De nationalité française, elle est en 3ème année d’informatique en
échange Erasmus à l’université Anadolu D’Eskisehir (à 300 km d’Istanbul)
selon le quotidien. Elle a été placée en garde à vue le 10 mai dernier,
accusée d’appartenir à un mouvement politique illégal, le Parti-Front de
libération du peuple révolutionnaire (extrême-gauche). Selon son avocat, les autorités turques n’ont aucune preuve
d’une telle appartenance, et ne pose à sa cliente, "que des questions
sur [sa] participation à des activités publiques et légales". Il affirme
que Sevil Sevimli, "est un peu bouleversée, car elle ne comprend pas
pourquoi on l'a arrêtée".
La situation est compliquée pour cette Lyonnaise car son avocat n’a pas
accès à son dossier. En effet, comme le permet la loi antiterroriste du
pays, la cour d’assises d’Ankara a décidé la confidentialité de ce cas.
Et malgré l’absence d’éléments solides, la cour a rejeté toutes les
demandes de libération de la Lyonnaise, estimant que "le dossier n'est
pas encore complet, l'accusée peut s'enfuir et déformer les preuves".
Selon les statistiques du Collectif étudiant, plus de 600 étudiants
seraient emprisonnés en Turquie depuis 2010, la plupart ayant été arrêtés
au cours de manifestations.
Jérôme, tu commence à perdre les pédales, tes commentaires sont de plus en plus ubuesques :(
Signaler RépondreIl faut être élu et de gauche pour que la nationalité française vous donne le droit de ne pas respecter les lois.
Signaler RépondreEtant binationale, en Turquie, elle est considérée comme citoyenne turque.
Signaler RépondreLa nationalité française n'est pas une assurance complémentaire ...
je ne comprend pas ,comment le consulat français qui se trouve en turquie ,laisse une citoyenne française dans cette etat là!!!! ou sont les droits!!
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