RESF et un collectif de soutien demande toujours la régularisation de ce père de famille angolais sans-papier. Il vit caché depuis sa remise en liberté le 8 avril dernier, loin de sa compagne et de ses enfants, de peur d’être de nouveau arrêté. C’est la semaine prochaine que la cour administrative d’appel doit se prononcer sur la validité de l’obligation de quitter le territoire français qui pèse sur Guilherme Azanga. Celui-ci vit en France depuis 8 ans. Mardi soir, 5 000 lettres de soutien seront déposées à l’attention du préfet.
Avec vous tous ! Bravo pour votre mobilisation !
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