Manifestation de soutien aux artistes de la « Friche »
Un collectif d’extrême gauche organise lundi soir un rassemblement à 18h place Guichard, dans le 3e arrondissement.
Il souhaite exprimer son opposition au projet de réaménagement urbain de la friche RVI. Le Grand Lyon souhaite déménager les artistes dans les bâtiments Lamartine, dans le 3e arrondissement, d’ici fin juillet.
J'ai habité pendant quatre ans au 78 Avenue Lacassagne juste derrière la friche RVI, je suis donc un riverain de la friche.
J'ai vu de la lumière et entendu de la musique, je suis donc allé voir. Et oh miracle, j'ai rencontré des artistes qui font la même chose que moi, des paysages surréaliste de type Visionnaire. Cela m'a permis de confronter mes expériences avec certain et de facto ils m'ont proposé de rejoindre un collectif.
En six ans j'ai énormément appris, c'est extraordinaire d'avoir cette liberté de création, liberté de paroles, liberté de création et liberté de travail non soumise a des impératifs pragmatique et mercantile. Cet état d'esprit permet de créer dans de très bonnes conditions.
Pour ce qui est des nuisances en tout genre, je pense qu'il est bon de dire que le parking de la friche est devenu un dépotoir grâce a ces même riverains qui n'ont aucune vergogne pour abandonner toute sorte de choses. J'ai déjà vu mes voisins se débarrasser à moindre frais de vieux téléviseurs, de vieux matelas, de cartons et des meubles en tout genre. Ceux là même que j'ai entendu conchier la friche alors que deux jours avant je les avait vu faire leur grand ménage de printemps sous mes fenêtres.
Quant aux fenêtres parlons-en. Avenue Lacassagne le bruit ne vient pas de la friche, il vient des voitures de pompiers et de police qui passent toutes sirènes hurlantes de jour comme de nuit. (Rappelons que c'est quand même le quartier des hôpitaux) J'en ai pour preuve qu'un jour j'étais à ma fenêtre et que vois-je, deux voitures de police a fond les ballons toute sirènes hurlantes venir de très loin du bout de l'avenue, puis piller comme des fous au feu rouge (devant le 78 avenue Lacassagne). Les deux fenêtres des véhicules s'ouvrent et là j'entends un policier lancer : Eh t'as vu comme je t'ai dosé dans la ligne droite.
Et ceci n'est pas un événement isolé, c'est fréquent.
En discutant avec des vieux riverains qui ont connut l'usine en fonctionnement. Tous s'accordent a dire que lorsque l'usine tournait a plein régime c'était 24/24 H des aller et venues incessant de camions de livraison, des machines outils qui tournaient non stop y compris le W-E, avec une nuisance sonore moyenne de 75 décibels. Pour rappel un moteur de mobylette c'est moins de 50 décibels.
Alors la friche bruyante, a d'autres s'il vous plait.
Je n'ai jamais vu un frichard se permettre de faire pipi dans la rue, par contre des clodos qui n'ont aucun rapport avec la friche, oui souvent.
Vis-à-vis des tags qui nuisent à l'environnement et devant la colère de mes voisins, je suis allé voir un collectif de peintre et je leur ai demandé s'ils pouvaient me donner de la peinture pour que je repeigne le mur mitoyen d'avec la friche. Parce que si on avait dût compter sur la mairie on seraient encore entrain d'attendre. Ils n'ont fais ni une ni deux, ils m'ont donné 30 litres de peinture et c'est moi qui un dimanche ai repeint le mur. Je l'ai fais plusieurs fois, les voisins n'ont jamais dit merci.
Maintenant l'attitude de la mairie me fait penser au parallèle suivant : On donne à un prisonnier un petit chat qu'on lui laisse élever, puis quand le chaton est devenu un matou, on le lui retire et on le tue sous ses yeux ?
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J'ai habité pendant quatre ans au 78 Avenue Lacassagne juste derrière la friche RVI, je suis donc un riverain de la friche. J'ai vu de la lumière et entendu de la musique, je suis donc allé voir. Et oh miracle, j'ai rencontré des artistes qui font la même chose que moi, des paysages surréaliste de type Visionnaire. Cela m'a permis de confronter mes expériences avec certain et de facto ils m'ont proposé de rejoindre un collectif. En six ans j'ai énormément appris, c'est extraordinaire d'avoir cette liberté de création, liberté de paroles, liberté de création et liberté de travail non soumise a des impératifs pragmatique et mercantile. Cet état d'esprit permet de créer dans de très bonnes conditions. Pour ce qui est des nuisances en tout genre, je pense qu'il est bon de dire que le parking de la friche est devenu un dépotoir grâce a ces même riverains qui n'ont aucune vergogne pour abandonner toute sorte de choses. J'ai déjà vu mes voisins se débarrasser à moindre frais de vieux téléviseurs, de vieux matelas, de cartons et des meubles en tout genre. Ceux là même que j'ai entendu conchier la friche alors que deux jours avant je les avait vu faire leur grand ménage de printemps sous mes fenêtres. Quant aux fenêtres parlons-en. Avenue Lacassagne le bruit ne vient pas de la friche, il vient des voitures de pompiers et de police qui passent toutes sirènes hurlantes de jour comme de nuit. (Rappelons que c'est quand même le quartier des hôpitaux) J'en ai pour preuve qu'un jour j'étais à ma fenêtre et que vois-je, deux voitures de police a fond les ballons toute sirènes hurlantes venir de très loin du bout de l'avenue, puis piller comme des fous au feu rouge (devant le 78 avenue Lacassagne). Les deux fenêtres des véhicules s'ouvrent et là j'entends un policier lancer : Eh t'as vu comme je t'ai dosé dans la ligne droite. Et ceci n'est pas un événement isolé, c'est fréquent. En discutant avec des vieux riverains qui ont connut l'usine en fonctionnement. Tous s'accordent a dire que lorsque l'usine tournait a plein régime c'était 24/24 H des aller et venues incessant de camions de livraison, des machines outils qui tournaient non stop y compris le W-E, avec une nuisance sonore moyenne de 75 décibels. Pour rappel un moteur de mobylette c'est moins de 50 décibels. Alors la friche bruyante, a d'autres s'il vous plait. Je n'ai jamais vu un frichard se permettre de faire pipi dans la rue, par contre des clodos qui n'ont aucun rapport avec la friche, oui souvent. Vis-à-vis des tags qui nuisent à l'environnement et devant la colère de mes voisins, je suis allé voir un collectif de peintre et je leur ai demandé s'ils pouvaient me donner de la peinture pour que je repeigne le mur mitoyen d'avec la friche. Parce que si on avait dût compter sur la mairie on seraient encore entrain d'attendre. Ils n'ont fais ni une ni deux, ils m'ont donné 30 litres de peinture et c'est moi qui un dimanche ai repeint le mur. Je l'ai fais plusieurs fois, les voisins n'ont jamais dit merci. Maintenant l'attitude de la mairie me fait penser au parallèle suivant : On donne à un prisonnier un petit chat qu'on lui laisse élever, puis quand le chaton est devenu un matou, on le lui retire et on le tue sous ses yeux ?
Signaler RépondreAvec vous les gars !!! Tenez-bon !!!
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