Privée de sa délégation à la culture après un désaccord avec la maire
Annie Guillemot sur le choix de l’architecte qui construira la future
médiathèque brondillante, Elisabeth Brissy-Queyranne avait demandé au
tribunal administratif la levée de l’arrêté municipal à l’origine du
retrait.
Les requêtes présentées par cette dernière ont été retoquées par la juridiction, au motif que le retrait de délégation «
ne repose pas sur des motifs matériellement inexacts et n’a pas été
inspiré par des motifs étrangers à la bonne marche de l’administration
communale », rapporte Le Progrès dans son édition de mercredi.
Annie Guillemot éjecte ( ou tente d'éjecter) systématiquement toute personne , politique ou pas , qu'elle juge dangereuse ou au moins dérangeante pour son pouvoir personnel. Point.
Signaler Répondrepétition signée
Signaler RépondreStop aux : épouse de..., fils de.... qui ne font de la politique que pour satisfaire leur égo et surtout toucher des indemnités .
Signaler RépondreStop aux politiciens/politiciennes de gauche comme de droite qui ne pensent qu'à LEURS INTERETS.
Pour info, pétition à signer :
http://www.mesopinions.com/Lettre-ouverte-aux-candidats-à-la-présidentielle-pour-l-abolition-des-privilèges-petition-petitions-e528dc312fbb88b75dac472cb09c3a30.html
La mafia socialiste qui s'en remet au Tribunal Admnistratif.
Signaler RépondreAh quand la mafia russe qui saisit le Tribunal Correctionnel ?
L'empire familial Queyranne ne supporte pas qu'on lui résiste.
Signaler RépondreMme Guillemot va l'apprendre à ses dépens.
Voila une excellente décision !
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