La justice refuse donc d’imposer à Bouygues Telecom de démonter l’antenne relais qui surplombe la cour de cette école primaire du 5e arrondissement. Depuis plus deux ans le collectif de parents de cet établissement se battait contre l’opérateur craignant les effets des ondes sur la santé des enfants. Ils sont par ailleurs condamnés à verser 1500 euros de dommages et intérêts à l’opérateur téléphonique. Cette décision ne rassure en rien Jean-Michel Dumoyla, le président de ce collectif. « Comme on s’aperçoit aujourd’hui qu’il y a des alertes sur le Médiator, comme il y en a eu sur l’amiante longtemps avant que le justice ne le reconnaisse, nous sommes dans le même cas de figure avec les antennes-relais, explique-t-il. Il y a toutes les autorités compétentes qui, à leur niveau, émettent des alertes et recommandent la plus grande vigilance, et le système qui estime que ce n’est pas suffisant pour avancer. » Le collectif étudie maintenant la possibilité de se pourvoir en cassation. Les parents d’élèves attendent également l’installation des antennes de l’opérateur Free, qui a d’ores et déjà passé des conventions avec plusieurs mairies de France, notamment Paris, pour baisser le voltage de leur antennes. Ils espèrent ainsi que les trois opérateurs historiques s’aligneront sur ce modèle.
il y a deux ans, quelques familles sont parties de l'école pour cette raison... cela aurait eu plus d'impact si elles n'avaient pas scolariser leurs enfant dans l'école privée du quartier qui est à 30m d'une antenne relais !
Signaler Répondreperso je changerai mes enfants d école et si bon nombre de parents peuvent le faire ce serai un sacré buzz!!! tout est une affaire de gros sous et l etat n en a que faire de la santé de nos enfants!! inadmissible et ecoeurant
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