Jean-Paul Bret et Tony Parker, à Villeurbanne ce mardi - Photo Lyonmag.com
Tony Parker, lui, s’impatiente. Car après la salle multifonction, le directeur des opérations baskets doit aussi gérer sa TP Academy : un centre de formation gigantesque, "à l’américaine" à l’image de ces camps de basket, mais qui est intimement lié à la réalisation de cet équipement. "Les projets en France, ça prend du temps et c’est très politique. Elle va se faire mais on va voir le lieu et quand ; ‘Quand’, c’est la grand question, mais il faut être patient", a-t-il ajouté, avant d’insister : "C’est la France, c’est toujours long, mais une fois qu’on aura décidé, ça ira vite après."
Tony Parker devant les 280 jeunes du camp - Photo Lyonmag.com
Tony Parker, qui a joué une bonne partie de l’automne à Villeurbanne, en compagnie de Ronny Turiaf, pendant le lock-out de la NBA, a également donné son avis sur la saison décevante de la Green Team (12e avec 43 points) : "C’est vrai que c’était un peu décevant. C’est dommage, on était bien parti et on n’a pas réussi à tenir une place en play-offs. Maintenant on se concentre sur le recrutement, et on essaye de mieux faire pour faire une meilleure saison. C’est une petite déception car chaque fois que tu joues dans un club comme l’ASVEL, tu t’attends à aller en play-offs." Un recrutement qui passe notamment par le départ de Léo Westermann et de Bangaly Fofana, et par la récente arrivée de Georgi Joseph.
Pas etonnant avec tout les vieux reac qui bloquent les projets en France
Signaler RépondreEn France c'est très lent, lent, mais lent.
Signaler RépondrePendant ce temps les autres nous passent devant.