Le niveau d'alerte à la pollution aux particules fines a été étendu à toute la région Rhône-Alpes en l'absence de vent. Par voie de conséquence la vitesse autorisée sur les routes est rabaissé de 20km/h sur les axes où elle dépasse les 70 km/h. Plus inquiétant encore, ces pics de pollution récurrents ces 3 dernières années ont fait baisser l'espérance de vie des lyonnais de plus de 30 ans de 22 mois, selon une récente étude européenne.
Face au niveau de pollution que nous avons actuellement il serait temps que nos élus fassent preuve de courage politique. En raison du prix de l essence actuellement, nous pourrions preuve exemple sur l espagne qui vient d'abaisser la l vitesse de circulation des autoroutes, baisser les tarifs de train et reduire de 50% l'eclairage urbain ! Nous, pendant ce temps, en france, on continue a rouler avec nos 4x4, faire du jogging en pleine pollution et à etre toujours plus malin que toute le monde....Pauvre france !
Signaler RépondreYvan, l'alerte à la pollution concerne les particules fines = circulation automobile, notamment des diesels. Absolument rien à voir avec l'activité industrielle.
Signaler RépondreIl n'y a que la nature (pollution) qui va pouvoir nous débarrasser de gégé, car ce n est pas avec les zozos de droite qu'on va s'en sortir.
Signaler RépondreC'est extrêmement grave ce qui se passe à Lyon depuis le début de l'année ! Il ne s'est pas passer une semaine sans qu'il y ai un ou plusieurs jours, sans alerte à la pollution ! Voila, maintenant que c'est toute la région Rhône Alpes qui est touchée ! De mémoire, c'est une première ! Réduire la vitesse, sans contrôles et amendes ne sert à rien, vu le peu de civisme affiché sur les routes. Les politiques au pouvoir devront se pencher rapidement, sur la question des sites polluants situés au nord et au sud de l'agglomération. Questionnement sur l'arrêt total de la production pendant et quelques jours après les alertes à la pollution. La question de leur déménagement devra être posée aussi. C'est une question de prévention du risque important pour la santé publique.
Signaler RépondreL'étude disait 6 mois...
Signaler Répondre