Concrètement, Philippe Brunet-Lecomte, fondateur et directeur de publication du Lyon Mag papier pourrait fait l’objet de l’ouverture d’une nouvelle information judiciaire, après avoir été déjà inquiété pour de faux bilans supposés. Cette fois-ci le Parquet s’intéresse à des dépenses très importantes réalisées entre 2002 et 2008 aux frais de Lyon Mag, pourtant placé en procédure de sauvegarde par le Tribunal de commerce. D’après Lyon Capitale, Brunet-Lecomte aurait donné de luxueuses réceptions dans sa villa des Monts d’ Or, il aurait également été vu avec le « tout-Lyon » dans des soirées mondaines et il aurait surtout fait des cadeaux de tous types (séjour dans des hôtels de luxe méridionaux et voyages lointains) à des hommes politiques lyonnais. L’intéressé devrait par ailleurs avoir à donner des explications sur son passage de Lyon Mag à Mag2Lyon, passage dans lequel un certain nombre de ses salariés se sont retrouvés sans emploi et qui aurait laissé plusieurs millions d’euros d’impayés.
Philippe Brunet-Lecomte pourrait désormais être renvoyé devant le Tribunal correctionnel. Il encourt 5 ans de prison et d’interdiction de gestion et exclusion des marchés publics, ainsi que 75 000 euros d’amende.
A noter que Lyon Mag a été repris en 2009 suite à sa liquidation judiciaire par la société Espace Group qui n’est nullement concernée par cette affaire.
Tombé par hasard sur cet article accusateur. Un tissu de contre-vérités.
Signaler RépondreUne enquête a été ouverte, il y a près de trois ans, sur ces soit-disant faux bilans de Lyon Mag sur l’insistance du Pdg de Fiducial qui a tué notre magazine parce qu’on refusait qu’il en prenne le contrôle. De nombreux témoins ont été entendus et je ne suis toujours pas mis en examen, tout simplement parce que le dossier est vide.
D’ailleurs s’il a de nouveau porté plainte aujourd’hui c’est parce que le Pdg de Fiducial a compris que cette affaire allait être classée.
Mais affirmer que j’ai vécu la grande vie sur le dos de Lyon Mag est un pur mensonge inventé par ceux qui tentent de me discréditer et discréditer le combat de Lyon Mag pour son indépendance. Je n’ai toujours vécu que de mon salaire de journaliste (environ 4 000 euros). Je signalerai enfin que la comptabilité de Lyon Mag a été volée au moment de sa liquidation pour réapparaitre étrangement quelques semaines plus tard, amputée de nombreux documents. Mais je crois qu’on va bientôt découvrir qui est derrière toutes ces manipulations.
Vous pouvez me retrouver sur le blog que je viens d’ouvrir : http://philippebrunetlecomte.typepad.com/blog
J’étais un lecteur assidu de Lyon Mag, j’ai participé à des forums proposé par Lyon Mag et qui étaient toujours intéressant !
Signaler RépondreJ’ai croisé l’équipe de Lyon Mag et je me suis laissé séduire par leur dynamisme.
Ils nous avaient annoncé plein de projets fabuleux (radio, télé, développement national.. et j’ai investi quelques millier d’euro, qui compte tenu de mes revenus représente une somme importante.
J’ai tout perdu et il semble que la direction menait grand train de vie sur le dos de la société, si c’est le cas ce qui doit être démontré cela est vraiment inacceptable.
Certes.
Signaler RépondreNéanmoins, la créance de l'ex imprimeur de Bron qui a disparu dans les comptes du mandataire, a dans l'autre imprimerie du groupe à Bron également, les mêmes avocats et huissier que Lyon Mag de Brunet-Leconte.
Etrange, non ?
J’ai toujours le même plaisir a lire Mag2lyon ,poil a gratter des choses établies !
Signaler RépondreComment peut-on déontologiquement représenter le créancier et son débiteur ?
Signaler RépondreC'est pourtant l'exploit de deux avocats et d'un huissier remerciés par Brunet-Leconte page 297 de son livre La Mouche.
Cezane, il n’y a pas que la facture de ce pauvre imprimeur qui me trouble, toute la gestion de cette société est troublante !
Signaler RépondreLe système Lyon Mag consistait a payer les premières factures aux imprimeurs rubis sur ongle, ensuite on laissait trainer et lorsque les sommes était suffisamment insupportable pour le fournisseur on inventait une soit disante malfaçon afin de pouvoir être dilatoire auprès des tribunaux, voir arriver a négocier des abondons de créances très importante profitant que l’imprimeur étranglé ne pouvait supporter une décision de justice qui prenait des années.
Ce qui est très troublant dans l'affaire Brunet-Leconte sont les facures impayées à un imprimeur de Bron qui n'apparaissent pas dans les créances du mandataire.
Signaler RépondreArrêtez de fantasmer ! Philippe brunet Leconte faisait son travail de journaliste à savoir dénoncer toutes les magouilles de la droite lorsqu’elle était au pouvoir à Lyon et cela dérangeait bien évidement certain.
Signaler RépondreQui a tué Brunet Leconte ? Comme par hasard le tres droitier Latouche !pour le compte de qui ?
C’est dommage ce magazine qui par sa réussite était une exception en France, aucunes villes de province possédait un mensuel a fort tirage et indépendant.
Nous avons Mag2lyon gérée par les anciens de Lyon Mag similaire dans la forme, dans le fond il manque des enquêtes approfondies, courageuses et perspicaces.
J’espère que Lyon Mag aura le courage de publier mon intervention !
Une petite étude s’imposerait, je vous propose d’analyser les pages de publicités achetées dans le journal de Brunet Leconte par les promoteurs et mettre cela en perspective avec les investissements habituels de cette profession dans les magazines ????
Signaler RépondreA Lyon lorsque l’on était promoteur, pour obtenir la bienveillance de l’urbanisme de ‘Lyon et le grand ‘Lyon un petit investissement dans Lyon Mag s’imposait cela mettait de l’huile dans les rouages.
Les services de l’urbanisme faisaient normalement leur travail, mais le politique avait sa main qui tremblait beaucoup moins lorsqu’il apposait sa signature pour les permis de construire ou autre demande.
Philippe Brunet Leconte était soutenu a bout de bras par Collomb, les pages de publicité achetées aux prix fort par la mairie et le grand Lyon et surtout des opérations spéciales, tel que suppléments, opération événementiel qui permettait de moins exposer l’implication de la mairie mais qui coutait une fortune pour des opérations totalement bidon.
Signaler RépondreJ’espère que la brigade financière sera aller jusqu’au bout de l’opération ‘’la journée de la mode ‘’complètements financée par le contribuable et qui était une escroquerie totale.
Que fait actuellement Brunet Leconte ? tjrs a Lyon ? dans quel projet ?
Signaler RépondreGA
Signaler RépondreLes amis et brunet leconte sont des perdraux de l année fassent au redoutable mahé. Qui n'a pas fait des affaires avec mahé ne peut pas comprendre. quant a vous GA vous tenez certainement plus du rigolot que du redoutable
A l'époque je collaborais bénévolement au tribunal de commerce et je peux vous dire que P. B Leconte terrorisait beaucoup de monde du président au juge en passant par les administrateurs.
Signaler RépondreOn savait que ce dossier était limite pénale, mais les pressions et surtout la peur de se faire allumer dans les pages de son nouveau canard à entrainé un étouffement de l’affaire.
Tout a été fait pour qu’il puisse faire racheter le titre par ses amis, cela en a stupéfié plus d’un lorsque il s’est fait doubler a l’hôtel de vente.
Enfin la justice avance... Philippe Brunet Leconte a profité de son pouvoir pour être un des acteur principal des dérives du pouvoir journalistique. Instrumentalisé par Barre et ensuite soutenu par Collomb et ses amis chefs d’entreprises Brunet Leconte a franchis la ligne jaune sous l’œil bienveillant des notables lyonnais !
Signaler RépondreAbus de bien social, corruption diffamation Lyon Mag à ses heures de gloire a rependu de la souffrance chez des personnes qui osaient ne pas penser comme ce media.
Ce qui est drôle c’est que le titre soit repris par une de ces victimes et je vous dis bravos ! Certain ne doivent pas dormir, la justice est longue mais lorsqu’elle n’est pas empêché peut être persévérante.