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Une gazelle au pays des éléphants, qui sort jeudi, retrace le parcours et l'ascension irrésistible de la ministre du Droit des Femmes et porte-parole du gouvernement. "Cela m'aurait beaucoup plu d'être journaliste, a expliqué NVB aux auteurs du livre. Au fond, le journalisme et la politique se ressemblent, dans le côté touche-à-tout, ouvert sur la société...". C'est en confiant son attirance pour ce métier à Bernard de la Villardière que le journaliste star de la chaîne avait envisagé de la recruter en 2009 pour présenter le journal télévisé. Pour le moment, sa seule expérience télévisuelle se résume à des chroniques littéraires sur l'antenne de TLM. Une expérience mitigée nous avait indiqué le présentateur Stéphane Cayrol. Mais depuis, NVB est tout de même devenue une star du petit écran.
je crois qu'il a voulu dire que le cout de la négligence contribue à l'inutilité des Français et qu'on pourrait éviter les hypothèses...
Signaler Répondremais je vois pas le rapport avec l'article
L'hôpital qui se fout de la charité !
Signaler RépondreTu nous la refait en français stp?
Signaler Répondre"Au fond, le journalisme et la politique se ressemblent, dans le côté toutche-à-tout, ouvert sur la société..."
Signaler RépondreLes bras m'en tombent !
En fait, sa définition me semble plus convenir, au mot politicard...
L'homme ou de la femme, qui s'engage dans l'action politique, devrait agir avant tout, pour que l'action publique corresponde aux besoins de l’intérêt collectif...
Les besoins individuels de visibilité, devrait conduire vers des métiers de la communication.
En l'espèce, je lui conseillerai de s'orienter dans cette voie, pour éviter des mélanges incompatibles, avec l'esprit de la politique.
Les électeurs ne sont pas dupes !
Quel dommage de constater qu'un coût non négligeable inutile aux contribuables français auraient pu être évité dans une telle hypothèse.
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