Peu importe qu’ils soient croyants ou athées, ce sont des citoyens français qui travaillent dans l’ombre à tuer des innocents, ruiner nos valeurs et semer la terreur. Le rôle de l’état est désormais de les combattre comme un ennemi intérieur, avec les moyens du renseignement, de la police et de la justice. La tentation de l’amalgame apparaît ainsi comme un frein à cette lutte de la démocratie contre le terrorisme. L’amalgame dilue la réaction légitime d’une nation à l’encontre de ses ennemis dans un débat beaucoup plus large, dont les ramifications sont complexes et relèvent de choix politiques ou économiques. Avec la collaboration de toutes les communautés concernées, il est nécessaire d’isoler tous les activistes ou illuminés susceptibles de basculer dans la folie meurtrière - dont la majeure partie a été manipulée par des forces extérieures - puis les mettre hors d’état de nuire. Cette prise de responsabilité contribuerait à ne pas jeter l’opprobre sur des centaines milliers d’autres citoyens qui subiront à cause d’une origine similaire le discrédit, alors qu’ils sont eux-mêmes des victimes collatérales de cette culture de la haine. L’inspiration religieuse ou politique qu’un criminel revendique pour tenter de justifier des atrocités est illusoire pire inutile, seuls les actes sont coupables et condamnables.
On ne parlera pas de Christian Etelin et de l'appreil judiciaire, on évoquera pas le passé de Prouteau, des pro-palestiniens, des anti présence française en Afghanistan... Chez ces gens là monsieur, on sait mais on n'est pas responsable.
Signaler RépondreLes amalgames, c'est l'ump et le FN qui les ont subis jusqu'à ce que l'identité du tueur soit connue et même après.
Signaler Répondre«On a perdu un temps considérable» sur la piste d'ex-militaires estime Gérard Longuet (20 minutes)
Les amalgames ont même ralentit l'enquête si on en croit M Longuet.
Et cela car une partie de la presse voulait que le tueur soit nazi, pour leurs intérêts politique:
http://hommelibre.blog.tdg.ch/media/02/02/319472912.jpg
Alors je suis d'accord, avec vous, il ne faut pas faire d'amalgame. Mais dans ce cas, je pense qu'une petite critique de vos collègues aurait été de bon ton de sorte que TOUS les amalgames soient combattus.
C est un bon exemple des dérives que la république ne doit plus tolérer .
Signaler RépondreM. Pelet,
Signaler RépondreAvec toute la bonne volonté du monde, si les pouvoirs publics continuent leur complaisance voire dans certaines communes leur complicité, rien ne changera.
Rendez vous les vendredis à partir de 12 h à l'angle de l'allée du Mens et de la rue Louis Jarnet à Villeurbanne, vous avez là une mosquée salafiste où il n'est nul besoin d'être un agent secret pour comprendre que l'on enseigne pas dans ce lieu les valeurs de fraternité de la République.
Et de plus vous constaterez que la circulation sur la voie publique est régie par des membres de cette mosquée et accepté par les pouvoirs publics.
Nous n'y avons JAMAIS vu un seul policier national ou municipal alors que les infractions au Code de la Route y sont la règle.
JAMAIS vu les femmes voilées des pieds au sommet du cheveu qui emmennent leurs enfants dans cette école coranique comme on en voit en Afghanistan être verbalisé comme pourtant la loi le prévoit, etc... etc...
Les mots et les seules bonnes intentions ne régleront pas ces fanatiques qui se comptent par plusieurs centaines rien qu'à Villeurbanne dans cette mosquée.
Venez voir un vendredi à midi à quel point les beaux discours sont vains.