Dès le premier jour d’audience, et une fois la menace d’un renvoi du procès écartée, il a été question de la campagne électorale de Gérard Collomb pour la mairie de Lyon en 2001. L’ancienne responsable de l’association Léo-Lagrange de Saint-Fons a reconnu l’existence d’un prêt au profit du candidat lyonnais, ce qui renforcerait la thèse d’une gestion opaque des finances socialistes locales. Gérard Collomb et son adjoint aux Finances avaient été entendus comme témoins lors de l’instruction.
Yves Mongenot, ancien maire de Saint-Fons et l’un des quatre prévenus, s’est lui aussi présenté à la barre. Il a confirmé l’existence de ces enveloppes allouées à Léo-Lagrange mais a invoqué la bonne foi. Une partie des sommes était de fait utilisée pour développer les actions de quartiers.
Le deuxième jour d’audience sera consacré à l’examen de l’expertise demandée par Michel Denis, élu maire de Saint-Fons en 2001. Cette expertise était chargée de chiffrer les fameuses enveloppes.
gerard collomb mélé a ça?? j'y crois pas!!!!lui si honnete , je n'y croit pas du tout!!!
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