La vendeuse d'un magasin bio de Brignais affirme n'avoir emporté que des produits destinés à être détruits. Il s'agit selon elle d'une pratique courante chez les salariés, mais l'enseigne bio réfute cette affirmation et a porté plainte pour vol. L'employée de son coté a décidé de saisir le conseil des prud'hommes de Lyon. Cette habitante de Saint-Genis-Laval affirme que le magasin voulait se débarrasser d'elle à cause de son âge, 54 ans, et de plusieurs absences pour arrêt maladie. Pour son avocat ce licenciement est une décision « brutale, abusive et inhumaine ».
Finalement les marchands de produits bio sont autant attirés par le fric que les supermarché, rien à voir avec la santé publique ou le goût des bons produits
La peine est moins lourde quand il s'agit de pilleurs d'argent public (indemnités indues, emploi fictif de maîtresses ou d'épouses, véhicule de fonction utilisée à titre privé, ...).
MORALITE : mieux vaut piller l'argent public que subtiliser quelques fruits et légumes.
Ah les bonnes poires que nous sommes !!!
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Dans les chartes "développement durable" que le bio est censé représenté, n'existe-il pas un fondement qui insiste sur le rôle social ?
Signaler Répondrea l'aide Vite reviens Jean Valjean !!
Signaler RépondreFinalement les marchands de produits bio sont autant attirés par le fric que les supermarché, rien à voir avec la santé publique ou le goût des bons produits
Signaler RépondrePourquoi Messieurs Rivalta et Barriol n'ont-ils pas été évincés après avoir volé l'argent des contribuables au Sytral et condamnés pas la justice ?
Signaler RépondreLa peine est moins lourde quand il s'agit de pilleurs d'argent public (indemnités indues, emploi fictif de maîtresses ou d'épouses, véhicule de fonction utilisée à titre privé, ...).
Signaler RépondreMORALITE : mieux vaut piller l'argent public que subtiliser quelques fruits et légumes.
Ah les bonnes poires que nous sommes !!!