Après avoir répondu sur les cas Puel et Gourcuff, Aulas a évoqué la situation actuelle du PSG.
Rivaliser avec le club francilien, dopé par les massifs investissements
des Qataris, sera compliqué dans les années à venir : "Sur le plan
sportif, je pense que cette année on peut le faire. Sur le futur, ce
sera évidemment difficile et pour le faire, il faut gagner la bataille
des trois ans qui nous séparent du stade. (…) Ce qui serait difficile
pour le football français, et injuste, c’est qu’il y ait un seul club
qui bénéficie de cet investissement."
Justement, la tâche serait plus simple si les deux clubs disposaient des
mêmes moyens. Et Jean-Michel Aulas s’est dit prêt à discuter avec des
investisseurs, qataris ou autres, mais seulement pour un rachat partiel : "Il n'y a pas
d'obligation ou d'envie de vendre tout ou partie du club. Par contre,
discuter pour envisager l'avenir avec des partenaires minoritaires
attachés à la croissance et la mise en valeur du football français,
pourquoi pas ?"
L’homme fort du club, qui a toujours attaché beaucoup d’importance à
prendre un successeur sérieux et formé (Philippe Sauze semblait un temps favori), aurait peut-être changé d’avis. Un virage pragmatique qui n’est pour
le moment que purement hypothétique.
pourtant ... il nous disait que les investisseurs "faisaient la queue" pour mettre leur pompom au sommet du stade
Signaler Répondredu genre de Franck Riboud, qui lassé de tant d'empressement de la part de JMA pour poser un naming DANONE, lui avait finalement dit :
"lache moi les baskets"
http://www.footmercato.net/ol-aulas-voulait-un-danone-stadium_58237
Il ferait mieux de discuter avec Carton Rouge. Le conseil de déjà 4 ans : allez à Gerland. Il ne faut pas essayer de "péter plus haut qu'on le derrière". Quand on n'a pas le sou il ne faut pas jouer au riche.
Signaler Répondrewwww.carton-rouge-decines.fr