Candidat atypique, mais sur de lui, Marc Chinal veut proposer un monde meilleur, qui ne se limite pas à la région rhodanienne, ni à la France, mais au monde entier. Pour le candidat, le seul moyen de s’en sortir, est de créer une nouvelle civilisation, sans monnaie. "La même civilisation, sans le stress, un monde beaucoup plus simple mais pas simpliste". Son programme se décompose en deux phases. Commencer par promouvoir le savoir, comprendre le système économique, privilégier la philosophie, et la psychologie. "Faire un monde meilleur sans connaître l’humain, c’est marcher sur la tête", tempête-t-il. Le bruleur de devises (photo) veut ensuite en finir avec la monnaie qui "fout le bazar". "Tant qu’on usera de la monnaie on est coincé, c’est mathématique", explique-t-il. Concernant son mouvement Voter A-M, il est assez disparate, et ne présente qu’une dizaine de candidats sur toute la France.
Mardi 5 Juin 2012 à 17h11
Législatives à Lyon: Marc Chinal veut "bâtir une nouvelle civilisation"
Marc Chinal LyonMag.com
Candidat du mouvement Voter Après-Monnaie aux législatives dans la 3e circonscription de Lyon, Marc Chinal n’a qu’un seul mot d’ordre: il faut en finir avec la monnaie. L’homme a fait le tour des rédactions lyonnaise pour présenter son projet en brûlant à chaque fois un billet avant de s’en aller.
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l'ancien commentaire avait été tronqué, donc je copie/colle ce que j'avais écrit et qui n'est pas passé :
Signaler Répondre« …...........En tout cas, nous avons démontré que le survisme n’est pas une approche universelle, et ni une science exacte.............. »
Une roche et autres éléments « survivent », c'est à dire « ont une existence qui continue après l'instant T », donc ce principe s'applique à toute chose, il est donc parfaitement universel, et peut parfaitement être une science exacte.
Reste pour vous à ne pas oublier qu'une roche ou tout matériel « non vivant » n'est pas apte à réagir pour éviter le danger, comme le font les êtres vivants qui eux, sont aptes à analyser leur environnement, et à réagir suivant la nature de ce dernier.
Au final, vous vous êtes trompé dans l'analyse.
Ça arrive.
"...................
Signaler RépondreRien à dire sur votre remarque à propos de "approximativement juste", mais vous n'êtes pas un idiot, vous aviez compris de toute façon ce que je voulais dire...................."
oui, j'ai compris que "approximativement juste" ne tient pas la route, comme tout ce que vous écrivez ici.
".................Et moi non plus je ne suis pas un idiot................"
rien ne vaut, vos certitudes :D
"....................Vous défendez l'idée que l'on fait tout pour assurer notre survie....................."
effectivement.
"...............Moi je défends l'idée que c'est plutôt pour avoir de la reconnaissance que nous faisons beaucoup et parfois tout................."
Bravo.
Comme un humain qui se mire dans une glace...
Et l’ermite, il agit pour la reconnaissance des autres ?
Celui qui frappe des enfants, il agit pour la reconnaissance des autres ?
Celui qui prend sa voiture pour tourner en rond sur le périphe, il agit pour la reconnaissance des autres ?
Les exemples invalidant votre approche sont infinis.
"................Pour ce qui est de la mort, et de nos actions dans la vie, je dis tout simplement que la mort est l'aboutissement naturel de la vie, quoi que nous fassions, nous allons mourir................."
oui, c'est une réalité bien factuelle.
Et ?
Et bien rien. A se demander pourquoi vous mettez ça sur la table.
"................L'histoire du morceau de glace:
C'est vous qui écrivez: un morceau de glace peut "survivre" sans être en vie................"
dans le sens où la "survie" est une existence après l'instant T, oui.
Vous ne comprenez pas ce que veut dire "l'instant T" ?
C'est l'instant d'observation, l'instant pris en considération.
Je n'ai rien inventé.
"...................Alors effectivement, il ne survit pas à cet instant T qui n'est pas quelconque mais celui qui met en péril sa vie......................"
...
"....................JE ne suis pas idiot, c'est vous qui faites une grossière erreur dans vos la définition de survie, relisez celles des dictionnaires, moi j'utilise la définition survie du Larousse. ..................."
Définition de Larousse (j'ai l'édition papier 1979 sous les yeux):
survie : n. f. prolongement de l'existence au delà d'un certain terme.
Dire qu'avec votre définition mensongère, une "idée" ne pourrait pas survivre puisqu'elle n'est pas "en vie" !
:D
Si seulement vous pouviez arrêter de mentir, de tromper, de calomnier dans vos échanges avec les autres.
"...............Voulez vous dire par exemple que la glace est de l'eau en "état" de glace?.............."
oui. C'est l'usage du mot "état".
Au final, vous n'avez rien prouvé, rien invalidé. Juste une fois de plus, vous avez eu l'impression d'exister en crachant comme vous le faites ici : "............Bourrin, ce serait presque trop gentils de ma part............"
Oups je n'ai pas "répondu" à cela!
Signaler RépondreRien à dire sur votre remarque à propos de "approximativement juste", mais vous n'êtes pas un idiot, vous aviez compris de toute façon ce que je voulais dire.
Et moi non plus je ne suis pas un idiot.
Vous défendez l'idée que l'on fait tout pour assurer notre survie.
Moi je défends l'idée que c'est plutôt pour avoir de la reconnaissance que nous faisons beaucoup et parfois tout.
Un artiste, un chercheur, un inventeur ne peut se contenter de faire ce qu'il fait le mieux en restant tout seul dans son coin, il a un moment donné envie, besoin de la reconnaissance des autres, et il est prêt à faire encore plus pour enfin obtenir cette reconnaissance.
C'est son moteur dans la vie.
Sans cela il peut devenir fou.
Pour ce qui est de la mort, et de nos actions dans la vie, je dis tout simplement que la mort est l'aboutissement naturel de la vie, quoi que nous fassions, nous allons mourir.
L'histoire du morceau de glace:
C'est vous qui écrivez: un morceau de glace peut "survivre" sans être en vie.
Je vous rappelle que survivre, c'est rester en vie après un EVENEMENT pouvant mettre en péril votre existence, et non pas après un instant présent quelconque.
Un maladie peut survivre à sa grave maladie, c'est a dire, continuer de vivre malgré sa grave maladie.
Un morceau de glace qui comme vous le dites n'est pas en vie ne peut pas survire après un instant T quelconque tout d'abord car comme vous l'indiquez il n'étai pas en vie avant.
Et ensuite car cet instant T est quelconque et ne met pas sa "non vie" en péril.
Ensuite vous faites une confusion avec l'ennoncé de vos propres info. et la vérité.
Sur le blog vous écrivez qu'il survit tant qu'il n'est pas transformé en vapeur.
Je l'ai déjà expliqué, selon vos données, s'il ne vit pas, il ne survit pas.
Mais admettons le contraire, il vit ....
et survient l'instant T qui met en péril sa survie, à l'instant T il est transformé en vapeur.
Alors effectivement, il ne survit pas à cet instant T qui n'est pas quelconque mais celui qui met en péril sa vie.
Donc même dans le cas ou ce morceau de glace qui ne vit pas à une vie, il ne survit pas après l'instant T transformation en glace.
Et alors, j'en reviens à mon argument initial.
La survie n'est pas un principe universel qui s'applique à tout, voir l'exemple du morceau de glace qui fait partie du TOUT mais qui ne survit pas.
JE ne suis pas idiot, c'est vous qui faites une grossière erreur dans vos la définition de survie, relisez celles des dictionnaires, moi j'utilise la définition survie du Larousse.
Fait de survivre, de continuer à vivre : Un malade en survie.
Prolongement de l'existence au-delà de la mort.
Prolongation d'une activité au-delà du moment où elle semblait menacée de disparition : La survie d'une entreprise.
Je ne comprends pas votre concept "état".
Un morceau de glace, une branche, une roche ... sont des états?
Voulez vous dire par exemple que la glace est de l'eau en "état" de glace?
Bref, j'espère que vous même vous êtes en état de comprendre votre erreur de raisonnement.
Je pense que oui, au moins inconsciemment, mais je doute que vous reconnaissiez vous être trompé.
Oui, je reconnais non pas que j'ai accusé le survisme d'être bourrin, mais binaire oui, totalement.
Bourrin, ce serait presque trop gentils de ma part.
Je pense, et vous me poussez dans cette voie tellement bien que cela finit par confirmer mes soupçons, que vous avez monté un scenario de toute pièce, en bon scénariste logicien que dites être.
Tout fait partie du scenario, Hugos le "heros", le livre, le blog.
Votre système de défense (si personne ne dit que ce n'est pas faux, c'est donc que c'est vrai).
La manière dont vous aimeriez que les débats sur le sujet se déroulent (et vos remises en boite de ceux qui n'argument pas, ne suivent pas le fil, ne sont pas connectés sous un pseudo reservé).
Le sexe de vos contradicteurs, je ne vous ai pas dit être une femme ou un homme, mais à mon sujet vous utilisez le terme idiote.
Hé bé....
Signaler Répondrevotre cas empire non ?
D'abord, arrêtez de me confondre avec P. Hugos. C'est lassant.
Si vous voulez ses réponses, allez sur son site, il répond à toutes les questions. C'est dans la partie "forum" de son site.
Ensuite, vous n'avez pas compris qu'il n'y a qu'une seule logique universelle mais que les gens n'arrivent pas aux mêmes conclusions parce qu'ils ne prennent pas en considérations les mêmes valeurs d'information ?
Halala...
exemple : si on vois des traces d'avion dans le ciel, certains y verront des ChemTrails, d'autres y verront de la vapeur d'eau.
Les traces sont visibles des deux, les valeurs des deux sont différentes, les conclusions ensuite sur le danger seront différentes.
Mais chaque raisonnement est d'une logique universelle :
la personne qui y voir des Chemtrails verra un danger.
la personne qui y voit de la vapeur d'eau n'y verra pas de danger.
Cette logique est universelle car chacun, où qu'il soit sur terre, pourra comprendre ces constatations, ces paramètres différents, et ces conclusions différentes.
La logique universelle n'implique pas de "penser tous la même chose".
(une fois de plus, vous confondez tout et n'importe quoi).
Et parfois, la logique universelle fait que des personnes qui ne se connaissent pas, arrivent aux mêmes conclusions, au même cheminement, parce qu'elles sont utilisés les mêmes informations et des valeurs de ces informations, identiques.
"...................Universalité qui n'existe pas dans le syrvisme, je l'ai démontré, vous n'avez pas démenti, donc c'est vrai. ....................."
Les cailloux, les humains, tout ce qui nous entoure dans l'univers dépend de la survie "existence présente tant que rien ne vient détruire cet élément".
Le survisme, issu de ce constat, s'occupe du traitement de l'information par le cerveau.
Il est "universel" également.
Ainsi, lorsque vous écrivez "Mise à part le fait que la survie ne se limite pas qu’à l’humain, mais est universelle, sauf pour le morceau de glace, la roche, la branche d’arbre." dans un commentaire précédent,
vous vous trompez.
J'ai donc démenti votre affirmation comme quoi le "caillou" échappait à cette logique de survie. Personne, rien, n'échappe à cette logique.
Si vous avez un contre exemple...
Quand Hugos pense, tout le monde a compris que Chinal dit, et inversement.
Signaler RépondreDonc Hugos pense, et Chinal dit:
"si vous vouliez réellement sa réponse directe, ça ferait longtemps que vous utiliseriez la page pour lui poser directement des questions.
Mais... vous préférez être ici, à balancer des saloperies du genre :..."
Ça c'est vrai, je préfère m'exprimer ici, de toute façon, je sais qu'il me répond.
Quand Hugos pense, Chinal dit
" Monsieur ou Madame l'inconnu(e), sachez qu'il n'y a qu'une seule logique universelle"
L'universalité à la Hugos, la même que l' universalité concernant la survie ?
Survie universelle qui s'applique à tout, humain ou non...
Sauf au morceau de glace ?
C'est Hugos qui explique cette loi "universelle" sur son blog.
Monsieur Chinal, dites à Monsieur Hugos (vous même je crois) qu' une fois encore il se trompe quand vous dite à propos de la logique
"sachez qu'il n'y a qu'une seule logique universelle, celle qui fait que des chercheurs arrivent aux même conclusions en ne se connaissant pas, mais en prenant en considération les mêmes éléments avec les mêmes valeurs."
Non, il n'y a pas qu'une seule logique pour arriver à une même conclusion.
Mais surtout, de quoi me parlez vous là, auriez vous noyé le poison, ou êtes en train de nous la jouer à l'envers ?
" Ce qui diffère entre vous et moi, c'est l'importance que vous donnez aux différentes informations présentes..."
Quelle importance ?
Quelles informations ?
...
Oui, c'est bien ce que je dis, vous ennoncé votre vérité.
- il n'y a qu'une logique, et des mêmes informations, de mêmes valeur, c'est votre fameuse loi universelle.
Universalité qui n'existe pas dans le syrvisme, je l'ai démontré, vous n'avez pas démenti, donc c'est vrai.
Et vous enchaînez, pour remonter le chemin à l'envers, que je ne donne pas les mêmes valeurs que vous à ces informations, ou peut-être que c'est vous qui ne donnait pas les mêmes valeurs que moi ?
L'un de nous, vous, moi, se trompe sur les informations et leurs valeurs, c'est pour cela que l'on obtient tous les 2 des résultats différents selon vous.
Ouf, Cool comme cela vous sauvez votre théorie de la logique "universelle".
Moi je dis que nous n'avons pas la même logique, et l'un de nous se trompe.
Mais surtout, vous vous ne nous parlez pas des infos et de leurs valeurs qui seraient à prendre en cobsideration!
Est-ce les infos et valeurs que les bons scénaristes (et surtout pas les psy) voient dans la tête des gens ?
N'est-ce pas franchement complètement stupide et incompréhensible toutes ses histoires bancales pour maintenir l'approche du survisme debout ?
Déjà qu'il a perdu son universalité et que l'on ne sait toujours pas qui est son père !
"..................Je vais démontrer que le survisme n’est pas une approche universelle (comme il le dit), et de ce fait ni une science exacte.................."
Signaler Répondrevotre objectif est claire :)
"..............Tout est aproximativement juste..............."
on admire le choix de votre sémantique ! :D
Soit c'est approximatif (ayant des possibilités réelles d'inexactitude) soit c'est juste.
Coller ces deux mots paradoxaux, c'est... vraiment fascinant.
Ensuite, vous écrivez :
« …...................Mise à part l’idée principale « on fait toujours ce qui semble assurer notre survie » qui selon moi n’est pas la ligne directrice qui guide tout nos pas....................... »
donc, on attend ce qui a mené à votre conclusion.
Mais là... vous écrivez : « …......on fait le mieux ce qui nous amène directement à la mort, (c’est le fameux périsme!)........... » (le fameux périsme d'un troll anonyme (voir bien plus bas dans cette discussion).
J'ai relu plusieurs fois car votre construction de phrase n'est pas très claire.
Voulez-vous dire que tout ce qui nous faisons n'empêche pas notre mort ?
Ou ce que nous faisons nous fait qu'accélérer le temps de notre fin ?
Quoi qu'il en soit, en quoi ça vient en contradiction (selon vous) avec la phrase :
« on fait toujours ce qui semble assurer notre survie »
?
Ce n'est pas parce qu'on sait qu'à un moment ça s'arrête, qu'on n'a pas pour autant le désir de tout faire pour que ce soit le plus tard possible, non ? D'où l'instinct de survie.
Si nos choix nous font prendre des risques, c'est encore un autre débat, car ces risques sont en général calculés pour nous apporter des éléments qui « nous plaisent », qui « assurent notre survie » (exemple, sentiment de puissance lorsqu'on est au volant d'une voiture qui va à toute vitesse).
Donc en quoi votre démonstration vous fait arriver à « selon moi n’est pas la ligne directrice » ?
« ….............autres « éléments » métaphysiques qui pourraient survire à la mort physique.
Malgré tout, même cela à une fin, ................... »
Et alors ?
Cette « fin » à vos yeux (suivant les valeurs que vous avez mis à certaines informations) n'est pas la fin aux yeux d'autres personnes. La mort physique d'une personne, c'est net. Mais « la fin », c'est beaucoup plus flou pour un grand nombre de personnes. Elles gardent espoir d'une perpétuation. Un peu comme « avoir des enfants » et survivre à travers eux. Vous n'avez aucune garantie que vous enfants se reproduiront... Mais vous avez cet espoir qui repousse « la fin ».
Est-ce que cela invalide le fait que dans la tête des personnes en question, ces valeurs « dépassent » leur simple mort ?
Non.
« …............ou il « meurt » sans avoir était en vie d’ailleurs !.............. »
faites semblant d'être idiote...
Vous avez parfaitement compris que suivant la définition de « survie » (existence après l'instant présent), il n'y a pas besoin d'être « en vie » pour survivre. Donc un morceau de glace « survit » tant qu'il n'est pas détruit, transformé.
« …..........Mise à part le fait que la survie ne se limite pas qu’à l’humain, mais est universelle, sauf pour le morceau de glace, la roche, la branche d’arbre............... »
et non :
Le morceau de glace, la roche, la branche d'arbre, sont des états qui « survivent » après l'instant présent. C'est l'application de la définition de survie que vous avez vous-même cité plus haut. Comme peuvent l'être des idées et des choses communément qualifiées d'immatérielles.
La survie est donc bien un principe universel.
Et le « survisme », qui se base sur « la survie », est une approche qui s'occupe de la psychologie, du traitement de l'information par le cerveau.
« ….............On peut considérer que se ne sont que quelques « petites » erreurs.
Je les trouve assez grossières malgré tout.
............... »
j'espère que vous avez compris maintenant où était votre erreur de raisonnement.
Au passage,
est-ce que vous vous rendez compte que depuis le début vous accusez le survisme d'être une approche de bourrin, trop « binaire », qui ne prend pas en compte les « subtilités » de l'humain, alors que c'est vous qui ne prenez pas en compte le fait qu'il y a des tas de moyens différents pour « survivre » ? Que chacun fait avec ses caractéristiques, son vécu, etc, mais... que si vous, vous méprisez certaines valeurs, aux yeux des autres ces valeurs sont importantes,
et qu'au final, toutes ces infinités de possibilités vont absolument toute dans cette même finalité ?
- survivre -
Comprenez vous que vous avez fait l'erreur d'assimiler cet objectif « unique » et « absolu », avec l'idée que vous être prisonnier de cette finalité ?
Il n'y a aucune prison réelle, vue que tout peut assurer votre survie, comme tout peut la menacer, cela suivant le dosage, le moment, etc...
Vous êtes face à un paradoxe que vous n'arrivez pas à appréhender :
l'infini des possibilités pour survivre face cet unique filtre que fait notre cerveau dans son traitement des informations :
« survie ou pas survie ? »
« …...........En tout cas, nous avons démontré que le survisme n’est pas une approche universelle, et ni une science exacte.............. »
Une roche et autres éléments « survivent », c'est à dire « ont une existence qui continue après l'instant T », donc ce principe s'applique à toute chose, il est donc parfaitement universel, et peut parfaitement être une science exacte.
Reste pour vous à ne pas oublier qu'une roche ou tout matériel « non vivant » n'est pas apte à réagir pour éviter le danger, comme le font les êtres vivants qui eux, sont aptes à analyser leur environnement, et à réag
Trop drôle, si vous allez psychologiquement mal, pour vous "soigner" (on dit quoi si on ne doit pas employer des termes comme maladie, soins,...?) ou aider, aller voir un ou une scénariste (woddy Allen par exemple, entre 2 séances de divan, il pourra vous recevoir).
Signaler RépondreSi c'est ce qu'il décrit :
Signaler Répondrec'est dans les pages sur la gestion des traumatismes.
"..............le survisme est totalement flou, le scénario déraille............"
oui oui, comme d'hab. Surtout quand ensuite vous dites :
".................donc je ne m'attarde pas à les regarder sachant que de toutes façons elles ne font que mettre des images sur des écrits................"
on sent chez vous le côté constructif :o)
"................... et j'aurais vraiment aimé cette fois que l'auteur du survisme réponde de lui-même...................."
si vous vouliez réellement sa réponse directe, ça ferait longtemps que vous utiliseriez la page pour lui poser directement des questions.
Mais... vous préférez être ici, à balancer des saloperies du genre :
".................A moins qu'il ne fasse les même choses que celles qu'il reproche à celui qu'il déteste le plus.
A savoir mentir, cacher, déformer. ..............."
"....................Monsieur Chinal, je suis ma logique, et surtout pas la vôtre. .................."
Monsieur ou Madame l'inconnu(e), sachez qu'il n'y a qu'une seule logique universelle, celle qui fait que des chercheurs arrivent aux même conclusions en ne se connaissant pas, mais en prenant en considération les mêmes éléments avec les mêmes valeurs.
Ce qui diffère entre vous et moi, c'est l'importance que vous donnez aux différentes informations présentes, et donc, logiquement, vous n'arrivez pas aux mêmes conclusions.
Mais il n'y a qu'une seule logique.
".......................Si ce n'est pas une ligne de conduite qui vous convient, ajoutez mon pseudo (réservé) dans la liste des personnes "indésirables" (qui ne suivent pas votre ligne de conduite)......................"
qu'est-ce que c'est encore que cette idée de "personnes indésirables" ???? J'ai une liste d'indésirables ? C'est quoi ce nouveau délire ?
Je ne censure personne et c'est au contraire les gens qui ne pensent pas comme moi qui m'intéressent.
Sinon, je ne serais pas sur ce blog si la recherche de flatterie était mon but.
PS:
Signaler RépondreMC dit:
"Tant que vous n'irez pas dans la tête de la personne qui vous a agressé, pour comprendre ce qui déconnait chez elle, alors vous continuerez à avoir peur d'éléments "insaisissables", cette peur qui vous ronge, qui peut vous rendre faussement coupable"
Intéressant cela, j'y reviendrais car ce n'est absolument pas ce que le survisme décrit (aller dans la tête du coupable pour SE soigner de la "maladie" qui est soit générée par la culpabilité, soit la culpabilité.
Sur ce point (la maladie) le survisme est totalement flou, le scénario déraille (voir survisme et anorexie je crois).
PS: le concept artistico/informatif de vos vidéos n'accroche pas à la logique de mon cerveau, donc je ne m'attarde pas à les regarder sachant que de toutes façons elles ne font que mettre des images sur des écrits.
C'est votre côté *scenariste*.
Pour rappel, je me remet en haut du post, et j'aurais vraiment aimé cette fois que l'auteur du survisme réponde de lui-même.
Signaler RépondreA moins qu'il ne fasse les même choses que celles qu'il reproche à celui qu'il déteste le plus.
A savoir mentir, cacher, déformer.
Monsieur Chinal, je suis ma logique, et surtout pas la vôtre.
Si ce n'est pas une ligne de conduite qui vous convient, ajoutez mon pseudo (réservé) dans la liste des personnes "indésirables" (qui ne suivent pas votre ligne de conduite).
Toujours pas de suivi de conversation de votre part ?
Signaler RépondreC'est une manie, que vous soyez sous ce pseudo ou l'ancien.
"..................Quand on voit comment sur votre blog du survisme................"
mais bien sûr...
"................D'ailleurs, comment vous faites pour vous " mettre dans la tête" d'un autre ? ..............."
Perso, je suis scénariste. Si je ne peux pas me mettre dans la "tête d'un autre"... alors ça ne fonctionne pas.
Mais comme mes écrits sont "sans valeur" à vos yeux, je vous propose de vous rapprocher d'un(e) scénariste, il ou elle vous expliquera.
"..............Encore un concept scientifique étrange, expliquez nous ?.............."
demandez le aussi aux acteurs et actrices, comédiens, comédiennes.
C'est sûr, ce n'est pas "scientifique"...
".................Autre interrogations, qu'est ce que vous appelez "soigner les victimes", de quelles maladies ou maux voulez vous les soigner ?.................."
avec le survisme, on "n'appelle pas" les maladies, ça ne sert qu'à mettre des étiquettes inutiles.
Soigner les victimes, c'est soigner les traumatismes. Vous avez vu la vidéo sur les traumatismes, donc vous savez de quoi je parle.
Et soigner les traumatismes, ça passe par isoler chaque élément qui fait partie de l'équation (de l'événement), en discuter, arriver à bien les identifier, leurs valeurs respectives, puis une fois que la personne a réussi à se rapprocher de la réalité, le soigné recompose le puzzle, sans qu'il n'y ait de "trou béant". (ce qu'au niveau des émotions on appelle la souffrance)
Tant que vous n'irez pas dans la tête de la personne qui vous a agressé, pour comprendre ce qui déconnait chez elle, alors vous continuerez à avoir peur d'éléments "insaisissables", cette peur qui vous ronge, qui peut vous rendre faussement coupable, qui pousse à courir après l'absolu, qui fait qu'on n'arrive pas à argumenter sans avoir peur de se retrouver "à poil", en situation de péril, qui fait qu'on n'a pas confiance en soi, etc.
Evidemment tout ce qui précède est un monceau de conneries, puisque pour vous "la survie" est bien trop primitive pour prendre en compte chaque élément, chaque information présente dans notre cerveau...
Pas pratique ce blog, on ne peut pas copier/coller :
Signaler RépondreJe vais démontrer que le survisme n’est pas une approche universelle (comme il le dit), et de ce fait ni une science exacte.
J’ai tout de meme extrait cela
https://www.survisme.info/index_definition.htm
- on fait toujours ce qui nous semble assurer notre survie.
- tout élément survit, c’est à dire a une existence qui continue après l’instant T, tant que rien ne vient détruire cet élément .
- un morceau de glace peut survivre sans être en vie, l’élément morceau de glace survit tant qu’il n’est pas transformé en vapeur.
- la survie est un principe qui ne se limite pas au domaine humain, mais un principe universel.
Et du dictionnaire Larousse, je donne toutes les définitions de survie car le survisme dit ce c’est un principe universel.
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/survie/75912
- Fait de survivre, de continuer à vivre : Un malade en survie.
- Prolongement de l'existence au-delà de la mort.
- Prolongation d'une activité au-delà du moment où elle semblait menacée de disparition : La survie d'une entreprise.
Tout est aproximativement juste
Mise à part l’idée principale « on fait toujours ce qui semble assurer notre survie » qui selon moi n’est pas la ligne directrice qui guide tout nos pas.
Je dirais même plus qu’on fait le mieux ce qui nous amène directement à la mort, (c’est le fameux périsme!) c’est à dire vivre, car dés la naissance, on vit et évolue jusqu’à mourir, toute vie à une fin (sauf pour les religieux).
Je sais, PM va nous parler des idées, et autres « éléments » métaphysiques qui pourraient survire à la mort physique.
Malgré tout, même cela à une fin, au fil des temps tout cela se dilue, se transforme, et l’idée originale, une fois qu’elle a bien « servit » et donnée naissance à d’autres idées plus évoluées, disparaît pour laisser la place à des idées plus actuelles plus précises (sinon on en serait toujours à admirer l’idée de première roue, même après la disparition de son inventeur et de cette roue).
Mise à part l’histoire du morceau de glace qui sans être en vie, survit tout de même … jusqu’à l’instant T ou il « meurt » sans avoir était en vie d’ailleurs ! Et se transforme en vapeur (ou eau).
Ca m’embête vraiement car au dessus il est ecrit « tout élément survit » pourquoi pas le morceau de glace alors ?
Ou la roche de montagne qui est extraite et réduite en poudre pour devenir béton, ou sous l’érosion naturelle.
Ou la branche d’arbre qui est coupée et brûlée, ou qui tombe, se sèche et est mangée par les insectes.
...
Mise à part le fait que la survie ne se limite pas qu’à l’humain, mais est universelle, sauf pour le morceau de glace, la roche, la branche d’arbre.
Universelle, oui MAIS … NON, pas pour tout dit le survisme !
Donc finalement, contrairement à ce que dit le survisme, tout élément n’a pas une existence qui continue après l’instant T qui est le point de départ de sa disparition Totale puisque la survie n’est pas universelle, donc ne s’applique pas à tout les éléments.
On peut considérer que se ne sont que quelques « petites » erreurs.
Je les trouve assez grossières malgré tout.
On peut aussi insister sur le fait que ces auteurs qui ont la certitudes qu’ils ont inventé une science exacte, ont démontrés d’eux même dés la page « définition du survisme » que ce n’était pas une science exacte.
Si par contre on tient compte de ces erreurs, on peut corriger en disant OK, ce n’est pas une science universelle qui s’applique à tout et tous les humains.
Alors là tout pourrait rentrer dans l’ordre, seuls les phobiques de la « disparition » feraient tout pour ne pas disparaître, ou tout pour survivre, mais ce n’est pas Tous les humains.
Et ce ne serait que à eux que le survisme s’appliquerait EVENTUELLEMENT, parce que sûrement que le survisme est faux sur d’autres points.
En tout cas, nous avons démontré que le survisme n’est pas une approche universelle, et ni une science exacte.
"pour comprendre les agissements des violeurs, il faut se mettre dans leur tête.
Signaler RépondrePour comprendre comment soigner les victimes, il faut se mettre dans leur tête.
Si vous ne comprenez pas ça, vous serez condamnée à tourner en boucle et à revivre le cauchemar.
Je ne vous ai pas attendu pour me mettre à la place de qui que ce soit."
Quand on voit comment sur votre blog du survisme vous expliquez par exemple la pefophilie, on se demande ce que vous en avez vu en vous mettant dans la tête d'un pédophile.
D'ailleurs, comment vous faites pour vous " mettre dans la tête" d'un autre ?
Encore un concept scientifique étrange, expliquez nous ?
Autre interrogations, qu'est ce que vous appelez "soigner les victimes", de quelles maladies ou maux voulez vous les soigner ?
"................... Quand je dis que vous êtes un dictateur de la pensée, j'ai absolument raison, ..................."
Signaler Répondrel'absolu... la quête des fous ?
Comment reprocher à l'autre d'être un "dictateur de la pensée" simplement parce que je communique avec vous ?
"....................vous me recadrez d'un ton proche de l'ordre...................."
certains diraient que vous êtes en pleine paranoïa.
".................Ici, nous débattons librement,..............."
dans un débat, on reprend les arguments de celui avec qui on débat, sinon, ça s'appelle du monologue (monologue que vous tenez).
"...............mettez vous à la place des victimes plutôt qu'à celle du violeur, ................"
pour comprendre les agissements des violeurs, il faut se mettre dans leur tête.
Pour comprendre comment soigner les victimes, il faut se mettre dans leur tête.
Si vous ne comprenez pas ça, vous serez condamnée à tourner en boucle et à revivre le cauchemar.
Je ne vous ai pas attendu pour me mettre à la place de qui que ce soit.
".................vous apprendrez beaucoup sur vous même et votre besoin absolut d'avoir toujours raison................."
n'inversez pas les rôles.
C'est vous qui fuyez en ne suivant pas les conversations argumentées.
"..................Vous jouez sur les mots que apparemment vous ne comprenez pas................"
exemple ?
Nada.
"....................Quand je vous dis que vous vous trompez, c'est un fait, vous vous trompez...................."
apparemment ça assure mieux votre survie de le dire, mais... concrètement ? Où est-ce que je me trompe ? Ce serait bien de le montrer non ?
"....................sans doute que vous avez construit un système de défense basé ENTRE AUTRE sur l'argumentation et non le constat des faits....................."
les faits, pour vous, c'est à l'image de ce que vous avez écrit précédemment : "je dis que vous vous trompez donc vous vous trompez donc c'est un fait".
Votre pensée n'est pas autre chose que votre pensée. La réalité, elle, se détermine (on s'en rapproche) en ayant plusieurs points de vue différents, plusieurs argumentations, et le point d'équilibre se fait ainsi.
".................. quand j'écris AUX humains, je n'écris pas à TOUS les humains, je ne suis pas stupide.
c'est une théorie qui s'applique aux humains, c'est tout...................."
hé bé.... le freudisme s'applique donc "aux humains" mais pas à tous les humains. Pourtant le freudisme ne dit pas que ça s'applique qu'à certains humains, il se veut universel, non ?
".....................Je vous laisse prétendre que je n'ai pas d'arguments permettant de dire que le survisme est faux......................"
Et dire qu'il vous suffirait de donner un seul exemple invalidant, et que vous ne le trouvez pas...
Mais je suis patient, et j'attends que vous l'écriviez ici.
:)
"....................C'est un constat, chaque phrase prise au hasard sur le blog du survisme est un montage qui defie toutes les lois de la science et qui ne tient que sur le papier...................."
Le constat, tout le monde peut le constater :
vous tirez des conclusions sans JAMAIS expliquer comment vous en arrivez à ces conclusions.
(en fait, c'est ça la définition du totalitarisme).
Toutes les vidéos explicatives sur le survisme sont ici.
Si jamais quelqu'un peut aider cette personne...
&list=PLaiFBjEvTwuO6zBsxHlV3ASi_iqi1FZWL
L'obscurantiste, c'est celui qui refuse d'argumenter, comme vous le faites en suivant la conversation avec un pseudo identifié.
Signaler RépondreL'obscurantiste repose sur la manipulation, comme vous le faites en par votre rapprochement entre ce que d'autres font ("comme la rougeole face à des anti vaccins" )
avec ce que je peux écrire qui n'a absolument rien à voir.
Pourquoi vous faites ce parallèle ? Parce que vous n'avez RIEN à vous mettre sous la dent en reprenant mes propos.
Vous êtes dans la pure manipulation.
Ce que vous expliquez avec des éléments objectifs du suvisme et non interprété par son défenseur peut être défini en conclusion du constat par de la pseudo science ou du charlatanisme .
Signaler RépondreCet obscurantisme en recrudescence comme la rougeole face à des anti vaccins opposés à la médecine moderne est lié aux réseaux sociaux et des propagandes manipulantes inoculés de manière répétitives à l image des multiples interventions de celui du forum bien identifié
Quand je dis que vous êtes un dictateur de la pensée, j'ai absolument raison, sur ce post et sur celui intitulé "une sordide affaire d'inceste mise à jour prés de Lyon" vous me recadrez d'un ton proche de l'ordre.
Signaler RépondreIci, nous débattons librement, si j'ai des choses que je veux écrire car je les crois pertinente de les partagées aux AUTRES (et pas que à vous), je le fais.
Et je n'ai pas à me soumettre à une personne qui souhaite me recadrer
"'espère que vous aurez l'occasion de poursuivre la conversation et que vous pourrez reprendre ce que je vous ai écrit le 05/04/2019 à 12h19 afin de vous positionner."
et ailleurs
"sinon vous n'avez repris aucun de mes arguments et n'avez pas suivit réellement la conversation précédente"
J'essaie de vous faire comprendre (et ca tombe bien car vous le haïssait viscéralement on ne sait trop pourquoi) qu'il n'y a pas que Freud dans la psychologie, ni le survisme d'ailleurs et heureusement.
ET VOUS RAMENEZ TOUT A FREUD pour mieux ne pas analyser mes arguments sensés.
Dans le post sur la pédophilie, je vous donne une piste sérieuse, mettez vous à la place des victimes plutôt qu'à celle du violeur, de toute façon, c'est un peu comme l'histoire de la poule ou de l'oeuf, l'un était là avant l'autre, lequel. Peut-etre même que vous apprendrez beaucoup sur vous même et votre besoin absolut d'avoir toujours raison.
Vous jouez sur les mots que apparemment vous ne comprenez pas.
Quand je vous dis que vous vous trompez, c'est un fait, vous vous trompez.
Vous me répondez "vous n'argumentez pas" bien entendu que je n'argumente pas, je constate tout simplement que vous vous trompez.
Mais comme un constat n'est pas un argument, vous ne voulez pas l'entendre, sans doute que vous avez construit un système de défense basé ENTRE AUTRE sur l'argumentation et non le constat des faits.
Autre CONSTAT que vous ne comprenez pas le sens des mots.
Quand j'écris (ailleurs) que Freud constate et établit un théorie qui s'applique AUX humains (et non aux animaux, aux voiture, aux pierres).
Je CONSTATE que vous ne comprenez pas ou déformez sciemment car vous rajoutez
"A TOUS les humains donc ?"
Vous ne prenez que très rarement les choses que les autres vous proposent dans le sens réel de ce qu'ils proposent, quand j'écris AUX humains, je n'écris pas à TOUS les humains, je ne suis pas stupide.
c'est une théorie qui s'applique aux humains, c'est tout.
Je vois bien ou vous voulez en venir en transformant le AUX en TOUS.
Bref, je ne reprend pas la conversation qui aurait pus être intéressante car je voit bien que vous êtes rivés sur votre croix du survisme et que vous êtes (intellectuellement, psychologiquement?) incapable de vous en détacher pour écouter et éventuellement admettre les hypothèses des autres.
Ce n'est pas grave car je crois que la seule personne à convaincre que vous avez tord de vous enfermer dans votre dictature de la pensée, c'est vous et vous seul.
Sur ce j'ai du temps à passer sur d'autres sujets plus constructifs que de me soumettre a vos attentes.
Je vous laisse avec vos certitudes.
Je vous laisse prétendre que je n'ai pas d'arguments permettant de dire que le survisme est faux.
Et je termine en disant que pour moi, IL EST TOTALEMENT IMAGINAIRE et imaginé par un auteur qui a même transformé le sens de certain mots ou expressions.
C'est un constat, chaque phrase prise au hasard sur le blog du survisme est un montage qui defie toutes les lois de la science et qui ne tient que sur le papier.
J'espère que vous aurez l'occasion de poursuivre la conversation et que vous pourrez reprendre ce que je vous ai écrit le 05/04/2019 à 12h19 afin de vous positionner.
Signaler RépondreMerci.
Du lien indiqué ci dessus, j'extraie:
Signaler Répondre"Nous focaliser sur une pensée unique et nous imposer une croyance en une vérité universelle, c’est aller contre l’essence de la nature humaine, contre l’idée même de liberté individuelle. Ce n’est pas logique et ce n’est surtout pas sain."
Bref, à supposer que le survisme soit une approche fondée (ce que très peu de gens, même le CNRS, semblent admettre), il n'est pas sain ni logique de se focaliser uniquement sur cette approche.
Idem pour le post-monetarisme.
Une hypothèse qui s'accorde assez bien avec le roi de la pensée unique, une certaine forme de dictature.
Signaler Répondrehttps://www.google.com/amp/s/nospensees.fr/besoin-irrepressible-davoir-toujours-raison/amp/
Et puis il y a la "Pravda" ! Euh... j'veux dire "le Média" ! o:)
Signaler RépondreJe viens de Lyon2 à Bron et je peux vous dire que la partie psychologie cognitive n'est pas la priorité de l'enseignement sur ce campus !
Signaler RépondreNe pas oublier non plus que le cognitivisme ne s'occupe pas directement de psychologie mais de changer les comportements par de nouvelles habitudes, pas en analysant en profondeur les situations respectives.
il faut l'écouter, la LREM ce n'est pas la dictature : ça envoie les CRS et toutes les polices blesser gravement des innocents mais ce n'est pas important. Ils changent les lois pour les élections mais ce n'est pas important, ils organisent des faux débats mais ce n'est pas important.
Signaler Répondret'inquiète, ça ne passe ni sur TF1, ni sur France2 ni dans aucun média de grande écoute.
Signaler RépondreLes "chiens de garde" veillent !
Une radio d'état contre le discours présidentiel ?
Signaler RépondrePas possible ! Moi qui croyais qu'on était dans une dictature totalitaire ! o:)
message pour les progressistes qui passent par LyonMag
Signaler Répondreet oui, l'idéologie des totalitaristes... ;)
Pourquoi renvoyer toujours et tout le monde au Freudisme ?
Signaler RépondrePourquoi toujours faire semblant d'ignorer l'approche comportementaliste de la psychologie, la psychologie sociale, la psychologie cognitive.... leurs liens et l'apport complémentaire que peuvent être les neurosciences ?
Pourquoi ? Qu'est ce qui peut bien motiver cette volonté de tomber dans le simplisme et la caricature ?
Si, le survisme a intégré ce que vous soulevez comme remarques.
Signaler Répondresur la pédophilie, vous avez un aperçu des réponses :
http://survisme.info/reponses/index_forum_reponses_29.htm
Mais il faut faire ce qu'il est difficile de faire :
"se mettre à place des monstres pour comprendre les monstres"
(comprendre, ce n'est pas accepter, c'est comprendre les causes et les effets, les valeurs respectives des informations présentes, etc).
Dans votre exemple, l'enfant est considéré comme un objet.
Le pédophile a un certain nombre de peurs, et "utiliser l'enfant comme un objet" assure mieux sa survie que de faire autrement.
Pour l'enfant, évidemment toutes les valeurs sont perturbées.
Un parent est sensé protéger sa progéniture des dangers, mais comme il n'a pas encore appris que certains humains considèrent les autres comme "des objets", il interprète "l'attention donnée par le parent qui frappe ou qui torture" comme une "harmonie".
Se faire "frapper", c'est "exister" aux yeux de l'autre... ("exister" donne l'impression de "survie assurée") Et c'est parfois un sentiment meilleur que de se retrouver seul au monde. ("seul au monde" étant une valeur qui n'assure pas notre survie généralement).
Les valeurs dominantes sont totalement chamboulées à cause des traumatismes, à cause des valeurs "malades" ("malade = en décalage avec la réalité" / l'enfant n'est pas un objet) inculquées par le parent en question.
Et c'est en déterminant "où sont les valeurs dominantes" respectives, quels niveaux elles devraient avoir pour réellement être dans un respect de chacun, qu'on arrive (péniblement) à remettre les choses à leur "vraie" place.
Le survisme le permet.
Le freudisme ne le permet pas, car engluée dans des explications basées sur des légendes grecques et des termes abscons et interprétables à l'infini.
la survie comprend les sentiments à l'instant T comme.... mesurer une croissance économique à l'instant T?!!
Signaler RépondreMouarffff!!!
Vous êtes " grillé "depuis longtemps sur le forum et pas gêné de l'être? c'est de la survie?
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Signaler Répondre"vous croyez vraiment être "exceptionnel" au point de vivre ce que personne d'autre ne vit ?"
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Intéressant comme remarque, nous sommes effectivement tous exceptionnel car tous différents, pourquoi voudriez vous qu'il y ait qu'un seul type d'être humain, et un modèle de l'être humain "standard" (non exceptionnel).
L'autre aspect intriguant, c'est que vous me demandiez si MOI je me sens exceptionnel alors que je dis une réalité qui s'applique à tous, je ne met pas MON cas en avant.
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"Si quelqu'un dit "je te donner de l'amour" tout en frappant la personne à qui il parle... est-ce que cela remet en cause la carte des sentiments décrite par le survisme ?"
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Mais pour qu'elles raisons survivistes quelqu'un donnerait de l'amour en frappant celui qu'il aime, comment est-il possible qu'il soit bon pour sa survie de donner de l'amour en frappant celui qu'on aime?
Comment l'échelle des sentiments arrive à mettre un acte de violence (frapper quelqu'un) du côté harmonie (amour) sur l'échelle des sentiments?
Quelque part cette échelle est donc dysfonctionnelle, ou fausse!
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" quelqu'un qui donne de l'amour (prendre soin, etc) en croyant que le moment est merveilleux, alors que l'autre ne ressent pas ça comme ça (pas d'amour, pas de sentiment d'harmonie), il y a bien deux personnes qui ressentent des choses différentes, mais l'une pense à la place de l'autre et commet une erreur."
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Un pére qui viole son enfant en bas age en lui disant
"je suis ton papa, et comme tous les papas, je t'aime, et comme tous les enfants tu dois aimer ton papa, c'est cela l'amour entre un enfant et ses parents"
Ce pére le fait bien entendu sciemment, il sait très bien que d'être violé n'est pas merveilleux, harmonieux du tout (ni même de violer quand on est psychologiquement équilibre), ni un acte d'amour d'un pére envers son enfant.
C'est ce que l'on appelle faire de la pédagogie noire.
Face à cela, le jeune enfant, qui a besoin des ses parents et de leurs "amour" enregistre le message Viols = Amour.
Ca fait mal à l'âme et au corps, mais il croit qu'il faut passer par là pour avoir l'amour dont il a besoin de ses parents sinon ils vont l'abandonner.
Si la pédagogie noire fait bien son boulot, plus tard il restitue Amour = Viols.
Ca fait toujours mal, mais là il n'est plus un enfant, il ne risque plus d'être abandonné, il est grand.
Donc il refuse ce que l'autre appelle l'amour car cela n'est pas dans SA carte personnelles des sentiments et des souvenirs un état qui était très harmonieux lorsque son père "l'aimait" et le violait.
Il préférera vivre seul qu'avec "l'amour" d'un autre, ou il développera une méfiance énorme envers tous ceux qui voudraient lui parler d'amour.
Le survisme, au vu de vos remarques et de votre exemple, ne semble pas avoir intégré ce genre de situations malheureusement pas exceptionnelles du tout au sein des familles (je parle de tous les mauvais traitements en général imposés par "amour") et connues de tout bons psy.
Comment voyez vous cela en terme de survisme?
".........................Le survisme a décrit une carte extrêmement rudimentaire des sentiments humains......................"
Signaler Répondrerudimentaire, donc incomplète ? Que manque-t-il selon vous ?
"....................Le survisme ne dit pas qu’il existe d’autre « cartes des sentiments » donc selon lui elle est UNIQUE...................."
pure spéculation négative de votre part. C'est "la carte des sentiments" suivant l'approche du survisme. Point.
"....................Il ne tient absolument pas compte des éléments qui entrent en compte dans la psyché de chaque être humain...................."
vous croyez vraiment être "exceptionnel" au point de vivre ce que personne d'autre ne vit ?
pourquoi une telle carte des sentiments vous donne l'impression d'être enfermée ?
Elle laisse pourtant libre d'éprouver ce que l'on veut...
"....................Pour certains, les sentiments liés à ce que l’on appelle communément l’amour (par exemple l’amour qu’un parent prétend donner à ses enfants) seront placés du côté de la survie assuré, pour d’autre, selon les « échecs » de leurs expériences amoureuses, du côté de la survie non assurée......................."
tout à fait.
Mais vous le dites vous-même, "ce qu'on appelle" et "prétend donner".
Si quelqu'un dit "je te donner de l'amour" tout en frappant la personne à qui il parle... est-ce que cela remet en cause la carte des sentiments décrite par le survisme ?
Cette carte est celle des sentiments que l'on ressent.
Il est donc normal qu'un parent qui croit "donner de l'amour" (selon son point de vue), puisse en fait ne pas "donne pas de l'amour" selon le point de vue de la personne qui ressent autre chose.
L'amour, c'est l'harmonie.
Mais dans les cas d'harmonie non partagée... ?
"........................Dans un cas comme dans l’autre, il ne s’agira pas d’une erreur d’interprétation des termes qui ferrât la différence, mais tout simplement un constat de ce que l’amour à apporté à l’un ou à l’autre comme bons ou mauvais éléments assurant sa survie....................."
non,
ce n'est pas une erreur d'interprétation (car chacun ressentira bien quelque chose de différent), mais c'est une erreur dans ce qu'on imagine que la personne en face pense.
exemple : quelqu'un qui donne de l'amour (prendre soin, etc) en croyant que le moment est merveilleux, alors que l'autre ne ressent pas ça comme ça (pas d'amour, pas de sentiment d'harmonie), il y a bien deux personnes qui ressentent des choses différentes, mais l'une pense à la place de l'autre et commet une erreur.
"..................... il n’y a pas une seule carte pour tous les humains, mais autant de carte qu’il y a d’humains et elles seront vraies au cas pas cas, sans cela, avec une seule et unique carte des sentiments, il est impossible d’expliquer la psychologie humaine comme prétend le faire Hugos..................."
non,
la personne de l'exemple précédent qui n'éprouvera pas d'amour, d'harmonie, sera juste positionnée "ailleurs" sur la carte des sentiments par rapport à l'autre personne.
L'une des personnes croira être "en amour - en harmonie", sa survie lui semblera assurée,
l'autre sera dans un autre sentiment (soit "rien", soit "mal à l'aise" (survie non assurée)).
Les deux seront sur cette carte des sentiments, mais pas placés au même endroit pour un même moment.
".....................Cette carte qui décrit « cette échelle d’intensité liée à notre sentiment de survie », et présentée par l’auteur est donc forcément plus ou moins sa carte à lui qui décide de mettre la peur, les pleurs, l’amour où lui Philippe Hugos considère qu’ils doivent être, c’est donc une carte purement subjective Hugossienne...................."
elle n'est pourtant pas personnelle vu qu'il n'y a aucun exemple personnel.
Chacun est à un moment ou à un autre sur cette carte.
Votre conclusion semble donc être totalement fausse.
".......................C’est pourtant bien l’intention de la psychologie d’essayer de comprendre chaque individu en personne et non un cas standard (inexistant)...................."
je ne comprends pas en quoi c'est "standard" alors qu'il n'y a aucun "standard"....
La personne qui aime une chose, son voisin une autre,
sont tous deux à une place sur cette échelle suivant "la survie",
pour autant, on a pu identifier les différences, comprendre ce qui motive ces différentes,
sans jamais dire "il faut que la personne aime" ou "il faut que la personne n'aime pas".
Donc, ce "standard" que vous identifiez correspond à quoi ?
A mon avis, chez vous à la peur d'être "standardisé", d'être enfermé.
Mais vous restez totalement libre d'aimer ce que vous voulez. Pour autant, la "survie" permet de comprendre ses sentiments à l'instant T.
A lire votre réponse.
MC.
https://www.survisme.info/reponses/exemples_la_carte_des_sentiments_humains.htm
Ok
Signaler Répondre"je ne réponds dorénavant qu'aux citoyens s'étant connectés (en haut à droite de la présente page) avec un pseudo relié à un mail (pseudo écrit en bleu dans le forum LyonMag). C'est ainsi que les personnes assument mieux leurs écrits parce que s'il y a un problème, on peut les retrouver et avoir un suivi de conversation constructif]"
Signaler RépondreC est rigolo de le voir pris à son propre piège, ne lui restant plus qu à soliloquer assez inutilement sur moult articles par jour o:)
post Monétaire le bon français de 1940
Signaler RépondreMon commentaire, car ici on commente:
Signaler RépondreLe survisme a décrit une carte extrêmement rudimentaire des sentiments humains.
Le survisme ne dit pas qu’il existe d’autre « cartes des sentiments » donc selon lui elle est UNIQUE.
Sur l’échelle allant de la MORT en bas (survie non assurée) à la VIE en haut (survie assurée), le survisme place chaque sentiments de façon immuable et de la même maniére pour tout le monde sur un niveau assez bien précis.
Il ne tient absolument pas compte des éléments qui entrent en compte dans la psyché de chaque être humain.
Pour certains, les sentiments liés à ce que l’on appelle communément l’amour (par exemple l’amour qu’un parent prétend donner à ses enfants) seront placés du côté de la survie assuré, pour d’autre, selon les « échecs » de leurs expériences amoureuses, du côté de la survie non assurée.
Dans un cas comme dans l’autre, il ne s’agira pas d’une erreur d’interprétation des termes qui ferrât la différence, mais tout simplement un constat de ce que l’amour à apporté à l’un ou à l’autre comme bons ou mauvais éléments assurant sa survie.
il n’y a pas une seule carte pour tous les humains, mais autant de carte qu’il y a d’humains et elles seront vraies au cas pas cas, sans cela, avec une seule et unique carte des sentiments, il est impossible d’expliquer la psychologie humaine comme prétend le faire Hugos.
Il y a des tas d’auteurs reconnus dans le monde de la psychologie qui décrivent mieux que moi tout cela.
Cette carte qui décrit « cette échelle d’intensité liée à notre sentiment de survie », et présentée par l’auteur est donc forcément plus ou moins sa carte à lui qui décide de mettre la peur, les pleurs, l’amour où lui Philippe Hugos considère qu’ils doivent être, c’est donc une carte purement subjective Hugossienne
C’est pourtant bien l’intention de la psychologie d’essayer de comprendre chaque individu en personne et non un cas standard (inexistant).
De ce fait cette carte liée à NOTRE SENTIMENT de survie est totalement bidon.
PS: je n'attends pas de contre argument face à cette evidence.
Il n'y a plus de problème, ayant un compte, je peux me faire porte parole de trolls.
Signaler Répondre'on peut les retrouver et avoir un suivi de conversation constructif'
Signaler RépondreÉpuration, quand tu nous tiens...
Oups....
Signaler Répondre"je ne réponds dorénavant qu'aux citoyens s'étant connectés (en haut à droite de la présente page) avec un pseudo relié à un mail (pseudo écrit en bleu dans le forum LyonMag). C'est ainsi que les personnes assument mieux leurs écrits parce que s'il y a un problème, on peut les retrouver et avoir un suivi de conversation constructif]"
Non moi j'ai pas demandé psycho ou eco.
Signaler RépondreMais dépêchez vous, ParcourSup va fermer bientôt...
PS: je ne suis pas connecté au fait !
[je ne réponds dorénavant qu'aux citoyens s'étant connectés (en haut à droite de la présente page) avec un pseudo relié à un mail (pseudo écrit en bleu dans le forum LyonMag). C'est ainsi que les personnes assument mieux leurs écrits parce que s'il y a un problème, on peut les retrouver et avoir un suivi de conversation constructif]
Signaler RépondreFaut vraiment que vous ayez été agacé / vexé pour passer outre vos grands principes :D
Vous seriez reçu sans aucun problème vu votre niveau d'études en la matière ! :o)
Signaler RépondreA quand les master d'incompétences en psycho-post-monétarisme?
Signaler RépondreNous sommes tous des trolls, sauf lui, on se demande ce qu'il fait encore ici?
Signaler RépondreIl vient pour gagner des vois pour les prochaines élections législatives?
Il a un nouveau bouquin à présenter sur la culture des pâquerettes, le freudisme, comment vivre sans porte-monnaies?
ça passe les journées...
Signaler RépondreEt?
Signaler Répondre4 nouveaux commentaires de trolls...
Signaler Répondrec'est bien, continuez à n'avoir aucun autre argument que les insultes :o)
[je ne réponds dorénavant qu'aux citoyens s'étant connectés (en haut à droite de la présente page) avec un pseudo relié à un mail (pseudo écrit en bleu dans le forum LyonMag). C'est ainsi que les personnes assument mieux leurs écrits parce que s'il y a un problème, on peut les retrouver et avoir un suivi de conversation constructif]
Voici comment le créateur d'une approche de la psychologie peut dire:
Signaler Répondre" encore un mensonge de Zig...
qu'est-ce qui peut le (la) motiver à agir ainsi ?
En psycho façon freud... :
...
Parce qu'il ou elle n'a pas voulu assumer de vouloir coucher avec l'un de ses parents ?"
Ce psy pretend que Freud a dit que (tout ?) les enfants voulaient avoir des relations sexuelles avec un de leur parent (le fils avec la mère, la fille avec le père ?).
Il pense donc, sans doute, que pour les freudiens, ce désir enfant est quelque chose que tous adultes doivent assumer.
Mais que certains refusent de faire.
Mais comme, selon ce grand psy, pour un freudien, c'est normal d'assumer cela, refuser de l'assumer serait anormal.
Je vous l'est déjà dis, sa vision est binaire.
Ce qui n'est pas normal est anormal.
Bref, refuser d'assumer Bla Bla Bla motive à mentir !!
Tout comme ne pas avoir têté sa mère pousse à mentir !!
Quel niais ce psychologue de pâquerettes, il ferait mieux d'ailleurs de cultiver celles-ci, on en verrait de nouveau dans les champs.
Et les humains se porteraient mieux de l'absence de ce type de psy dangereux et insultant pou l'humanité.
C'est honnêteté sa part qu'il reconnaisse ses côtés pervers (insultes, manipulations, absences d'argumentations basées sur des faits réels...).
Signaler RépondreAprès cela, peut-on avoir confiance en ce genre de psy autoproclamé?
D'ailleurs comme il le dit :
Signaler Répondre"il faut dire que les insultes (et les manipulations par la peur) sont bien plus faciles à exprimer que les argumentations basées sur des faits réels :o)"
C'est un petit dérapage mais compréhensible quand on est "docteur es Survisme" ! o:)
L auberge espagnole autoproclamée par un aigri sans diplôme "raz des paquerettes"
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