Signaler Répondrebien résumé !
Signaler Répondresi les lyonnais (les silencieux) pensent comme vous?? c est qu'ils sont définitivement abrutis.
Signaler RépondrePour Lyon centre, une seule solution: À fuir
Signaler RépondreÀ laisser aux tagueurs, c’est déjà le cas…
Pour ceux qui restent hélas, ils vont comprendre ce qu’est la vie d’un zoo de cyclards fanatiques…On en reparlera !
l extreme droite refleurira sur la misere induite
Signaler RépondreParce que t'es un guerrier du clavier, t'auras jamais les bollocks d'aller te frotter à l'adversité.
Signaler RépondreExactement. Cette tribune de Carraz-Ceselli ne représente qu'une petite partie des mécontents et des raisons du mécontentement. Le dédain des problématiques sociales et économiques, les mesures excluantes et le mépris de classe de Bernard, Doucet et de leur fanclub sont propres à réveiller les abstentionnistes dont le plus gros contingent est de gauche. NPG n'a pourtant pas cessé de les interpeller... Réaction : l'exclure ! Quand on est xxx on est xxx
Signaler RépondreLe militant Doucet a fait un choix, c'est lui qui le dit : « Lyon ne doit plus être un poids pour la planète »
Signaler RépondreDes orientations qui asphyxient et entravent Lyon et qui sont insignifiantes pour la planète, seulement les dogmes à imposer aveuglement.
...un grand terrain il y en a avait un de libre à l'époque, face à Carrefour Vénissieux, au bord du périph et desservi par le métro et le tram! Les spectateurs auraient eu plus de choix pour s'y rendre que la voiture ou des râmes de tram bondées.
Signaler RépondreMais Jean Mimi n'en a pas voulu puisque Collomb s'est couché devant ses exigences et a fait un tour de passe -passe pour lui permettre d'acheter des terrains agricoles beaucoup moins chers du côté de Décines. Quelques années plus tard, la puissance publique lui a même payé un tram direct et était à deux doigts de lui prolonger le métro. C'est sûr qu'à l'époque Jean Mimi se plaignait moins...
....parce que vous n'êtes pas si nombreux que ça à honnir cette politique, et que la majorité silencieuse se dit que malgré tout on va dans la bonne direction, n'en déplaise aux rageux de Lyon Mag.
Signaler RépondreEn fait, en tant qu'humain, vous ne représentez que 0.00000001 % de la population mondiale : à mon avis, vous devriez carrément ne pas vous poser de questions. L'avantage, en plus, c'est que forcément on pourra toujours rétorquer "je ne représente rien", et faire peser la faute sur les autres. C'est super pratique ! Faites donc 5 gosses, achetez un gros SUV, polluez comme un taré... après tout vous ne représentez rien, mais vous ne serez rien d'autre qu'un égoiste de première, et en pensant comme vous, on est bien dans la mouise. CQFD
Signaler RépondreExcellent article , qui résume bien la majorité de la pensée des Lyonnaise et Lyonnais .
Signaler RépondreMoi qui suis née a la croix rousse je ne reconnais plus ma ville ! Non pas parce que c'était mieux avant.
Non ! Sûrement pas .
Mais par la destruction de l'âme, de l'esprit de notre belle ville .
il faut dire qu'avec un maire qui est pour la désobéissance et toutes les manifestations chaque weekend qui entraînaient de l'insécurité. Nous avons pris l'habitude de ne plus faire nos achats dans la presqu'île et plus généralement sur Lyon .
Monsieur Bruno Bernard et son alcoolique Grégory Doucet ils y ont vu une victoire .
Mais quelle victoire ?
Celle de la honte ! On pour eux . Juste minable dans leurs raisonnement . J.M
Mais pourquoi on supporte tout ça ??? Pourquoi on manifeste pas devant la mairie, ou plutôt autour pour bloqué l’axes au ceux dégénérés et virer pour une fois et pour toujours. Comme ça, Lyon donnera une bonne exemple aux autres villes massacres par les bolcheviques verts.
Signaler Répondreje crois bien que Doucet a bien compter sur l’après Covid pour ses élections. personne ne sortait
Signaler Répondrehttps://www.francetvinfo.fr/environnement/les-suisses-rejettent-massivement-une-initiative-de-responsabilite-environnementale_7064831.html
Signaler RépondreAlors ça c’est écolo tout craché.
Signaler RépondreNous faire croire que si on sauve Lyon c’est foutu, la planète est fichue. Nous faire culpabiliser, ça ne m’étonne pas des écolos.
Et bien, oui, sauvons notre belle ville qui est devenue la ville des kebab et malbouffe avec ses fast food. Ses belles boutiques ferment les unes après les autres pour ne laisser que des chaînes.
Les restaurateurs coulent. Ça mendie de tous les côtés.
On peut très bien faire cohabiter écologie sans faire une ville morte.
ça nous fait une belle jambe de voir de la verdure de partout si on est obligé de commander sur Amazon.
Tous les lyonnais qui se sont éloignés de Lyon n’y remettent plus les pieds.
On se retrouve avec des migrants, de la mendicité et des jeunes désœuvrés qui traînent. Tout ce beau monde ne fait pas marcher l’économie.
shame on you!
tout les quartiers lyonnais sont surtout victimes d'un grand remplacement,
Signaler Répondresuffit de se voiler la face et ouvrir les yeux
c'est juste un constat... réaliste
Tout est dit! C'est un publireportage.
Signaler Répondre"J'ai bouchonné depuis Tassin / Ecully / St Didier / Charbonniere / etc. et je galère à garer ma Mini dans la rue dans le Carré d'Or devant ma boutique préférée, donc je me sens des ailes de (contre) révolutionnaire"
Il suffit de creuser un peu le profil de la Lionne pour voir qu'elle est loin d'être neutre politiquement et de parler au nom du plus grand nombre.
100% d'accord avec vous mais il reste encore +d'un an et c'est de pire en pire tous les jours certains travaux n'ont même plus de feux de travaux et la circulation devient très dangereuse même pour les transports en commun
Signaler Répondre(J'en ai encore fais les frais la semaine dernière à bord d'un bus)
Et la rue de Grenette est difficile même à pieds, on n'en peut plus c'est clair !
Il faut agir, se mobiliser, ns sommes empêchés de vivre correctement, alors tous ensemble soyons ''LYONNAIS''
pour retrouver notre ville comme ns l'aimions.
Fidèle à LYON depuis toujours.
Lyon n'est plus Lyon ! Habitante d'une petite commune de l'agglomération, je suis très choquée de voir notre beau Lyon avec toutes ses boutiques qui ferment.
Signaler RépondreLa rue de la ré qui était une rue emblématique de Lyon ! Quelle horreur avec tous ses fast food, non mais la ville de la gastronomie avec de tels commerces aux alentours de notre belle place Bellecour, et en plus qui ramènent une population qui cherche plus a racketter qu'à travailler !!!
Ou sont nos belles brasseries !!! Lieu convivial ! Pour l'instant une seule reste !!!
A ces chers écolos, ils pensent avoir la science infuse.....
Et sans parler du centre, quartier Gerland....
Et toutes les tentes de migrants bien cachées sous le pont de la gare vers la place jean Macé....
Et quartier de la Guillotière ou les gens vivent un enfer
Et tout ce que je n'ai pas vu
Mr le Maire, Mr le président de la métropole les Lyonnais vont se rappeler longtemps de votre passage, comme Mr Pradel qui a fait l'échangeur et qui a abîmé cette belle esplanade de la gare Perrache avec vue sur la place Carnot.
Tous ces gens veulent laisser une trace de leur passage, sans penser aux autres !!!
Greg veut sauver la planète avec l'écriture inclusive, des fresques murales et des couleurs LGBTXYZ++ sur les passages cloutés.
Signaler RépondreMoi je me suis cassé il y a quelques années et je ne reviendrais plus quoi qu'il arrive, je suis bien mieux à la campagne, les mentalités sont complètement différentes et le confort de vie y est bien meilleurs pour moins chère.
Signaler RépondreUn cauchemar digne du film " DARK CITY" , on ne peut rien faire ! A chaque fois je me rendors devant " C NEWS"
Signaler RépondrePas grave !
Signaler RépondreTu quitteras notre ville en 2026 avec doucet et ses petits copains ....
Et moi je suis très content d'habiter à Lyon, sans sa politique "écolo", mais je dirai plutôt "pragmatique", je ne serai jamais resté ausi longtemps.
Signaler RépondreMerci la mairie de nous donner une chance d'avoir une ville agréable et modèle pour l'avenir !
Des chiffres auraient été utiles parce que là c'est juste une tribune de campagne électorale.
Signaler RépondrePour le hard discount à la place de Boulanger, je ne vois pas vraiment la différence, ni le rapport avec la mairie de Lyon.
Enfin, rien sur la presqu'île vide d'habitants : ka spéculation immobilière, les prix fous des logements qui obligent les lyonnais à partir n'ont pas l'air de vous gêner.
Ça ressemble a une multipropriétaire qui se lance en politique parce qu'elle adu mal a se garer...
Tout dévier sur la rocade est.
Signaler RépondreC'est bien bon pour l'est lyonnais
Dans mon cas c'est les vélos qui percutent mes enfants et ce dés qu'ils sortent de notre immeuble qui donne sur grande avenue de la ville.
Signaler RépondreTes potes on va les dégager en 2026.
mais c est VOUS qui les avez élu et ce n'est pas ici sur LM !! aux urnes citoyens
Signaler RépondreBravo pour cet article qui regroupe tout ce que pense un grand nombre de lyonnais!
Signaler RépondreOn en peut plus de toute ces stupidités, de cette argent jeté par les fenêtres (comme les 77 000 euros pour la fontaine du parc de la tête d'or pleine de bouteilles plastique, une œuvre d'art soit disant!), de cette écologie qui ne pense qu'au bobos, aux gens en pleine santé capables par exemple d'aller à l'hôpital en vélos ou en bus!
Même les touristes hésitent à s'arrêter désormais au vu des coûts des parkings, des embouteillages.