La grande salle et l'académie seront à l'ordre du jour. Et pour cause, le stand-by inquiétant de ces projets sont les raisons qui poussent Tony Parker à vouloir aller voir ailleurs. "Je suis très déçu par rapport à l'évolution du projet. A la base je voulais aller là-bas pour la nouvelle salle et l'Académie. Aujourd'hui la grande salle c'est plus qu'au point mort, c'est en sous-marin, au fond du trou ! Ça n'avance pas", avait-il avoué à l'AFP. Des raisons de s'inquiéter donc pour les actionnaires de l'ASVEL qui pourraient perdre leur ambassadeur de luxe.
Mardi soir, TP devra d'abord se prêter au jeu des médias en assurant la campagne de rentrée du club. Mais nul doute qu'il tapera ensuite du poing sur la table pour faire avancer ses "bébés". Sa sortie dans la presse n'était pas un coup de sang, la chose était planifiée pour que les actionnaires et politiques comme Jean-Paul Bret prennent conscience de leurs tergiversations.
Tony Parker ne partira pas tout de suite car il dit s'être engagé auprès du coach Pierre Vincent et du manager général Laurent Foirest. Mais il partira s'il le faut pour mener ses projets censés redorer le blason du basket en France.
Après un retour en Pro A mitigé et un pari sur les jeunes joueurs raté, l'histoire d'amour entre Villeurbanne et Parker pourrait finir très mal. Rageant.