Il sera mis effectif à l’automne prochain. L’objectif est de faciliter le quotidien des résidents motorisés et de soutenir l’attractivité commerciale en privilégiant un stationnement de courte durée. Ainsi, la zone de stationnements payants va être étendue, 1200 places payantes en plus d’après le Progrès. Les contrôles seront également renforcés, six agents de surveillance de la voie publique seront recrutés pour favoriser la rotation des stationnements disponibles. Les résidents recevront une vignette les permettant de bénéficier de tarifs préférentiels. Enfin, la mairie incitera l’utilisation de vélos en installant 200 arceaux supplémentaires, ainsi qu’au stationnement sur le parking Laurent Bonnevay, (occupés seulement à 50% de sa capacité d’après la mairie).
Un plan massif. Pourtant, dans les faits, Villeurbanne ne manque pas de
places : 50 000 stationnements privés pour 52 000 voitures (31% des
Villeurbannais n’ont pas de véhicule motorisés). Mais ce parc est
largement sous-occupé, (40% des places seraient inoccupées la nuit selon
la mairie). Résultat, les 20 000 emplacements publics (dont 1 550
payants) sont pris d’assaut.
D’après la mairie, 200 voitures seraient mal garées de jour comme de
nuit, et le stationnement payant ne serait respecté qu’à 20% à
Villeurbanne. La circulation serait composée entre 10% et 30% de
véhicules cherchant à se garer.