Autres invités de marque, le secrétaire général de la Francophonie Abdou
Diouf, Jean-Pierre Raffarin, membre permanent au conseil de la
Francophonie et Brice Lalonde, coordinateur exécutif de la conférence
des Nations Unies sur le développement durable. Ecologie, climat et
francophonie y ont été abordés.
"Lyon est la ville française qui représente au mieux la francophonie",
s’est réjouit Gérard Collomb. Pour le sénateur-maire de Lyon, cela ne
fait aucun doute, sa ville est "la mieux placée" pour accueillir à terme
ce forum écologique et francophone. L'agglomération lyonnaise a en effet
un grand nombre d'organisations et de coopérations décentralisées avec
des pays francophones. Côté écologique, un plan climat a été lancé par
la Ville il y a deux semaines.
Les deux chefs d'Etat africains ont également tenu des discours
positifs sur les avancées climatiques et écologiques dans leurs pays
respectifs. "La nature est très importante, il faut apprendre à l'aimer
et à la respecter. On tente d'éduquer les enfants congolais dans ce
sens", explique le président du Congo Denis Sassou Nguesso. Même son de
cloche du côté du président nigérien Issoufou Mahamadou : "Le Niger
essaye actuellement de produire de l'énergie hydroélectrique." Ses
avantages : elle est "propre" et "bon marché".
Problèmes irrésolus
Les engagements écologiques et économiques pris à Cancun ont été
respectés, le Congo a créé un fonds financier avec la Grande-Bretagne et
la Norvège pour résoudre le problème de la déforestation dans les trois
bassins les plus touchés. Mais les deux gouvernements africains présents
lancent tout de même un "appel au don international". Pour eux, la
déforestation est devenu un "sujet mondial". Et si le Congo et le Niger
s'efforcent de préserver la planète, les problèmes climatiques et
écologiques demeurent. "Les pays pollueurs comme l'Europe et les
Etats-Unis ont une grande responsabilité là-dedans", rappelle le chef
d'Etat congolais. Et de "plus grands efforts sont aussi et encore à
fournir de la part de nos deux pays", ajoutent les présidents africains.
Gérard Collomb est d'accord avec eux : "Nous devons réduire les
émissions de gaz à effets de serre. Et pour cela, une solidarité
nord/sud semble indispensable".
C'est un pied de nez de l'Histoire que des présidents de démocraties africaines soient obligé venant à Lyon de subir les logorrhées d'un roitelet de république bananière.
Signaler RépondreVoter pour vous, il ne vous reste plus que cela a faire ! ptdr...
Signaler RépondreEn juin prochain, je vote Thierry BRAILLARD (j'habite LYON 5ème) et en mars 2014, je vote Gérard COLLOMB.
Signaler RépondreEncore une fois, le pouvoir local revêt l'habit du bon élève, pour masquer la réalité environnementale de Lyon.
Signaler RépondreUne réalité, qui est en total décalage avec le discours formaté par ce pouvoir azimuté.
Toute personne qui habite, travaille ou traverse Lyon, quotidiennement, sait que je suis dans le vrai.
En 2011, il y a eu plus de 80 jours d'alerte à la pollution.
L'actualité est parlante:
Depuis quelques jours, il y a une nouvelle alerte. La troisième depuis 2012...
Les panaches de fumées noires qui, s'échappent de la raffinerie de Feyzin !
Chauffer de la pelouse, (pendant que des êtres humains crèvent de froid) et ainsi mépriser les appels aux restrictions de consommation électrique.
Ce pouvoir là se fout vraiment de la gueule du monde !
Vous allez voter pour qui, aux législatives en juin prochain et aux municipales en 2014 ?
GéGé est un effet de serre à lui tout seul !
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