Une audition qui aurait été faite à la demande d’un militant socialiste. Ce dernier se plaignait d’avoir été brutalement bousculé par les forces
de l’ordre lors d’un week-end de manifestation d’extrême-droite à Lyon.
Le Point indique qu’il aurait alors fait jouer ses relations pour que
Manuel Valls intervienne personnellement auprès des auteurs de la
bousculade, membres de la Compagnie départementale d’intervention. Une
réprimande que n’a pas démentie le cabinet du ministre. Mais selon l’une
de leurs sources, les policiers ont convaincu Manuel Valls d’avoir
employé la force nécessaire pour repousser l’individu zélé.
A Lyon, l’audition des trois hommes fait jaser. Son
caractère extraordinaire et son origine ont déplut aux forces de l’ordre
qui se félicite toutefois que leurs collègues aient été entendus plutôt
que d’être directement réprimandés.
"je crains que certains
Signaler Répondrejournalistes qui sont toujours au stade de la lèche, restent muets sur le nom de ce courageux militant…"
Et bien vas-y toi, dis nous son nom, pour nous prouver que tu es courageux? Allo? Ah...silence...le Lucien c'est comme les crocodiles, tu enleve la gueule, il reste plus rien! ahahaha
Lucien des noms !!!
Signaler RépondreD'autant que des élus écrêtés PS cela ne manque pas.
Vous êtes pour le bégaiement???
Signaler RépondreBen zut alors, qui peut bien se cacher derrière ce zélé et
Signaler Répondrecourageux militant socialiste ?!
Ne serai-ce pas un élu écrêté, qui diffuse allègrement la
bonne parole du pouvoir sur le net et désinforme dès qu’il le peut ?
Nous pensons à la même personne ?!
Le geste de ce petit individu, qui fait appel à son copain ministre,
m’évoque une image.
L’image d’une limace qui s’accroche sur la feuille de laitue
du pouvoir.
Vous conviendrez que cette feuille est particulièrement
fragile et ne pourrait supporter, à la fois une limace à l’égo surmultiplié et
un représentant de l’Etat qui ne connait pas les mots intégrité et ingérence.
Comme pour les frasques de DSK, je crains que certains
journalistes qui sont toujours au stade de la lèche, restent muets sur le nom de ce courageux militant…
A comprendre un tel raisonnement, Sarko a foiré alors taisez vous quand Hollande se vautre, on comprend mieux la masse de QI qui a voté Hollande.
Signaler RépondreLes copains du P.S et les coquins du Gouvernement. La Gauche n aime pas la Police
Signaler RépondreBen ouais chacun son tour. Comme quoi, les présidents changent, mais les méthodes restent les mêmes.
Signaler RépondreTien les commentaire droitiste débarque... Bizarre, ils fermaient leur gueule quand Sarko mobilisait au frais du contribuable une unité de gendarmerie pour protéger la maison de son amie acteur, en Corse !!!!!
Signaler RépondreBravo au site du Point d'avoir révélé cet épisode, et à Lyon Mag de le relayer! Etrangement, Libération n'en parle pas... J'espère aussi que le nom de ce brave camarade admirateur de Castro et de ses méthodes sera divulgué
Signaler RépondreJ'espère que le nom de cet honorable citoyen sera dévoilé au public, et à ses électeurs.
Signaler RépondreAu lieu d'humilier nos forces de l'ordre sur demande d'un pote de gauche ,il devrait plutot aller voir son pote Hollande et le questionner sur son silence concernant l’affaire Guérini
Signaler RépondreUn journaliste osera-t-il un jour demander à François Hollande de s’expliquer sur ses onze années de silence (ou d’ignorance ?) sur les dérives du système Guérini à Marseille ? Plus d’une décennie passée à la tête du parti socialiste et au cours de laquelle le candidat socialiste se sera montré particulièrement conciliant à l’égard de Jean-Noël Guérini.
François Hollande pouvait-il vraiment ignorer les agissements du président du Conseil général des Bouches du Rhône (et accessoirement patron de la fédération socialiste) ? Est-ce un pur hasard si le Premier secrétaire du PS obtenait des scores staliniens (plus de 80%) dans les Bouches du Rhône lors des scrutins internes. Le salaire de son silence ?
Car à en croire les premiers éléments de l’enquête policière ; mais aussi le témoignage d’Arnaud Montebourg (premier socialiste à avoir brisé l’omerta marseillaise) ; c’est une véritable organisation mafieuse qu’avaient mise en place Jean-Noël Guérini et son frère Alexandre Guérini, pour détourner des fonds publics et s’assurer le contrôle du département.
Sans faire de procès d’intention à François Hollande, les Français seraient en droit d’avoir des réponses sur ce mutisme long de dix ans… et les journalistes ont le devoir de gratter ce sujet embarrassant et de ne pas se contenter du "on ne savait pas" servi par l’entourage du candidat socialiste.
André Vallini : M. Justice de Hollande poursuivi pour « harcèlement moral »
N’est-il pas également troublant que le plus proche conseiller de François Hollande en matière de justice (à qui est d’ailleurs promis le ministère de la Justice en cas de victoire socialiste en mai prochain) fasse l’objet d’une plainte pour « harcèlement moral » de la part d’une ancienne collaboratrice… et qu’une deuxième plainte soit en passe d’être déposée en Isère pour « concussion » ?
C’est en effet dans l’indifférence générale qu’André Vallini, connu dans les couloirs de l’Assemblée Nationale (et aujourd’hui du Sénat) pour ses méthodes managériales « atypiques » (valse des collaboratrices et embauche d’une Miss comme attachée de presse) et ses coups de sang incessant, fait l’objet de deux plaintes et continue comme si de rien n’était à faire le programme Justice du candidat Hollande.
Alors que le syndicat des attachées parlementaires de l’Assemblée Nationale (Uncp-Unsa) a publiquement soutenu la plaignante et dénoncé la « grossière manipulation et les méthodes contestables » d’André Vallini, ne serait-il pas opportun que des journalistes demandent à François Hollande comment il voit les choses en matière de « harcèlement moral » et de « discrimination par l’âge » ?
Pas-de-Calais et financement occulte du PS
Les journalistes ne devraient-ils pas également s’intéresser d’un peu plus près au mode de fonctionnement de la fédération socialiste du Pas de Calais, empêtré dans un scandale de corruption dénoncé… par l’incontournable Arnaud Montebourg ?
François Hollande a-t-il découvert dans les journaux que le parquet de Lille avait ouvert au printemps dernier une enquête préliminaire sur un système d’emplois fictifs et de financement occulte du PS local (l’une des principales fédérations socialistes de France).
La justice s’intéresse notamment à la gestion par le député-maire de Liévin, Jean-Pierre Kucheida, de la Soginorpa, un important bailleur social financé par des fonds publics et dont M. Kucheida est président. Plus de 1,5 million d’euros de dépenses non justifiées poseraient notamment problème à la Chambre régionale des comptes.
Ne serait-il pas pertinent de demander à François Hollande, au titre de ses mandats à la tête du PS, de se positionner par rapport à des accusations gravissimes ? Ne serait-ce que pour les condamner et affirmer qu’il n’était absolument pas au courant de ce qui se tramait dans l’une des plus grandes fédérations socialistes de France.
Dans la même veine, les journalistes ne pourraient-ils pas demander à Martine Aubry, dont on nous assurait qu’elle contrôlait le PS du Nord (c’est en tout cas la version des amis de Ségolène Royal) si elle ne se doutait de rien ?
François Hollande a-t-il découvert dans les journaux que le parquet de Lille avait ouvert au printemps dernier une enquête préliminaire sur un système d’emplois fictifs et de financement occulte du PS local (l’une des principales fédérations socialistes de France).
La justice s’intéresse notamment à la gestion par le député-maire de Liévin, Jean-Pierre Kucheida, de la Soginorpa, un important bailleur social financé par des fonds publics et dont M. Kucheida est président. Plus de 1,5 million d’euros de dépenses non justifiées poseraient notamment problème à la Chambre régionale des comptes.
Ne serait-il pas pertinent de demander à François Hollande, au titre de ses mandats à la tête du PS, de se positionner par rapport à des accusations gravissimes ? Ne serait-ce que pour les condamner et affirmer qu’il n’était absolument pas au courant de ce qui se tramait dans l’une des plus grandes fédérations socialistes de France.
Dans la même veine, les journalistes ne pourraient-ils pas demander à Martine Aubry, dont on nous assurait qu’elle contrôlait le PS du Nord (c’est en tout cas la version des amis de Ségolène Royal) si elle ne se doutait de rien ?
(source Atlantico Publié le 14 février 2012 )
Encore une preuve de ce qu'est le régime Collomb.
Signaler RépondreA quel moment les policiers comprendront qu'ils ne faut rien faire? Il faut laisser faire les socialistes! On verra le résultat dans 5 ans!
Signaler RépondreC'est quoi cette histoire ?!
Signaler RépondreDonc un pote socialiste de ce ministre, lui a demander de convoquer des policiers, au prétexte qu'il n'aurait pas apprécier d'avoir été bousculé brutalement, lors d'une manifestation d'extrème droite ?
Cela s'appelle avoir un passe droit et s'estimer ne pas être un citoyen lambda, au prétexte d'être socialiste et le pote d'un ministre !
Voila encore de "beaux socialistes" !
Des socialistes normaux...
Pourquoi le nom de ce militant socialiste et probablement élu et écrêté n'est pas cité ?
Sous le gouvernement Sarko j'ose pas imaginer le scandale que ça aurait déclenché.
Signaler Répondrepourquoi ne portez vous pas plainte si vraiment vous avez de vraies infos?
Signaler RépondreQuel est le rapport avec la choucroute ?
Signaler RépondrePas plus choquant que les VIP truand, qui ont droits a des cellules particulières et des traitements de faveurs
Signaler RépondreOn reconnaît bien là toute les méthodes de militants socialistes.
Signaler RépondreIls se considèrent pour des citoyens plus égaux que les autres.
Ce militant là devrait être poursuivi en justice pour dénonciation calomnieuse.
Mais cela ne servira à rien les pontes socialistes le couvriront et donneront ordre de ne pas poursuivre.
Est ce que cette méthode du Ministre de l'Intérieur est prévue dans le réglement intérieur de la Police Nationale?
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