Carte des parcs relais du Grand Lyon
Le Grand Lyon encourage pour sa part fortement les automobilistes à laisser leur voiture et à prendre les transports en commun le plus tôt possible avant d’arriver dans l’agglomération.
La communauté d’agglomération va mettre à disposition des parkings relais provisoires en plus des parcs relais SYTRAL existants, dans le secteur du Val-de-Saône, par exemple à Rochetaillée, à Collonges, à Limonest, à Charbonnières, à Ecully ou à Dardilly. Les automobilistes pourront alors garer leurs véhicules à proximité de lignes de bus ou de gares TER. Ces parkings provisoires représentent environ 1200 places.
Carte des déviations du Grand Lyon
Pour les plus courageux ou ceux qui n’ont pas le choix que de laisser la voiture au garage, des déviations seront mises en place :
Le matin, pour ceux qui viennent du nord du département et qui empruntaient le tunnel de la Croix-Rousse : pour franchir le Rhône, le mieux est de prendre la rocade Est, puis l’A42 pour faire la liaison avec le périphérique Laurent Bonnevay afin de rentrer dans Lyon par Villeurbanne ou par Bron.
Autre alternative : prendre le Boulevard Périphérique Nord. Le Grand Lyon conseille cette solution et incite les usagers en baissant l’abonnement de 20%. En longeant la Saône vers le sud, on peut le prendre soit par la Porte de Rochecardon soit par la Porte de Vaise. Il faut alors sortir sur le boulevard Stalingrad derrière le parc de la Tête d’Or, ou reprendre le périphérique Laurent Bonnevay.
Enfin dernière solution, pour éviter de prendre le quai Saint-Vincent et la rue Grenette (traversée de la Presqu’île) : le mieux, lorsque l’on est à Vaise, est de remonter pour prendre le pont de l’Ile Barbe pour gagner Caluire par la Montée Castellane ou celle du Vernay. Il faut ensuite traverser la Croix-Rousse pour redescendre par les Terreaux.
Le soir, pour regagner le nord par le tunnel de Fourvière, il faudra éviter la rue de l’Université et le cours Gambetta, ainsi que le pont Pasteur à Gerland. La moins mauvaise des solutions est de passer par le centre-ville, d’aller récupérer les quais de Saône et de rentrer le plus tard possible dans le tunnel à hauteur du pont Kitchner.
Par ailleurs, les feux tricolores seront reprogrammés aux abords des chantiers. Par exemple, avec la rue Grenette qui sera un itinéraire de substitution, la reprogrammation des feux permettra de gagner 30% de capacité en plus en heure de pointe du matin.
Le SYTRAL va de son côté renforcer le réseau TCL en déviant certaines lignes de bus. Par exemple, la ligne C6 sera coupée en deux sections (elle emprunte habituellement le tunnel dans les deux sens) : elle circulera donc entre "Le Pérollier" et "Serin St Charles" (rive gauche de la Saône) d’une part, et entre "Jet d’Eau" et le "Pont De Lattre de Tassigny" (rive droite du Rhône) d’autre part. Côté métro, la capacité de la ligne D qui accueille 290 000 voyageurs par jour sera augmentée de 10%.
Retrouvez ici l'interview de Bernard Rivalta, le président du SYTRAL.
Ces chamboulements permettront peut-être aussi à certains Lyonnais de passer le cap du covoiturage. Une plateforme internet a été créée par le Grand Lyon. Des aires de covoiturage ont été mises en place comme à Collonges-au-Mont-d’Or, Dardilly ou Genay. L'idée est de proposer aux covoitureurs et covoiturés des points de rendez‐vous pour faciliter leurs trajets. Ce service est accessible depuis le mois de juin dernier via des applications smartphones et tablettes.
Enfin, le Grand Lyon va en plus renforcer sa communication à l’aide de différents moyens : des panneaux lumineux, des sms (sur demande de l’usager), des applis mobile, ou encore un numéro vert (0 800 15 30 50). Le site www.infotrafic.grandlyon.com va également être mis à contribution, comme les radios locales.
Sans payer Theo prenez le périph Nord, puis le boulevard Laurent Bonevay et le tunnel de la Croix-Rousse.
Signaler RépondreEn arrivant à Bron, au moment de choisir entre périph sud ou périph nord :
Signaler Répondre-periph nord est + court et rapide, mais payant (2€20 je crois)... une fois dans le tunnel du périph, suivre paris, puis dardilly
-periph sud est + long (et sans doute + sujet à bouchons), suivre paris, prendre le tunnel sous fourvière, puis suivre dardilly
-Option à tenter : suivre periph nord, puis prendre la dernière sortie gratuite (porte de la pape), longer les quais de rhone le long de la sortie internationale, direction croix-rousse, passer par le tunnel sous la croix rousse, puis suivre direction paris, puis dardilly
pour aller a dardilly en provenance de chambery en voiture ou faut-passer?
Signaler Répondrepour aller a dardilly en provenance de chambery ou faut il passer avec une voiture?
Signaler RépondreINADMISSIBLE !!!!!!!!!!!!!!! Les quais de saone sont en chantier monumental au meme moment ou le tunnel va fermer : comment vont rouler les habitants des quais de saone ? avec plus de bus ??? AhAhAh, il n'y a qu'une ligne (le 40) et aucune voie speciale pour le bus qui va se retrouver dans le meme engorgement des voitures !!! c'est lamentable, c'est une honte !!! et une perte d'argent pour bon nombre de liberaux qui ne pourront honorer leurs rdv a temps...faute d'intelligence politique et financière...
Signaler RépondrePour que l'employeur participe à 50% du prix de l'abonnement, il faut que vous preniez le bus pour le boulot. Mais si tu bosses en dehors de Lyon, et qu'aucun bus ne passe vers ton boulot. Tu fais comment ??
Signaler RépondreTu n'as pas le choix que de prendre ta voiture.
Avec la fermeture du tunnel il faudra partir plus tôt, pour éviter les bouchons.
ça va être la galère d'aller au boulot pendant 9 mois voir plus.
Mais bon nos chers hommes "politiques" de Lyon s'en moquent....
Ils ont chauffeurs et autres à leur disposition.
Monsieur le MAIRE, demandez à nos EMPLOYEURS de bien vouloir participer à nos dépenses de transport pendant la fermeture du TUNNEL...
IL FAUT BIEN REVER UN PEU AUTREMENT LA VIE SERAIT BIEN "MOROSE"....
Bon courage pour tous les USAGERS DE LYON
52,60 € l'abonnement 1 mois, payé de moitié par son employeur (c'est obligatoire), ça revient bien moins cher que 1,60 €. Le ticket sert pour les voyages occasionnels. Et même avec les tickets les plus chers, les transports en commun coûtent bien moins chers que l'entretien d'une voiture ! Et la plupart du temps, le trajet est plus rapide. Donc l'excuse du prix du ticket... Bidon
Signaler RépondrePrendre le bus ,mais a quelle prix 1,60 euros le ticket c est scandaleux monsieur le Maire ,mais vous vous en foutez vous, voiture avec chauffeur vous ne payé rien,ral le bol a bas, les privilèges et les décisions débiles
Signaler RépondreLes contribuables lyonnais n'ont qu'à prendre un véhicule avec chauffeur comme MM. Collomb et Touraine qui montrent quotidiennement l'exemple.
Signaler Répondrebonjour, il y a bien eu un 'appel d'offres" les travaux nécessitants la fermeture du tunnel sont trop importants et trop risqués pour ne pas fermer le tunnel.
Signaler RépondreVous auriez du visiter le tunnel lors des journées portes ouvertes du patrimoine, afin de ne pas dire n'importe quoi.
Certains travaux ne peuvent pas se faire la nuit. De plus, il faut faire beaucoup de dérogations auprès des services compétents pour faire travailler les "ouvriers" ou les "contremaîtres" la nuit. En France ce qui paralyse beaucoup les gros chantiers, c'est "TOUTE LA PAPERASSERIE". Mais bon il faut aussi que les chantiers soient bien "structurés" pour éviter les accidents et les abus.
Prendre les transports en commun ?
Signaler RépondreBeurk, c'est pour le peuple ça, c'est pas pour moi.
Neuf mois de travaux ? Sans doute portés à douze en cours de route, une habitude bien prise par les attributaires de marchés publics (avec effet sur le coût du chantier au moins proportionnel) . La durée du chantier n'a sans doute pas été prise en compte dans l'appel d'offres, s'il y en a eu un.
Signaler RépondreDans certaines villes modernes, par exemple Singapour ou New York, les travaux les plus lourds se font la nuit de minuit à cinq heures, avec des matériels très insonorisés, et la circulation est rétablie le jour. Evidemment, il y a du monde qui travaille, pas deux ou trois ouvriers qui poussent le caillou sous la surveillance de six contremaîtres et de deux ingénieurs.
Mais on est en France.
Je suis sûr qu'il y aura un reportage amusant à faire sur la conduite du chantier...