Jean-Marc Ayrault a annoncé deux mesures pour favoriser l’intégration de cette population par le travail : la taxe de 700 euros, que devait payer tout employeur pour embaucher un Rom, sera supprimée et la liste des 150 métiers auquels pouvaient prétendre ces personnes va être élargie. « Même si cette mesure est loin de tout régler, les avancées concernant les mesures transitoires qui restreignent de fait l'accès au marché du travail aux ressortissants roumains et bulgares, et donc aux Roms, va dans le bon sens », estime Sylvie Guillaume. Mais l’adjointe au maire de Lyon ajoute que la situation des Roms doit trouver une réponse au niveau européen. « La Commissaire européenne Viviane Reding a fait part de sa vigilance et invite la France à des mesures "concrètes". A mon tour, j'invite la Commissaire à assumer avec un peu plus de détermination ses responsabilités. Prenons l'exemple des stratégies nationales pour l'insertion des Roms qu'elle a commandées aux États membres : dans plusieurs cas, la Commissaire s'est contentée de vagues déclarations d'intention, sans objectifs et sans budget ». La balle, selon elle, est donc maintenant dans camp de Bruxelles. En attendant, le gouvernement a précisé que les évacuations de camps de Roms allaient se poursuivre en France. Ces expulsions se succèdent depuis le début du mois d’août dans l’agglomération lyonnaise.
Les notres avant les autres ... mais bon le gouvernement semble vouloir l'inverse ...
Signaler RépondreTout n'est pas reglé en effet, il y a toujours le problème de la prime de 300 euros payée par les contribuables
Signaler RépondreIl est évident que certains socialistes n'ont jamais travaillé ( ils font de la politique et rien d'autre comme beaucoup dans d'autres partis ) . IIs ne peuvent en conséquence rien connaître aux problèmes de l'emploi et plus généralement au monde du travail.
Signaler RépondreOn se plaint du chômage et on donne le peu de travail aux autres
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