Dans un communiqué, elle affirme qu’elle « refuse d’être culpabilisée, manipulée, ballotée entre l’absolue nécessité de trouver des solutions humaines et dignes aux côtés des associations et l’impérieuse responsabilité d’assurer la sécurité de mes administrés, de faire respecter la loi avec la Préfecture ». Ajoutant qu’une « nouvelle fois, les villes, leurs maires, leurs élus sont pris en otage ». Jeudi, la Ville de Vénissieux a tenté de trouver des solutions pour ces Roms, mais le 115 n’a pas pu apporter de réponse.
Michèle Picard rappelle qu’elle réclame depuis deux ans la tenue d’une table ronde placée sous l’égide du préfet, avec toutes les villes de l’agglomération, le Conseil général et le Grand Lyon, afin d’apporter une « réponse décente et digne » aux 800 personnes roms, qui errent dans l’agglomération. « Aujourd’hui se renvoyer la patate chaude ne sert à rien », conclut la maire de Vénissieux.
Ce n'est pas aux collectivités de pallier aux insuffisances des dites"associations". Les membres de ces groupes de défenseurs des roms devraient en revenir à la notion de "solidarité immédiate", à savoir prendre chez eux ces malheureux au lieu d'exiger que chacun d'entre nous y contribue, via l'impôt. On les considèreraient comme des bienfaiteurs, de braves gens sans aucun doute, qui assument sans rien demander leurs élans humanitaires tout en souffrant que tout le monde ne les partage pas.
Signaler Répondrele stalinien Gérin n'as qu'à faire comme tous les communistres chinois, cubains ou coréens....une bonne répression policière !
Signaler RépondreNos élus, ces pompiers incendiaires...
Signaler RépondreLa gauche ne peut pas à longuer de discours humaniste venir se plaindre que des personnes en difficulté viennent dans leur commune trouver refuge.
C'est marrant!
Signaler RépondreUne fois de plus, tous le monde veut acceulir des roms, mais a une seul condition très très très loin de chez soi .
C'est le côte un peut faux c..l De certains de mes compatriotes.
http://rebellyon.info/Occupation-du-centre-social-de.html
Signaler RépondreOccupation du centre social de Parilly par des familles rroms
Communiqué de presse de la Ligue des Droits de l’Homme (LDH), Médecins du Monde (MDM), C.L.A.S.S.E.S (Collectif lyonnais pour l’accès à la scolarisation et le soutien aux enfants des squatts), RESF (Réseau éducation sans frontières).
Lyon, le 11 novembre 2011
Une quarantaine de personnes occupe pacifiquement depuis jeudi matin 10 novembre le centre social de Parilly à Vénissieux. Ce sont des familles rroms qui ont été expulsées d’un terrain voisin.
Nos associations ont été appelées à l’aide par ces familles. Nous nous sommes retrouvés à gérer la situation d’une quarantaine de personnes, dont 14 enfants (un bébé de trois semaines) dans un local qui n’est pas prévu à cet usage : trop petit (50 m2) avec un seul wc sans lumière, sans matelas, sans couverture, sans nourriture.
En réponse à cette situation, la mairie de Vénissieux n’envisage que des concertations à long terme, nécessaires bien sûr, mais qui restent sans effet. Dans l’immédiat, la mairie n’a pas trouvé de solution auprès du 115 pour héberger ces familles dignement et ne propose rien.
Elle contraint les associations à assumer - seules et sans moyen – la situation au risque qu’elle pourrisse.
Localement, face à une telle urgence, des solutions concrètes et rapides doivent être apportées par les différentes institutions responsables : l’Etat, le Conseil général, le Grand Lyon et la ville de Vénissieux.
Ce n’est pas aux associations de pallier les défaillances de ces institutions.
Conférence de presse vendredi 11 novembre à 17h au
Centre social de Parilly
27 rue J.Guesde
69200 Vénissieux (métro Parilly)
http://rebellyon.info/Occupation-du-centre-social-de.html
la solution on la connait tous! Qu'ils rentrent chez eux la voilà la solution, y a marre de tous ces gens. gueant au secours....
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