"Il est urgent que le ministère de l'Intérieur réinstaure les patrouilles à trois effectifs" a déclaré le premier syndicat de police, SGP-FO dans un communiqué. Au moment du drame, le brigadier chef de 32 ans assassiné se trouvait avec un seul de ses collègues. Le deuxième syndicat des gardiens de la paix a également tenu à réagir en affirmant: "alors que nos collègues sont régulièrement stigmatisés, ce drame rappelle malheureusement à chacun combien le métier de policier est difficile et dangereux". Claude Guéant, le ministre de l'Intérieur, a répondu à cette polémique naissante. Il a assuré que "l’intervention à deux de fonctionnaires de police était réglementaire", ajoutant qu’une "voiture de la brigade canine était arrivée en renfort rapidement."
respet et condoléence pour la famille pour les hautres policiers est gendarmes bougées vous manifesters car plus sa va est pirre sa sera le pythons
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