"Qu’ils le veuillent ou non, le combat et la philosophie politique de
François Bayrou et Dominique de Villepin sont très proches", confie
l’ancien ministre délégué à la promotion de l’égalité des chances. Une
position qui tranche avec celle de Yann Werhling, porte-parole du MoDem,
qui assurait mardi sur France 2 que la question n’était
pas "à l’ordre du jour." Pour Villepin, l’ambition est beaucoup plus
large. Il appelle à "un rassemblement national, au-delà des partis."
Azouz Begag a décidé lui de ne pas choisir entre les deux candidats. "Les deux hommes ont la même école de pensée républicaine, diamétralement
opposée à Nicolas Sarkozy, explique-t-il. Je ne me sens donc pas en
contradiction." Le Gone du Chaâba, au diapason de Villepin, veut faire
sauter les frontières partisanes en 2012 pour tendre vers "un
gouvernement d’union nationale." "Face au dégoût qu'ont les Français de
la politique, il faut un accord a minima entre François Hollande – s'il
parvient à se libérer du joug de l'extrême gauche –, François Bayrou,
Dominique de Villepin", tranche Begag.
"Comment Michel Mercier peut être l'un des piliers du MoDem ?"
L’homme en profite pour régler ses comptes avec Michel Mercier. En congé
du MoDem depuis 2009, l’ex-trésorier du parti orange est devenu entre
temps Garde des Sceaux de Nicolas Sarkozy. "J'aimerais demander à Yann
Wehrling comment Michel Mercier, ministre de la Justice du gouvernement
Fillon, peut être l'un des piliers du MoDem et soutenir à demi-mots
François Bayrou dans cette présidentielle", pique Begag. Un louvoiement
qu’il interprète ironiquement comme "une drôle leçon de cohérence donnée
aux Français." "La proximité de Michel Mercier avec le MoDem tient de
l'étrangeté politique", conclut-il, se réjouissant a contrario de la
probité de Dominique de Villepin. "Ni lui ni ses soutiens ne sont
parties liées à Nicolas Sarkozy", se réjouit Begag.
@ Toc Toc , comment pouvez-vous lire et comprendre si vous ne savez pas encore écrire?
Signaler RépondreBEGAD c'est qui ?
Signaler Répondre@Lucien : Un tel mépris, à l'égard d'un écrivain de talent, qui a eu de surcroit, le privilège d'exister à un niveau gouvernemental, est d'une stupidité qui n'a d'égale que votre ignorance. Cette attitude est l'expression de petites personnes sans intérêt...
Signaler RépondreSi Begag avait rejoint Collomb, il aurait aujourd'hui une investiture incontestée aux législatives...
Signaler RépondreComment faire parler de soi et exister médiatiquement, quand on a rien à dire et faire, d’intéressant ?
Signaler RépondreParler des autres...
Mercier, Bernard Lehideux etc..., Bayrou s'entoure de personnalités douteuses
Signaler RépondreCitoyen : "La proximité de Azouz Begag avec la politique tient de l'étrangeté du cirque"
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