Il s’agirait d’un réacteur de troisième génération proposé par Areva, d’une puissance de 1 000 mégawatts. Un modèle moins puissant que l’EPR d’EDF, qui développe 1 600 mégawatts. Selon les propos du dirigeant, relayés sur le site internet de la Croix, « la demande a été déposée », sans préciser le lieu de cette éventuelle implantation. Gérard Mestrallet avait déjà laissé entendre au début de l’année 2010, dans Les Echos, que la mise en service du futur (et hypothétique) réacteur pourrait intervenir « peu après 2020. »