Une centaine de personnes, essentiellement des femmes, se sont réunies devant l'Hôtel de Ville pour réclamer la libération des chanteuses russes. "Pas de négociation pour la liberté d'expression" ou "émeute de chattes" (NDLR traduction littérale de Pussy Riot) pouvait-on lire sur les pancartes. La maire du 1er arrondissement, Nathalie Perrin-Gilbert, leur a notamment adressé son soutien.
En première instance, les trois chanteuses punk féministes avaient été condamnées à 2 ans de travaux forcés pour avoir chanté des slogans anti-Poutine dans une église orthodoxe en février dernier. Le procès en appel a été ajourné au 10 octobre.
Vive les chattes libres!!!!!!
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