La Préfète du Rhône, Fabienne Buccio, a exprimé sa volonté de fluidifier le dispositif d’hébergement d’urgence en mettant fin à l’hébergement de certaines familles, dont celle des familles de Gilibert. Leurs droits ne remplissaient plus les conditions requises. Une décision approuvée par le président de la République, Emmanuel Macron.
Dans ce contexte, le collectif Jamais Sans Toit a adressé une lettre à Grégory Doucet, appelant à son aide. Ils demandent de ne pas engager cette procédure d’expulsion visant les habitants du site de Gilibert et de continuer à tout mettre en œuvre pour leur garantir un logement digne et adapté à leur vie familiale. Après trois mois d’occupation, plusieurs ménages ont trouvé des solutions d’hébergement, mais 60 personnes restent toujours sur place, dans le 2e arrondissement.
"Ce faisant, il porte atteinte aux deux principes intangibles qui régissent le droit à l'hébergement d'urgence : l'inconditionnalité et la continuité. Dans ce contexte inquiétant, il serait absolument indigne de remettre ces familles vulnérables à la rue. Nous souhaitons que les services du CCAS ou un opérateur social puissent désormais intervenir régulièrement auprès de ce public fragile", déclare le collectif dans sa lettre.
C'est bon, vu avec doucet !
Signaler RépondreIls vont avoir une piste cyclable qui leur sera réservée 👍
Collectif à dissoudre sans attendre
Signaler Répondresans toi(t)...humour poussif
Signaler RépondreLes illégaux servent de masse de manœuvre à l' extrême gauche.
Signaler Répondreoui tu as raison
Signaler RépondreLe droit au logement c'est normal
Pour les gens qui bossent et se crèvent le cul
Tu veux accueillir la terre entière?
Donne ton RIB a impots.gouv
Moi j'ai déjà donné!
Le droit au logement ne concerne pas les étrangers, c'est bien écrit dans la constitution que ça concerne que les citoyens, c'est écrit noir sur blanc mais les pseudos experts de gauche y retrouvent à redire alors que pour les DOM-TOM qui sont français on l'applique pas alors que c'est totalement inconstitutionnel et là étrangement y'a personne pour réclamer quoi que ce soit...
Signaler RépondreLe seul cas qui pourrait être litigieux c'est concernant celui des citoyens de l'union européenne qui sont presque comme des français mais par traité toute personne européenne qui n'a pas les moyens de vivre dans un pays hôte de l'UE n'a pas le droit de rester.
Donc le droit au logement c'est que pour les français et je signale encore une fois qu'il faut plus de 3 ans pour construire un immeuble, que le BTP licencie en masse donc on a pas l'effectif pour en faire et qu'on en construit plus assez depuis plus de 15 ans et qu'on est officiellement en pénurie.
Bravo à vous, vous avez tout à fait raison, d'abord les expulsions et après voir la misère chez nous.
Signaler RépondreCommençons par renvoyer tous ceux qui sont en situation irrégulière, ensuite on pourra s’occuper des français dans la misère…
Signaler RépondreNombre exponentiel d'arrivée, encouragé par les rouges-verts, depuis leur arrivée au pouvoir à Lyon
Signaler RépondrePopulations vulnérables instrumentalisées par des associations en quête de subventions publiques
Il faudrait que la CRC se penche un peu sur ce phénomène et le coût pour la collectivité et les contribuables lyonnais...
Toujours sans moi
Signaler RépondreUn logement digne?
Signaler RépondreMais vous vous croyez ou?
Moi, je bosse
Je paie des impôts
J'en ai marre des sangsues qui arrivent en France et qui veulent tout gratos
Le collectif sans toit peut les prendre chez eux .
Signaler RépondreVous pouvez y aller, c'est Nicolas qui paie.
Signaler RépondreIl sont optimistes de demander de l'aide au Doudou, il n'en a rien à faire, sauf s'ils bossent gratuitement pour faire des pistes cyclable.
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