L'objectif était de présenter les stations et les sites qui pourraient accueillir les épreuves sportives des Jeux Olympiques d'hiver 2030.
"Ces trois jours ont permis de montrer l'engagement des territoires, l’avancée des réflexions et la qualité des échanges avec le CIO. Nous poursuivons la construction d’un projet à la hauteur des défis de notre époque", a réagi l'ancien skieur.
La délégation s'est rendue notamment à La Clusaz (Haute-Savoie), Le Grand-Bornand (Haute-Savoie) et Courchevel (Savoie), mais aussi dans la Région Sud à Nice, Briançon, Montgenèvre, Serre Chevalier et la Salle-les-Alpes. Ils ont pu sur place rencontrer les acteurs institutionnels, techniques et sportifs impliqués dans la candidature française.
"Un des objectifs de cette visite était de vivre l'enthousiasme et la détermination de la totalité des parties prenantes. Nous avons constaté leur volonté de réussir et de travailler ensemble. Visualiser les sites et évaluer les aménagements depuis la candidature était également crucial pour comprendre les risques et opportunités actuels", indique Pierre-Olivier Beckers, vice-président du CIO et président de la commission de coordination du CIO pour les JO 2030.Aux côtés d’ @edgar_grospiron, président du COJOP 2030, de Pierre-Olivier Beckers-Vieujant, président de la Commission de coordination pour les JO d’hiver, et des équipes du CIO, du COJOP et de la @SOLIDEO_JOP — pour visiter les futurs sites olympiques de Nice, dont le futur… pic.twitter.com/NymGLarY3h
— Christian Estrosi (@cestrosi) April 22, 2025
La prochaine étape arrive vite puisqu'il s'agit de la validation des sites retenus, qui est espérée pour cet été. Il restera ensuite quatre ans et demi pour préparer les Alpes françaises à recevoir les épreuves des Jeux Olympiques d'hiver.
Et pendant ce temps, l'état cherche des milliards. Combien ça coûte, et combien ça rapporte en retombées fiscales?
Signaler RépondrePas sur Lyon et alentours, merci !
Signaler RépondreC'est quand même curieux que des épreuves de patinage à Nice, pour des jeux dit "réfléchis sur l'écologie, les distances..."
Signaler RépondreNice est juste difficilement accessible par rapport aux autres sites et le climat et les infrastructures inexistantes compliquent les choses.
Il y a avait des villes comme Annecy, Chambéry, Grenoble qui auraient pu accueillir le patinage. Même Lyon aurait eu plus de sens par rapport à l'accessibilité