La LDLC Arena, située à Décines dans la métropole de Lyon, est en train de devenir une option sérieuse pour accueillir les épreuves de hockey sur glace des Jeux olympiques d’hiver 2030.
Initialement, le tournoi masculin et féminin devait se dérouler dans une patinoire temporaire installée dans le stade de l’Allianz Riviera à Nice. Mais ce plan rencontre aujourd’hui plusieurs obstacles, notamment d’ordre financier et technique, rapporte RMC Sport.
Selon les premiers chiffrages, l’aménagement de l’enceinte niçoise représenterait un coût particulièrement élevé —des dizaines de millions d'euros— avec des aménagements complexes et des incertitudes sur la tenue de la glace dans des conditions climatiques parfois douces.
À cela s’ajoute l’impossibilité pour l’OGC Nice (club de football) de jouer à domicile pendant une période prolongée. Ces éléments fragilisent ainsi le projet azuréen à mesure que les échéances se rapprochent.
En parallèle, la LDLC Arena avance des arguments solides. Construite récemment et déjà adaptée aux normes du hockey, la salle multifonction de Décines a été retenue pour coorganiser, avec Paris, les Championnats du monde de hockey sur glace en 2028. Une expérience grandeur nature qui servira aussi de répétition en cas de sélection pour les JO.
Le coût total d’adaptation à Lyon serait, selon les éléments évoqués dans le dossier, nettement inférieur à celui du projet niçois. De quoi relancer le débat alors que le comité d’organisation doit trancher d’ici le 23 juin.
du surf sur glace
Signaler RépondrePas un euro pour ces foutreries ! Qu’ils aillent les faire au Groenland leurs fichus jeux pour milliardaires. Il ne manque ni glace ni neige la haut. Et c'est gra-tuit. Point barre.
Signaler Répondreholidays on nice...
Signaler Répondreça y est on tient notre expert en économie ! LoL
Signaler RépondreLe hockey un vrai sport pas comme les danseuses du ballon rond
Signaler RépondreEn tout cas, il gère mieux sa carrière que notre maire actuel qui végétait à moins de 50 k€ dans l'associatif avant de se découvrir une passion pour la ville de Lyon.
Signaler RépondreJean-Mimi Aulas via son groupe familial Holnest doit se frotter les mains !
Signaler RépondreIl a quand même un peu trop d'attaches entrepreneuriales dans le coin pour ne pas risquer les suspicions de conflits d'intérêts...
C'est tous les JO 2030 qui rencontrent des obstacles financiers et techniques.
Signaler RépondreNos dirigeants perchés n'ont toujours pas compris ce qui pourtant se prépare depuis 4 ans : une crise majeure qui n'en est qu'au commencement.
Mais pas grave, continuons comme ça.