Dans l’édition de Noël de l’hebdomadaire lyonnais, Claude Puel parle
avec quelques mots bien choisis sur sa chute en tant qu’entraîneur… Et
sur ce qui en découle. Le technicien, qui ne se qualifie pas "de rigide et d’austère", confirme qu’il continue la procédure aux Prud’hommes pour
contester son licenciement de son poste d’entraineur, un an avant la fin de son contrat, et demande 5 millions d’euros à
son ancien club. "Cela prendra le temps qu’il faudra mais j’ai
confiance en la justice", confie Puel au journaliste Olivier Vassé. Et
il se défend après les attaques de Jean-Michel Aulas sur le bilan
2010-2011 du club et sur la baisse des revenus qui ont fait patir l’image de
l’équipe et de son manager : "Chaque transfert a été réalisé avec l’aval
du président et de son conseiller. […] Je sers encore de paratonnerre.
C’est un jeu stratégique pour cacher les erreurs de gestion."
Claude Puel, qui dit encore habiter à Lyon, même après l’apparition de
tags insultants sur les murs de son domicile, estime avoir été victime d’une démobilisation générale autour de son
projet, avec une "ambiance pesante". "Je ne suis ni un homme de
réseaux, ni un manipulateur", affirme l’homme qui estime aussi être à
l’origine de l’éclosion des jeunes pousses de l’OL qui font aujourd’hui
la fierté de l’effectif. "Quand je me balade en ville, j’ai beaucoup de
retours sympas", assure enfin l’ex-coach, "la plupart des Lyonnais
ont compris que l’on ne peut pas me rendre responsable de tous les maux."
il ne faut plus aller aux matchs ;lacombe et aulas sont responsables de la decadence lyonnaise
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