La justice soupçonne cette figure des nuits parisiennes d’avoir présenté des prostituées, mineures dans le cas de Zahia, à des personnalités en échange de commissions sur les passes. C’est dans le cadre de cette affaire que des joueurs de l’équipe de France ont été entendus comme témoins. Abou reste sous contrôle judiciaire. Des déclarations de Zahia, indiquant qu’elle n’avait jamais eu d’intermédiaire, ont sans doute accéléré sa remise en liberté.