L'affaire remonte à 2007 quand Montebourg avait rencontré un patient se disant victime de racket de la part d'un chirurgien d'une clinique privée de Chalon. Dans une publication locale, le député avait alors déclaré que le praticien réclamait des pots-de-vin. Pour la chambre correctionnele, le chirurgien n'était pas assez identifiable pour dans la publication de campagne du socialiste. Arnaud Montebourg, ainsi que son directeur de publication Fabien Soulage, ont tous deux été relaxés.