LDLC va s’afficher toute cette saison sur le maillot de l’ASVEL Basket. Le groupe, leader en France sur le marché de l’e-commerce High-tech, crée un réseau de franchise. "On intensifie le développement et on choisit de partir vers un développement multicanal en associant le web et le commerce traditionnel" assure Olivier de la Clergerie.
Pour ce dernier, ce cap est important. "Nous avons consolidé sur les dernières années l’évolution du groupe. Nous avons du résultat et nous pensons qu’aujourd’hui le marché est en train d’évoluer sur un nouveau cap en terme de consommation. Il faut donc essayer de suivre le consommateur qui va très vite dans ses habitudes de consommation. Aujourd’hui, le consommateur est capable de consommer dans un magasin, sur internet, sur son mobile quand il se déplace en nomade. On pense qu’avec un réseau de franchise associant le canal internet et le canal commerce traditionnel, on sera capable de donner un meilleur service au consommateur et de l’accompagner dans toutes ces envies de consommation".
Pour lancer cette franchise, il va bien sûr y avoir une sélection concernant les investisseurs. "Certains candidats franchisés ont déjà tapé à la porte. Il y aura une sélection absolument drastique car l’image de l’entreprise est très importante. Aujourd’hui, on souhaite construire un réseau de qualité et pour cela il y a forcément une sélection" déclare Olivier de la Clergerie tout en ajoutant que le groupe espère d’ici trois ans avoir une quinzaine d’enseignes et d’ici cinq ans une quarantaine.
Cette nouveauté a des objectifs bien précis. "Cela va apporter de la croissance, peut-être de la notoriété et de la visibilité, permettant ainsi de développer le groupe. Quand on crée une entreprise, on a forcément envie de l’amener plus loin. Ça va donc permettre au groupe de développer l’activité, les emplois, la vie d’une entreprise tout simplement" insiste le directeur général du groupe.
Pour se faire, le groupe a décidé d’un partenariat avec l’ASVEL. Un choix qui n’est pas un hasard pour Olivier de la Clergerie. "On choisit et on s’associe bien évidemment à un acteur qui se trouve dans notre région parce que nous sommes lyonnais et que nous sommes attachés à la région. Ensuite, c’est effectivement être plus visible mais en choisissant l’image que l’on veut véhiculer en s’associant à un groupe qui correspond à notre vision de développement".
LDLC a parcouru du chemin depuis la petite boutique rue de Marseille. Aujourd’hui, le groupe est fort d’un chiffre d’affaires de 200 millions d’euros et de 300 salariés. Un succès qui vient de deux facteurs. "C’est d’abord une histoire familiale, c’est certain. Ça a été crée avec mon frère, ma sœur, mes parents dans l’appartement familial à Lyon. On y a grandit durant toute notre enfance, notre adolescence et durant notre vie professionnelle. C’est une aventure à la fois lyonnaise et familiale".
Avec cette nouvelle franchise, Olivier de la Clergerie espère faire monter le chiffre d’affaires à 500 millions d’euros d’ici 5 ans. Comment arriver à une telle réussite ? "On n’a pas de secret mais on a beaucoup de travail. Mais bien évidemment, le travail ne suffit pas. Il faut une vision stratégique et qu’elle soit la bonne pour sentir le marché. C’est véritablement ce qui fait la différence".
le seul label qui compte c'est l'impression que l'on a de ses propres achats...pour moi LDLC est la boutique aussi excellente que digit-photo, excellence confirmée. Je regrette juste que LDLC présente si peu de matériel photo en magasin à Lyon. Les magasins de photo à Lyon sont rares et chers, LDLC il y a de la place pour vous!
Signaler RépondrePour avoir été e-commerçant, FIA-NET n'est qu'une esbrouffe qui n'apporte presque aucune sécurité et ponctionne les marchands pour leur vendre le droit d'afficher leur logo.
Signaler RépondreLongue vie à LDLC, toujours aussi fiables, compétitifs, honnêtes depuis leur création.
LDLC
Signaler RépondreUne grande enseigne
Malheureusement devient mercantil et moins fiable qu'auparavant depuis la perte de son label FIA-NET
Dommage