Le Préfet a indiqué "que c'était un colloque privé, avec un repas privé" et qu'il ne pouvait donc pas intervenir sur ce dossier. C'est un "rassemblement de nostalgiques", a-t-il également commenté.
SOS racisme, la Ligue des droits de l’Homme, la Licra et des élus Verts
de la ville de Lyon avaient déjà demandé l’interdiction de ce
rassemblement de groupuscules d’extrême-droite, en hommage au Maréchal
Pétain. La préfecture explique notamment que l’événement n’a pas été
déclaré comme une manifestation publique, il est donc difficile de
l’interdire.
Tout a fait d’accord la liberté de parole est primordiale, la liberté de se rassembler aussi, interdire à quelque vieux réacs de se réunir dans la nostalgie est pathétique, contre productif pour démontrer l’absurdité de ses courants de pensées qui de toute façon sont a la marge.
Signaler RépondreCe qu’il faut dénoncer c’est cette gauche qui nous manipule et qui essaye d’intervenir au plus profond de nos cerveaux pour nous faire adhérer a leurs pensées et contribuer à leur laisser le pouvoir.
Voir tous ces jeunes gauchiste pseudo révolutionnaires qui finiront un jour sénateur et petit notable aux revenus conséquents tjrs prêt a dénoncer l’extrême droite ,devrait mieux s’occuper de la misère quotidienne en se retroussant les manches pour aider ces gens a travers des associations de terrain.
Si la France est une démocratie - ce dont je doute parfois tellement il y a des pensées dites autorisées et d'autres interdites - ce colloque doit pouvoir avoir lieu. Personne n'est obligé de s'y rendre. Je ne vois pas où est le problème.
Signaler RépondreMerci à l'extrême gauche qui à force de galvauder le terme "extrême droite" et de qualifier ainsi tous ses contradicteurs, les pouvoirs publics n'arrivent plus à différencier la vraie extrême droite, celle qui se réunit samedi.
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