Dans un entretien au Progrès vendredi matin, le président de la Chambre de commerce et d'industrie estime que "les décisions prises par le gouvernement vont dans le bon sens". Selon lui, il était impossible pour le gouvernement de prendre des mesures plus drastiques encore : "On ne peut pas provoquer une fracture sociale supplémentaire". En revanche, au sujet des contreparties évoquées par Pierre Moscovici lors de sa visite à Lyon, et auxquelles devraient se soumettre les entreprises au sujet de l'investissement et l'emploi, Philippe Grillot réplique : "Il faut accepter le principe du libéralisme et du libre-échange et balayer devant notre porte, avant de balayer celle des autres". Si la hausse de la TVA pour la restauration est "une déception" pour le secteur, le président de la CCI estime qu'il faut maintenant "faire preuve de solidarité. Chacun doit participer à l'effort national." Pour Philippe Grillot, la lutte pour la compétitivité passe par l'innovation : il prévoit ainsi de créer un think-tank qui sera consacré à l'entreprise de demain.
Lui, si l'occasion se présente aura à coup sûr un cabinet ministériel !
Signaler RépondreAlors les électeurs de fh et ses copains, ça fait quoi d'avoir voter pour un candidat des patrons ?!
À la soupe !!!!! Slurp slurp
Signaler RépondreUne collecte de cirage est organisée à la bourse par le Grand Lyon.
Signaler RépondreAvec toutes ces commissions, think thank, et autres réunions de brainstorming la France est le pays qui réfléchit le plus, donc ne peut pas produire avec la même compétitivité que les autres pays qui ne réfléchissent pas.
Signaler RépondreSi l'on veut être compétitif ne faut-il pas arrêter de réfléchir et se mettre au boulot ?