Ce dernier s'était déjà attiré les foudres du secrétaire départemental frontiste Christophe Boudot à cause d'une chanson de son album Vengeance où il évoque la mort de Jean-Pierre Stirbois, ancien secrétaire général du Front National.
Mais sur le Lab d'Europe 1, Bruno Gollnisch a été encore plus loin : "Si je croisais Benjamin Biolay, je le giflerais. J'aimerais bien le provoquer en duel. Mais je crois qu'il est un peu plus jeune et vigoureux que moi, cela dit".
Fleuret ou pistolet ?
t'énerve pas bernard lui aussi a des amis, restez au calme chez vous, ça vous évitera des bleus
Signaler Répondrelol un duel xD
Signaler Répondreça en dit long sur l'époque à laquelle croit encore vivre ce clown.
"Si je croisais Benjamin Biolay, je le giflerais. J'aimerais bien le provoquer en duel. Mais je crois qu'il est un peu plus jeune et vigoureux que moi, cela dit"
traduction -> "je voudrai lui péter les rotules, mais je me chie dessus, alors si je le croise, je changerai de trottoir"
sacré nono...
Et en réponse, Benjamin te biflera, tu le mérites
Signaler RépondreAutogifle toi plutot Bruno, tu rendrais service à la société ! mouhahahahahahaha !
Signaler Répondret énerve Bruno nous allons aller le voir a concert . j organise cela avec quelques uns de nos amis
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