Interrogé par l'hebdomadaire d'extrême droite, il jure qu'après sa suspension de cinq ans et son retour à la faculté à la rentrée 2011, on ne lui a pas forcé la main : "Personne ne m'a poussé à prendre cette décision. Je l'ai prise tardivement et à regret, mais je pense que c'était le bon choix". Bruno Gollnisch, qui croit avoir eu "d'excellentes relations" avec ses étudiants, explique qu'il lui était "de plus en plus difficile" de concilier son poste à l'université avec sa carrière politique. Ses problèmes d'emploi du temps désormais réglés, Bruno Gollnisch envisage d'écrire sur "les relations Orient - Occident, sur l'avenir prévisible de nos sociétés et sur les enjeux auxquels la France devra faire face à court ou moyen terme".
Un angle de l'actualité intéressant de sa part et qui fait réfléchir sur la route prise par nos sociétés de tous pays. Je ne suis pas de son bord, mais certaine idées méritent largement d'être entendues par nos gouvernements.
Signaler RépondreMerci M. Gollnish.
Signaler RépondreJ'ai apprécié l'homme, ses compétences et ses qualités humaines n'en déplaise aux ayatollahs de gauche.