L’entreprise a été placée en liquidation judiciaire la semaine dernière
et les salariés bloquent depuis le site pour empêcher le démantèlement
des machines.
Le Préfet a d’ores-et-déjà annoncé la possibilité de poursuite
judiciaire car certaines garanties n’auraient pas été respectées lors du
précédent rachat.
Cela ne suffira pas pour Stéphane Navarro, le délégué CGT de Véninov,
qui n’espère qu’une chose : l’arrivée d’un nouveau repreneur.
« Ce n’est pas que nous sommes indifférents à cette suite au pénal qui
se profile, confie le délégué syndical. Nous, on craint pour nos
emplois. Alors ce qu’il nous faut, c’est un repreneur. Et très vite,
précise-t-il. Le préfet doit rencontrer une personne de chez Gerflor et
recontacter l'autrichien Windhager-Garden, qui seraient potentiellement
intéressés. N’importe qui peut de son côté essayer de retrouver un
repreneur. Nous allons également essayer par le biais de la mairie, de
la Région de trouver. »
Deux autres tables rondes sont prévues le 12 août prochain et début
septembre pour faire un point sur l’avancement des ces dossiers.
Les entreprises sont devenues des zones de non droits financières.
Signaler RépondreIl n'existe pas de brigade financière compétente pour enquêter sur les bilans, rapport de gestion, cession d'actions, transactions et autres opérations douteuses d'entrepreneurs peu scrupuleux.
Un patron en activité me disait en 2007 qu'il était stupide de voler des biens personnes au vu des peines de prison encourues alors que pratiquer des opérations frauduleuses en entreprise ne comportaient très peu de risques au pire un redressement financier payé par l'entreprise elle même;
Elle est pas belle la vie !!!
Sur le site d'un autre mensuel lyonnais, j'ai pu y lire un article plus détaillé.
Signaler RépondreNotamment, on y apprend que l'adjoint "socialiste" à l'économie, du Grand Lyon, diffusait aux éventuels repreneurs un message rassurant, malgré les alertes légitimes des salarié(e)s, sur des faits de gestion douteux...
Vous allez voter pour qui en 2012 et 2014 ?
Comment peut-on dans le même temps voter pour des partis qui prônent toujours plus de modialisation et demander aux organismes publics d'intervenir pour sauvegarder la production en France ?
Signaler RépondrePlus de 80 % des français votent pour l'UMPS soit au final pour le développement de la mondialisation et quand vient leur tour de perdre leur emploi ils s'en remettent à l'état.
Signaler RépondrePauvres français incohérents !