Côté contributions, "des efforts seront demandés aux plus aisés, ménages comme entreprises et au secteur financier", précise la porte-parole. A cette enseigne, Najat Vallaud-Belkacem rappelle la feuille de route : doublement de la taxe sur les transactions financières, prélèvement de 4% dans le secteur pétrolier.
Les dépenses publiques seront mise sous surveillance et tranchées au cas par cas. "On cherche à interroger la pertinence des politiques publiques, donc on regarde, administration par administration, ce qui peut être économisé, quelles dépenses peuvent être réduites. L'idée est de tenir compte de la capacité contributive de chaque ministère, observe Vallaud-Belkacem. On sort du systématisme brutal et aveugle de la RGPP", tacle-t-elle, à l’attention de ses prédécesseurs. Le maintien du gel des dépenses, doublé d’un "surgel de 1,5 milliards d’euros", est également dans les tuyaux.
L'annonce du recrutement de 60 000 fonctionnaires durant le quinquennat ne contredit pas l'appel à la vigilance des dépenses publiques, lancé par la cour des comptes. "Le recrutement de 1 000 enseignants dans le primaire et de 500 assistants de prévention et de sécurité sera mis en œuvre par redéploiement" explicite-t-elle. Pour le reste des projets déjà dévoilés, la porte-parole justifie leur bien fondé : le retour partiel à la retraite à 60 ans est couvert par la hausse des cotisations salariales et patronales, la revalorisation de 25% de l'allocation de rentrée scolaire - estimée à 400 millions d'euros - est budgétée dans la loi de financement de la sécurité sociale. Dénonçant la comportement de la droite, qui "s’amuse avec des chiffres fantaisistes", la Lyonnaise s’en remet à ses concitoyens. "Les Français sont lucides", glisse-t-elle.
Y en a ras le bol de toutes ces femelles de base qui croient avoir des choses intéressantes à dire, du seul fait de vouloir faire parler d'elles. C'est avec de telles personnalités que le gouvernement Hollande pourrira, par ses femmes! Elles ont accédé au devant de la scène médiatique pour le décorum socialiste et elles sont assez bêtes pour croire que c'est un gage de leur valeur. Rien n'est plus vulgaire qu'une femme ordinaire, rien n'est plus insupportable que le spectacle de la fausse vertu instrumentalisée en outil de propagande. L'hypocrisie féminine est ancestrale, mais grâce à des socialistes soucieux de leur image de marque, elle est désormais érigée au rang de mode de gouvernement.
Signaler RépondreDati était une pauvre conne perdue dans la cour des grands, Belkacem est une insidieuse misérable qui se la joue grande finaude. Une bonne paire de claque et elle regagnera sa place d'animatrice de Foyer social.
Toujours le registre, je n'ai pas dis ce que j'ai dis...
Signaler RépondreEn disant n'importe quoi elle n'a aucune "rigueur".
Signaler RépondreEtre mignonne ne fait pas d'elle un génie !
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