Selon l’Olympique Lyonnais, les travaux de terrassement vont durer environ cinq mois. L’objectif est d’anticiper les éventuelles intempéries de l'hiver. La livraison du futur stade devrait avoir lieu fin 2014, pour une mise en service pour la saison 2015-2016. LyonMag.com a posé trois questions à Etienne Tête, l’avocat des opposants au Grand Stade :
Que pensez-vous de la décision de démarrer les travaux dès ce lundi ?
Jean-Michel Aulas avait annoncé un contrat signé avec Vinci début octobre et il avait menacé il y a encore dix jours de s’opposer aux recours qui bloquaient et l’empêchaient de commencer les travaux. Et là aujourd’hui il commence les travaux. Donc il y a une communication qui est pour le moins erratique de la part de Jean-Michel Aulas. En un mois, il a donné trois informations contradictoires. C’est quelqu’un qui raconte un peu n’importe quoi. Est-ce une manière de faire pression sur les juges, je n’en sais rien.
Quel est votre sentiment ?
Je pense que c’est d’abord un gâchis énorme d’argent public, en pleine crise économique. Car évidemment maintenant tout le monde sait que ce n’est pas un projet privé, c’est un projet public : avec toutes les sommes que l’on dépense pour l’acquisition des rames, pour réaliser les trams T2, T3, les accès nord et sud, les parkings… Les sommes dépensées approchent les 400 millions d’euros d’argent public. Combien les contribuables vont payer pour ce projet ?
La deuxième remarque, et la plus essentielle, c’est qu’on fait ça pour rien. En 2005 que dit Jean-Michel Aulas ? "J’ai besoin d’un stade de 65 000 places, j’ai les moyens de me le payer". Sept ans après, il n’a toujours pas le montage financier. Il dit après : "je ne vais pas me contenter de la rénovation de Gerland que me propose la Ville parce que c’est 55 000 places pour 80 millions d’euros". La vérité aujourd’hui, c’est que le Grand Stade ne fait que 58 000 places, soit seulement 3000 de plus, qui ne seront remplies que lors des matchs de Champion’s League.
Où en sont les recours en justice ?
Pour l’instant ils sont en instruction. Les recours centraux de cette opération sont le plan local d’urbanisme, le permis de construire et l’ensemble des accès. Il y a ensuite la vente des terrains, et d’autres recours plus accessoires. Je ne suis pas inquiet, nos arguments juridiques sont évidents. Donc a priori, sauf comportement anormal du système, il n’y a pas de raison que nous perdions. Sinon on fera appel.
@ Nit
Signaler RépondreDes résidents de la résidence Jouffroy d'Abbans comme bien d'autres riverains censés ont demandé le pont plus au nord, là où il aurait toute son utilité, et surtout situé face au balme (plutôt que face à des immeubles habités)? Il faut vraiment être maso ou stupide pour ne pas comprendre le bon sens de cette demande. Quant à l'utilité de ce pont qui consisterait à capter un maximum de trafic venu de l'Ouest lyonnais pour le déverser via le quai Gillet vers le Centre ville si vous trouvez cela censé au 21ème siècle, il n'y a plus rien à discuter avec vous.
Lors de la manif contre la visite d'Aulas et la presse sur le site du stade ils étaient une trentaine...ils sont où les 16 autres restants?
Signaler Répondreen deux mots, ce n'est pas le nombre qui fait la force dans ce cas, c'est l'efficacité ! et si la machine est efficace, point besoin d'autres
Signaler Répondretout comme ce n'est pas le nombre et la répétition des idioties que tu racontes qui fondent une première vérité démontrée
Des travaux sur le site qui appartient aux contribuables ???
ce sera cela à faire en moins finalement - pour une fois que AULAS travaille pour nous, on ne va pas s'en plaindre
Mais c'est très intéressant figure toi !
Signaler RépondreLes travaux ont commencé depuis plus d'un mois, et les Anti Tout on organisé une grande manifestation pour distribué des tracts réunissant pas moins de 14 opposants !!!
Ahahah !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Oui ...
je te confirme c'est très intéressant et ....
....
Tellement drôle !!!
hi hi hi hi
Signaler Répondreho ho ho
tu sais dire autre chose de plus intéressant ?
Toi aussi elles te stressent les pelleteuses ????
Signaler RépondreJ'espère que tu t'es bien amusé avec tes 14 copains ce week end pour distribuer tes tracts contre le stade ??!!!
Ahahahaaaa !!!
Le pont Schumann ne dérange que ceux qui habitent la résidence Geoffroy D'Alban (quai Joseph GILLET), par ailleurs les opposants a ce projet avaient demander son déplacement plus au nord, histoire de placer ce pont chez le voisin.
Signaler RépondreCe qui semble faire peur aux opposants, c'est surtout de voir leur bien immobilier se déprécier.
Habiter sur les quais c'est beaux, mais cela a toujours été bruyant.
Je précise que j'habite quai Joseph GILLET.
M. Tête : Sur les Rives de Saône, que l'on nous annonce comme un lieu de promenades bucoliques, nous sommes dans la même situation. Justice saisie pour s'opposer à la réalisation d'un pont "autoroutier" le Pont Schuman à quatre voies de circulation qui débouchera sur un quai à deux voies, vieux projet des années 1980 ressorti des cartons, totalement dépassé puisqu'à l'époque le quai Gillet, où débouchera ce pont, n'était pas construit et qu'aujourd'hui le Grand Lyon se contente de dire : oui des immeubles ont été construits, oui ce pont débouchera sous les fenètres des riverains, mais bon.... (pour résumer, rien à cirer), il faut fluidifier Vaise et poursuivre sa réhabilitation (ben pardi !) et comme ce n'est pas suffisant les habitants du 4e qui ne bénéficent pas de la même mansuétude devraient être expropriés en partie, leurs lieux de stationnement étant "rachetés" pour élargir la voierie. Bien sûr la justice est également saisie sur cette action, et dire qu'un internaute nous dit qu'elle est aussi, en majorité dans la franc-maçonnerie comme M. Gérard Collomb. J'ose encore espérer dans la justice de mon pays autrement que faire ? Et qu'en pensent ceux qui pronent la réduction du trafic automobile dans les centre-villes ?
Signaler Répondrequel pauvre clampin ce jean claude
Signaler RépondreIl en a une couche vraiment très épaisse
T'as que ça à faire toi que de mettre des copier/coller du Monde pour étaler ta culture ???
Signaler RépondreEt sinon ? Les pelleteuses ??? Elle t'embêtes pas trop en ce moment ??
Moi j'adore voir comme elles avancent !!
Et ca vous fait enrager....
C'est tellement joussif !!!
Les Anti TOUT donneur de leçon le bec cloué au son des coups de pioches !!!
Ah !! C'est si bon !
Des années à nous manipuler avec des tonnes de mensonges pour quoi comme résultat ??
Les pelleteuses sur le MONTOUT !!!!
Alors oui ....
vous pouvez copier/coller des articles que personne n'a envie de lire ...
Nous on regarde les travaux avancer et on se déllecte à lire vos commentaire de rageux aigris !!
Ahahahahahahhaaha
Un Décinois Heureux !
suite de l'article du monde informatique
Signaler RépondreSi le domaine du transport ferroviaire réserve de juteux contrats, ne négligez pas l’aérien, à l’exemple du projet d’aéroport du Grand Ouest, à Notre-Dame-des-Landes. Nantes est certes pourvue d’un aéroport sous-exploité, et la région, en cul-de-sac, en accueille déjà douze. Mais c’est oublier que l’époque est à la virtualité. Car enfin, il n’est nul besoin de besoins pour faire prospérer une idée !
Evoluer avec son époque a un coût. Il est bien sûr regrettable d’ensevelir des hectares de biodiversité sous des bijoux de technologie, mais ces sacrifices sont indispensables. Avec une législation de plus en plus contraignante, vos infrastructures doivent offrir des garanties d’insertion écologique et paysagère. Il existe de nombreux artifices pour enduire acier et béton du vert HQE (haute qualité environnementale) : un musée sur l’agriculture locale, des panneaux solaires, un toit végétal…
Il vous faudra, sur ce dossier, conserver un moral à toute épreuve. Car, malgré tous vos engagements, les écologistes aboieront. Ils seront rejoints par une foule d’esprits influençables, dont l’approche naïve peut dresser un obstacle imprévu. Un retraité dans la force de l’âge se révèle parfois un adversaire opiniâtre, qui va décortiquer vos plans de manière obsessionnelle. On le déplore au Pays basque, autour du projet de LGV vers l’Espagne : un argumentaire enflammé, livré par deux trublions (2) est relayé par les réseaux alternatifs. Misez sur votre service de communication pour leur barrer l’accès aux médias de grande envergure. Evitez que la contestation ne s’étende, ne devienne emblématique ou gagne les tribunaux administratifs, au risque d’un gel des chantiers.
Une bataille de chiffres ne peut opposer que des adversaires de même catégorie. Face aux arguments amateurs, invoquez la rigueur technocratique de vos spécialistes. Avec l’ardeur des pionniers, brandissez l’intérêt national, voire international, face à la vision passéiste de vos contradicteurs. Revendiquez votre participation sincère et transparente aux concertations publiques. Compte tenu de vos soutiens politiques et médiatiques, le dialogue, mené selon les méthodes adéquates, ne devrait pas vous inquiéter.
La contre-offensive doit être graduée. Vous devrez peut-être piloter une campagne de dénigrement par voie de presse. Si vous n’étouffez pas la révolte dans l’œuf, votre lobbying devra œuvrer à la criminalisation de l’opposition à votre ouvrage. A la légitimité revendiquée par les protestataires, répondez par la légalité institutionnelle et le recours à la force publique. Et si on vous accule au bras de fer, montrez votre détermination ; vous aussi avez le droit de vous exprimer ! Au nom de l’intérêt général, assignez, inondez les protestations sous des nuages de gaz lacrymogène, distribuez les amendes par milliers et faites éventuellement interpeller à tour de bras, comme en Allemagne pour la nouvelle gare de Stuttgart. La bataille peut aussi se gagner manu militari, comme nous l’enseigne l’expérience contre le maquis radical des « No TAV » (du val de Suze, en Italie. Si la tournure des événements l’impose, la possibilité de décréter un chantier « zone militaire d’intérêt stratégique » n’est pas à écarter.(3)
Certes, planifier un grand marché public s’avère de plus en plus laborieux ; mais le jeu en vaut la chandelle. Les concessions accordées par les autorités s’étalent de nos jours sur plus d’un demi-siècle. Pour votre entreprise et vos actionnaires, c’est la promesse de décennies de prospérité. D’autant que l’éventail des pyramides du futur ne cesse de s’élargir : groupes hospitaliers, centres commerciaux, quartiers d’affaires, infrastructures sportives, tours (Pour paraphraser George Orwell, dont l’un des personnages déclarait : « La guerre, c’est la paix. La liberté, c’est l’esclavage. L’ignorance, c’est la force », je n’hésiterai pas à l’affirmer : l’inutile, c’est rentable !
tout TETU que tu es, je t'invite et te donne de la matière pour réfléchir, ce qui ne semble pas être dans ta culture :
Signaler RépondreLe monde diplomatique
Octobre-novembre 2012
L’art des grands projets inutiles
Les grands projets d’aménagement du territoire ne visent pas toujours à satisfaire des besoins. Pour vendre la construction d’une ligne de train à grande vitesse que peu de gens souhaitent utiliser ou celle d’un aéroport dans une région qui n’en nécessite pas, ingénieurs, promoteurs et maîtres d’ouvrage rivalisent d’habileté et de rhétorique. Justifier l’inutile est devenu une véritable culture dont on peut saisir les règles, les rites et les rythmes en lisant la conclusion d’un séminaire — fictif — sur le sujet.
par Alain Devalpo, août 2012
Vous, bâtisseurs de cathédrales du nouveau millénaire, poursuivez un dessein plein d’esprit et de noblesse. Mais la population ne comprend pas toujours le sens de vos rêves. « Votre projet ne sert à rien ! », vous oppose-t-on parfois. Comment, dans ces conditions, faire fructifier vos ambitions ?
Les intervenants que nous venons d’entendre ont su nous faire partager leur inestimable expérience, et je vais tenter de dégager les axes stratégiques forts qui vous aideront à y parvenir.
Commençons par les transports. C’est un réconfort pour le bâtisseur contemporain que d’observer une campagne traversée comme l’éclair par des trains perchés sur leur digue de ballast. La course à la mobilité est synonyme de réussite. Nos sociétés vivent à la vitesse d’Internet. L’économie est un écheveau de flux tendus. L’homme doit s’y soumettre, et ce secteur offre un large éventail d’opportunités.
Pour séduire vos interlocuteurs, la démesure sera votre premier atout. Incitez vos ingénieurs à ébaucher des plans pharaoniques : percer cinquante kilomètres de tunnel sous les Alpes pour le tracé du train à grande vitesse (TGV) Lyon-Turin, mettre en valeur des milliers de mètres carrés de bocage pour implanter un aéroport dans la région nantaise, creuser sous la ville de Barcelone… L’exploit technologique, nourrissant l’orgueil national, occultera les désagréments pour les autochtones.
Sachez tirer parti de la concurrence entre métropoles : elle favorise le gigantisme et sert vos projets. Labourez le terrain politique en flattant la mégalomanie des grands élus qui rêvent tous d’une tour Eiffel dans leur cité. Une fois que vous aurez gagné leur confiance, ils sauront faire pression sur la cohorte des élus plus modestes, dont les finances seront ponctionnées même si les retombées pour leur territoire n’existent que sur le papier. Afin qu’aucune objection ne s’élève, votre pari sur l’avenir devra être pourvoyeur d’emplois. Le chantier terminé, si l’on vous fait remarquer que les promesses ne sont pas tenues, il sera toujours temps d’échafauder des analyses vous dédouanant : la crise, la crise ! Jouez de vos accointances gouvernementales pour obtenir un label d’intérêt général : ce dispositif administratif procure un véritable passe-droit.
Entourez-vous de bureaux d’études maîtrisant l’art de sophistiquer les dossiers jusqu’à les rendre indéchiffrables. Quand le fait le plus anodin se présente de manière abstraite, les curieux se découragent. La science étant l’apanage des scientifiques, seul un polytechnicien sera en mesure de compter les trains d’une ligne L durant un temps t. Pour se forger un avis, les élus s’en tiendront aux conclusions de vos études sérieuses, véridiques et bien intentionnées. Inutile, en revanche, de déployer trop de subtilité pour approcher la presse régionale : c’est un allié toujours fiable, et la générosité de votre régie publicitaire sera perçue par ce secteur sinistré comme un geste en faveur de la liberté de la presse.
Lorsque vous vous estimez en mesure d’œuvrer en harmonie avec les élus et les médias, présentez le plan de financement. Le secteur français de la grande vitesse fonctionne selon un schéma avisé. Réseau ferré de France (RFF) cumule des dizaines de milliards d’euros de dettes (1). Plusieurs lignes à grande vitesse (LGV) sont déficitaires, et le réseau secondaire se détériore. Pourtant, il faut se féliciter qu’une élite mobile bénéficie des TGV. Même si l’Espagne, numéro un européen en la matière, se trouve en pleine tempête financière, l’audace commande de persister dans la construction de deux mille kilomètres de voies nouvelles, pour un budget moyen de 20 millions d’euros le kilomètre.
Pour financer ces projets à la viabilité économique plus que douteuse, il est capital d’emprunter la voie des partenariats public-privé. En obtenant la construction, la maintenance, la gestion et l’exploitation d’une infrastructure, votre maîtrise sera totale, et les collectivités publiques vous seront pieds et poings liés. Vos experts expliqueront que vos bénéfices reflètent votre patriotisme, et le fardeau des pertes publiques sera dépeint comme un moindre mal au regard des emplois — hum ! — créés.
Au vu de l’ampleur des déficits budgétaires actuels, l’enveloppe présentée (qui explosera par la suite) pourra sembler exorbitante à vos commanditaires. Afin qu’ils fassent avaler aux contribuables des pilules de plusieurs milliards d’euros, fournissez-leur des chiffres propres à enivrer les plus sceptiques. Certaines données sont à minimiser, d’autres à amplifier. C’est en spéculant sur des besoins futurs que vous hypnotiserez vos concitoyens. Multipliez les tonnes de fret de marchandises et les passagers par millions, sans hésiter à flirter avec l’absurde. Seul un avenir où vous aurez gagné pourra vous donner tort.
Si le domaine du transport ferroviaire réserve de juteux contrats, ne négligez pas l’aérien, à l’exemple du projet d’aéroport du Grand Ouest, à Notre-Dame-des-Landes. Nantes est certes pourvue d’un aéroport sous-exploité, et la région, en cul-de-sac, en accueille déjà douze. Mais c’est oublier que l’époque est à la virtualité. Car enfin, il n’est nu
Ce qui est certain, c'est que les gouvernements de gauche comme de droite ne veulent pas céder a une minorité, voir l'aeroport de Nantes.
Signaler RépondreC''est très rassurant pour le grand stade,
j'ai vu que Mr Tête est débouté encore une fois, concernant son poste d'adjoint au Maire, avec mes sincères regrets.
Heu .... non ...
Signaler RépondreJe parlais aux Anti Tout..
pourquoi tu es jaloux ??
Toi aussi tu veux que je te ridiculise ???
Hop Hop !!!
Au suivant ?!
Vive le Grand Stade !!
Un petit bonjour aux Anti tout aigris et rageux de voir les pelleteuses bosser sur le Montout !!!
ahahahahaaaaaaaaaa
L'euros 2016 ne peut se faire sans LYON, 2° agglomération Française et l'une vitrine de la France par ses infrastructures, dont certaines de prestiges, (musée des confluences, tour incity, musée, cité du patrimoine mondiale.....).
Signaler Répondreles lobbies sont extrêmement puissants en France et pour une fois, le monde de la finance, de la politique et du sport est unanime pour la construction de ce grand stade de LYON.
Signaler RépondreOn donne un semblant de démocratie aux anti-stade c'est tout.
""Allez Hop !!
Signaler RépondreUn anti tout ridiculisé en 2 secondes !!
Au suivant ?"""
Là vous parliez de vous c'est bien cela ?
quelle clairvoyance!
Un exemple tellement beau de la condescendance des Anti Tout qui se permettent de distribuer des bons et des mauvais points ...
Signaler RépondreC'est bien beau bernard de donner des leçons mais ce qui a de l'intéret se sont les pelleteuses qui bossent depuis un mois !!!
Allez Hop !!
Un anti tout ridiculisé en 2 secondes !!
Au suivant ?
Vous vous croyez en majuscules jean claude ?
Signaler Répondrebien que vous employez ce mode d'écriture pour vous faire remarquer (zavez peur qu'on vous voit pas) ce que vous racontez n'a bien que peu d'intérêt
Ils sont chauds les Anti TOUT aujourd'hui !!!
Signaler RépondreIls postent même avec mon nom (mais sans majuscule ..... ouf !!!!)
C'est beau de croire encore que le stade ne se fera pas même quand les travaux ont déjà commencé ...
Franchement, si vous ne racontiez pas que des mensonges votre opiniatreté serait presque réspectable ...
Hélas, vos posts ne sont que mensonges et manipulations ...
A d'autrres !!
je complète mon msg précédent
Signaler Répondre__
En plus ce serait réellement créateur de nombreux emplois locaux de qualité et pérennes
__
et de ce fait donnerait du pouvoir d'achat et contribuerait à l'amélioration de la billetterie qui a tant de mal à cacher ses nombreuses places restées libres à GERLAND faute de spectateurs (ce qui d'ailleurs va encore s'aggraver dans les mois et les années qui suivent compte tenu de la crise et des piètres performances des clowns)
J'avais tout juste quand je parlais du chapeau d'où allait sortir la garantie
Signaler RépondreEn plus ce serait réellement créateur de nombreux emplois locaux de qualité et pérennes
Signaler Répondre__
et de ce fait donnerait du pouvoir d'achat et contribuerait à l'amélioration de la billetterie qui a tant de mal à cacher ses nombreuses places restées libres faute de spectateurs (ce qui d'ailleurs va encore s'aggraver dans les mois et les années qui suivent compte tenu de la crise et des piètres performances des clowns)
on choisit ses amis, mais on ne choisit pas sa famille !
Signaler Répondrec'est super !
Signaler Répondreallez allez les p'tites et les grosses pelleteuses, bossez, je vous y encourage
- allez ! plus vite que ça !
moi je suis un contribuable qui a déjà beaucoup contribué et qui, compte tenu que le stade n’est pas près de se faire, va récupérer un terrain tout terrassé, c'est formidable !
pour une fois que AULAS aura payé quelque chose …. !
Ce sera la moindre des choses que ce terrain nous soit restitué.
On a en effet mille projets à de réel intérêt général à concrétiser dans ce secteur (pépinières d’entreprises, bureaux d’études de recherche et développement, etc..)
Allez ! plus vite les pelleteuses, il ne faut pas perdre de temps avant les intempéries, allez ! allez !
Arrête de faire la Tête Etienne !!!
Signaler RépondreC'est pas parceque tous tes pétards mouillés sont balayés en deux secondes qu'il faut le prendre comme ça ....
Tu sais les pelleteuses elles , ... elles bossent dur !!!
Et ca avance pas mal du côté du Montout !!
ahahahahhahahahaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
Et ils sont ou ??
Et ils sont ou ???
Et ils sont ou les ANTI TOUT !!!
lalalalalère !!!!
Un Décinois heureux
Le fait de commencer les terrassements ne valide pas le permis de construire à ma connaissance ... ou alors pourquoi n'ont ils pas commencé avant ? encore pour faire pression sur une décision à venir .. Ceci dit, j'attends de voir de quel chapeau va sortir la garantie sur financement à venir
Signaler RépondreJ'espère que certains veillent au grain
Ne t inquiète ni pour Aulas ni pour les banques ni pour Vinci ni pour tes impôts Mathieu ce stade est en train de se faire avec les fonds privés. Le terrassement est en cours bientôt la première pierre et en 2014 le coup de sifflet inaugural.
Signaler RépondreAlors là ce serait fort de café
Signaler RépondreSi c’est une plaisanterie, ce n’est même pas drôle !
Puisque comme le proclame AULAS qui veut l’entendre, c’est un stade privé, mais ce n’est qu’oublier de préciser que ce stade est l’alibi pour une société commerciale de promotion immobilière spéculative,
Pourquoi JMA ne prend il pas le risque lui-même sur son patrimoine personnel ?????
Il en a largement les moyens, lui qui l’année dernière encore figurait parmi les 500 plus grandes fortunes de France
_ et si l’on voit les revenus que la Bourse de Paris fait obligation de communiquer par les dirigeants, il n’est pas à plaindre quand même :
http://www.edubourse.com/remuneration/jean-michel-aulas.php
C’est donc que c’est un bel et bien un fiasco potentiel à faire porter par les autres, qui justement justifie que les banques ne suivent que si elles sont relevées du risque à prendre
et que c’est le contribuable qui prendrait ce risque en plus de tout le reste sur ce dossier privé ?
- en cette période de crise et de disette annoncée où toute contribution publique devrait naturellement et impérativement trouver matière ESSENTIELLE et non pour servir les caprices d’un lobbyer local influent par le pouvoir de l’argent ?
ET TOUT LE MONDE TROUVERAIT CELA NORMAL ??
Pas sûr du tout !
je ne vois toujours pas plus ce que vous voudriez exprimer ou sous-entendre me concernant ...
Signaler Répondrevous semblez apparemment bougrement faire erreur
Mais l'erreur est humaine
mon intention n'était pas de vous blesser en rendant publique vos liens avec un certain P. M., je vous présente mes excuses
Signaler Répondrepas compris !
Signaler Répondremais a t il quelque chose à comprendre ?
pauvre Jean Glaude
Apparement, j'ai tapé là où ça fait mal... hihi désolé chère luciole! ouh allez vite vous plaindre auprès de votre maitre.
Signaler RépondreDifficile de se référer à la démocratie quand on ne l'applique pas soi même !
Signaler RépondreJe suis le seul qui intervient ici à visage découvert, donc seule ma voix compte. Le reste n'est que gazouillis de ruisseau. C'est dommage il y a des choses intéressantes. Malheureusement in-attribuables donc sans valeur démocratique ou historique.
Signaler RépondreSauf à faire entrer anonymement luciole dans l'almanach vermot bien sur.
Sur ce je ne serai pas celui qui fera passer les 200 commentaires, je vous laisse donc à vos errements de pleutres qui n'osent s'afficher.
ton pseudo c'est plutôt la "voie" de son maître,
Signaler Répondretoi le mouton qui, de façon grégaire, est dans le troupeau qui va se jeter au ravin ...
un peu prétentieux pour se qualifier de "voix de son maître" quel que soit le maître !
Signaler RépondreMeunier ?
quelle est la relation de cause à effet ?
et des félicitations ?
je n'en attends aucune, je ne suis pas de ceux là qui existent parce qu'on les adule, et ceux qui les adulent dont sans doute vous faites partie, en général ne le font pas fortuitement, sans intérets personnels cachés ...
Je suis navrée de vous dire vos vérités - d'accord, elles ne doivent pas vous plaire, mais doit on les taire pour autant ?
Bravo, Meunier sera content de ton commentaire! Ah mais peut-être qu'il t'as déjà envoyé un sms de félicitation? ;-)
Signaler RépondreNe faites pas l'innocent !
Signaler Répondredes choses se préparent dans ce sens, et la réplique aussi
et j'ai pu lire ici que vous étiez assistant d'un Elu communautaire ?
et vous ne seriez pas au courant !
Luciole nous fait de la politique fiction, on peut faire financer ça comme piste d'atterrissage pour extra terrestres aussi non ?
Signaler RépondreMa main au feu que ce serait attaqué et aussitôt annulé, faut pas pousser quand même
Signaler RépondreMais c'est vrai que ça doit cogiter dur pour essayer de trouver à contourner la règlementation
On commence à connaitre cette bande de pieds nickelés d'Elus
Chassignol en connait un rayon
La seule sortie possible pour le financement de ce stade PRIVE,
Signaler Répondreet ça ferait trop grincer les dents ....
ce serait la collusion entre JMA et les Elus pour que ces derniers consentent à apporter une garantie d'emprunt, c'est à dire prendre le risque que les banques ne veulent pas prendre sur ce dossier (qu'elles jugent, à bon escient, bien trop risqué)
Autrement dit, ce serait faire une opération quasi publique à des fins purement privées
et les contribuables n'auront que leurs yeux pour pleurer
et verront naturellement les impôts locaux continuer à bondir
Je vais demander si on peut faire pareil pour moi - on ne sait jamais !
:-)))
Signaler RépondreMerci
Ce message a beaucoup d'écho chez moi et autour de moi
Signaler RépondreMerci de l'avoir formulé si habilement
Vraiment!
@ Chassignol
Signaler Répondrevous dites ceci :
"Je crois monsieur que vous vivez seul dans votre monde qui n est malheureusement pas le notre"
et moi je vous réponds :
HEUREUSEMENT pour moi que je ne vis pas dans votre monde !
et sachez que je ne suis pas seul, tout au contraire à évoquer cet over-dose dans laquelle vous vous vautrez !
vous allez peut être l’apprendre à vos dépens de « petit » assistant
Ce qui ne peut m'exonérer de vous dire, comme de plus en plus de mes concitoyens le pensent, que je ne suis pas du genre à me faire encore longtemps tondre la laine sur le dos par des Elus locaux et leur cour, dont vous êtes, et qui ont oublié le sens de la mission que de leurs électeurs leur ont donnée (qu’ils regrettent déjà) – n’ayant de préoccupations que pour celles de leurs intérêts personnels
– vos actes le démontrent tous les jours au point même que vous en ayez perdu la conscience de l’exagération qui devient de ce fait, provocation.
Et bien si dites nous.
Signaler RépondreSinon nous constaterons que
1- vous masquez votre identité
2- vous m'assimilez a une entité dont j'ignore la définition tout comme vous
3- vous prédisez la fin (cuisson ?) d'un député en faisant mystère des raisons
Je crois monsieur que vous vivez seul dans votre monde qui n est malheureusement pas le notre
Notez toutefois qu en médecine psychiatrique ce syndrome est bien connu
ça ne souffre d'aucun mystère !
Signaler RépondreCher ami je vous remercie mais je vous ai moi meme passé ce lien. je crois que vous abusez de substances illicites
Signaler RépondrePourquoi est-il cuit ? vous etes bien mystérieux...
En l'espèce vous vous servez de mon patronyme
pauvre stéphane
Signaler Répondreà toutes fins utiles, voyez le lien suivant :
et méditez le bien, vous qui êtes aux côtés de celui est "cuit"
et qui est censé voter les lois
http://www.les-infostrateges.com/actu/11031161/loppsi-2-le-nouveau-delit-d-usurpation-d-identite
merci
Signaler Répondreet puis si vous etes si fan, je vous prete mon nom