Il s’agit de Sorbonne Universités, Sorbonne Paris-Cité, Paris-Saclay,
Toulouse et Aix-Marseille. Les projets universitaires "Hesam", Lyon,
Grenoble et de l'université de Lorraine n'ont en revanche pas été
retenus. Les dirigeants de l’université de Lyon seront reçus
prochainement par le ministre de l’Enseignement supérieur, Laurent
Wauquiez, et par René Ricol, chargé du grand emprunt.
Trois campus universitaires avaient déjà été désignés en juillet 2011
lors d'une première vague: Strasbourg, Bordeaux et "Paris Sciences et
Lettres". Au total, ces huit campus doivent se répartir 7,7 milliards
d'euros, surtout sous forme de dotation en capital. Le processus choisi
est notamment un moyen d’encourager les regroupements universitaires.
c'est normal....Colomb et Bret ont été incapable de défendre le dossier des universités à Paris !
Signaler RépondreLa suffisance des élus qui se répètent non-stop à grand frais que Lyon est un modèle... Et bien oui, chez les élus lyonnais.
Signaler RépondreC'est totalement aberrant, en sachant que le pôle d'enseignement supérieur Lyon-St Etienne est le second de France, avec des établissements prestigieux (ENS, Centrale, EM, IAE, Polytech, IPL, ...)... Sur les 7,7milliards d'euros, 0 pour Lyon. Cela est surement dû au manque d'intégration des Universités Lyon 2 et Lyon 3... L'installation des universités à deux vitesse avance à grands pas!
Signaler RépondreSorbonne Universités, Sorbonne Paris-Cité, Paris-Saclay, Trois universités parisiennes... Franchement, il faudra un jour que ce pays change, et que Paris revienne à sa juste place... Le centralisme a assez duré... Que la deuxième région de France n'ait pas un kopec pendant que Paris cannibalise tout est une aberration...
Signaler Répondre