Samedi 2 Juin 2012 à 07h49
La fondation Brigitte-Bardot dénonce des tests sur des singes dans le Rhône
Photo d'illustration - LyonMag
Le laboratoire Ricerca Biosciences, basé à Saint-Germain-L'Arbresle, doit mener une étude toxicologique sur 32 macaques.
Selon la fondation, les primates seront gavés pendant deux semaines avec
un médicament. Ils seront ensuite tués et leurs organes seront étudiés.
Le laboratoire, contacté par le Progrès, indique que leurs études sont
conformes à la loi. Contacté par la fondation, le ministère de la
Recherche devrait se prononcer sur le cas Ricerca Biosciences dans les
prochains jours.
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Toujours rien sur le rat écrasé rue de la ré hier, c'est scandaleux
Signaler Répondrea l'école vétérinaire il y à de nombreux chiens qui sont utilisés pour les expériences
Signaler RépondreMerci à Lyon mag de nous avoir informé de ce sinistre protocole de tests. Ce protocole n'est sûrement pas un cas isolé et des animaux meurent plus souvent qu'on ne le pense simplement parce que certains veulent changer le goût d'un médicament, de nombreux animaux sont empoisonnés et tués pour tester des produits déjà commercialisés et dont on connaît déjà les effets sur des patients humains. Or, il ne faut pas oublier que les animaux dans les laboratoires ressentent la douleur, la peur, ce sont des êtres sensibles. On ne doit pas les traiter comme du matériel de laboratoires !
Signaler RépondreD'un point de vue scientifique, la vivisection a montré ses limites. Aucun test sur l'animal ne peut garantir l'efficacité et la sécurité du traitement concerné (voir tous les scandales du type Vioxx, Thalidomide, Mediator alors que ces produits ont été testés sur les animaux). D'un point de vue moral, les associations de protection animale estiment que même si la vivisection était utile, rien ne justifierait que l'on torture et tue de cette façon des animaux. Il est temps d'évoluer vers une science moderne, éthique et fiable qui se basera sur des méthodes substitutives à l'expérimentation animale.
Ah, les scientifiques en sont à synthétiser le vivant, mais mat70 lui, en est encore à vouloir ouvrir des souris .
Signaler RépondreAlors que la médecine du futur agira directement sur les prédispositions génétiques, mat 70 veut que son chien goûte ses médocs avant de les prendre.
C’est bien simple, le modèle animal est tellement proche du modèle humain qu’il va consulter le véto au moindre problème.
Ah, mon bon Mat70, je peux te dire que les tests sur les humains sont pratiqués , je le sais, mes parents étaient dans le milieu médical et c’était le secret de polichinelle dans certains hospices de vieux.
Qu’est ce que tu veux les hommes sont méchants
heureusement que les sociétés développées ont permis à la science de sauver des vies et ce malgré les désagréments pour les animaux sinon ce serait le retour au 18ème siècle
Signaler Répondre"Mieux vaut en rire"? La vivisection n'a rien de risible, elle n'est que souffrance et sacrifices de millions d'animaux, sous couvert de recherches dites "scientifiques", en réalité pour le compte d'une industrie qui engraisse laboratoires, élevages et autres fournisseurs de mort. Il n'y a rien d'altruiste, contrairement à ce que l'on veut nous faire croire.
Signaler RépondreCe sont malheureusement les animaux qui en sont les victimes, mais ce sont les "sans voix" de notre société, à fortiori quand on leur coupe les cordes vocales, pour torturer à loisir.
si je comprend les différents commentaires précédents ,il faut prendre des" cobayes humains" pour tester les nouvelles molécules et protéger les animaux:qui se propose? .Mieux vaut en rire
Signaler Répondreje rassure en assurant que l'innocence des primates innocents sera conservée, tandis que le meurtre prémédité au nom du profit de ce labo est sans doute sous le regard du jugement divin. Cela ne fait aucun doute, On meurt tous un jour, l'homme juge qu'une expérience médicale vaut cette peine, les singes sacrifiés, Les actes, Les choix tout sera apprécié le jour dernier, pour tout un chacun. Pas cool d'être celui ou celle qui osera ôter la vie pour cette expérience. Mais croire que c'est bien pour la médecine, c'est comme demander à un croq mort d'inssufler la vie en mordant dans les orteils...
Signaler RépondreA quand une science éthique et qui ne sert pas les intérêts des labos au détriment de la vie animale et parfois humaine (scandale du médiator dont on connaissait les effets délétères) ?!
Signaler RépondrePersonne n'a relever les dramatiques conséquences des expériences faites sur les élus socialistes :-(
Signaler RépondreLa démache qui consiste à massacrer des espèces pour en soigner une autre est philosophiquement intenable. L'expérimentation animale date d'une période où on pensait que celui-ci n'était qu'une machine. Nos connaissances ont évolué et nos exigences morales aussi , bien heureusement. Nous bénéficions tous d'un adoucissement de notre société. Supprimer la souffrance animale fera évoluer notre culture et donc, nous même.
Signaler RépondreJe ne suis pas scientifique, mais j’en sais assez pour savoir que les individus réagissent différemment à un traitement et que, dans les années futures la médecine traitera les individus en fonctions de leurs risques génétiques.
Signaler RépondreDonc la logique nous dit que tout résultat obtenu sur une autre espèce ne signifie rien et qu’il reste e ncore des années de recherche avant d’obtenir un résultat sur l’homme.
Commencer par tester sur les animaux est aussi illogique que la démarche d’un malade qui consisterait à aller chez un vétérinaire essayer divers traitements avant de consulter un médecin.
Mais ça fait des effets d’annonces, des promesses de jours meilleurs et des demandes supplémentaires de subventions
On recherche des méthodes de substitutions, non par empathie envers les animaux, mais à cause de l’inefficacité du modèle animal.
L’interdiction de se servir d’animaux permettrait à nos chercheurs de mettre rapidement au point des méthodes de substitution d’un rendement bien supérieur et satisfaisant pour l’éthique.
Enfin on parle de cette affaire honteuse dans les media, merci à LyonMag !
Signaler RépondreRetester sur des primates un médicament pour les humains qui est déjà sur le marché n'a strictement aucun sens.
Aucune espèce n'est le modèle biologique d'une autre. Pour information ,les résultats des tests varient selon qu'on utilise des macaques de l'Ile Maurice ou des macaques du Vietnam, alors que peut-on en déduire de pertinent pour les humains ?
Tout ceci n'est pas de la science, c'est juste de la cruauté en vue d'un profit toujours plus grand sur le dos des animaux, être sensibles et conscients qui ne peuvent s'opposer.