Selon la police, ils étaient près d'un millier samedi après-midi sur le
quai Augagneur dans le 3e arrondissement de Lyon afin de dire non à la
politique énergétique voulue par le gouvernement. L'objectif du
collectif était avant tout de mettre en avant, à travers deux marches
symboliques, le danger que pouvait représenter la centrale du Bugey, la
plus vieille de France après celle de Fessenheim.
Dans un communiqué, le réseau "Sortir du nucléaire" s'est félicité de
ces rassemblements qui avaient lieu partout en France et a appelé à
poursuivre le mouvement. "Ces rassemblements de rentrée constituent le
prélude à une plus large mobilisation qui culminera le 9 mars prochain.
Ce jour-là, en solidarité avec les victimes de la catastrophe de
Fukushima et pour exiger une sortie du nucléaire en France, une grande
chaîne humaine se déploiera à Paris. En plein débat sur l'énergie, elle
permettra à tous ceux qui souhaitent sortir du nucléaire de faire
entendre leur voix".
tant qu'on aura pas trouver d'alternative efficace pour assurer au moins 100000kwatt/heure (consommation en période de froid) ,il ne sert à rien de condamner un système choisi dans les années 70 et qui ont eu une grande efficacité:attention aux vendeurs de rêve comme ceux qui ont installé les panneaux photovoltaïques dans l'engouement de l'énergie renouvelable(verdict récent au moins 1/3 des installations ont des malfaçons...)
Signaler Répondre1000 manifestants venus de toute la région Rhône Alpes? Pas terrible!
Signaler RépondreNul ne peut nier que le nucléaire est dangereux, le raisonnement de lilou est quelque peu réducteur. Dans la situation actuelle on ne peut se passer du jour au lendemain du nucléaire puisque ce mode de production d’énergie a été privilégié en France, faute d’autres moyens. Mais il devient nécessaire de trouver d’autres réponses à nos besoins en énergie, pour quitter progressivement le nucléaire. La démocratie consiste, entre autre, à écouter les autres, une opposition est toujours nécessaire pour éveiller les consciences de ceux qui pensent détenir la vérité. Rien n’est simple, concilier l’écologie et notre mode de vie consommateur d’énergie est le nouveau défi auquel nous sommes confrontés, il ne sert à rien de prendre des positions de type intégriste dans un camp comme dans l’autre, il faut affronter la réalité d’une manière cartésienne et non passionnée.
Signaler RépondreLes "anti-nucléaire" sont-ils prêts à s'éclairer à la bougie, à se chauffer au bois et à se passer d'une grande partie du confort actuel ? Il ne faut pas oublier que plus de 80% de notre électricité est d'origine nucléaire.
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