Lors de la présentation des comptes fin octobre, le président de
l’Olympique Lyonnais avait annoncé que deux cadres seraient transférés
dans l’optique de l’allègement de la masse salariale indispensable pour
rééquilibrer des comptes déficitaires depuis plusieurs années
maintenant.
Mais la position de l’OL aux avant-postes de la Ligue 1
dont il occupe actuellement la première place, après 14 journées, change
un peu la donne.
JMA se veut prudent à l’heure d’évoquer la
possibilité de reprendre le titre perdu en 2009 et tempère les ardeurs
rappelant les déceptions nées des défaites à Nice en coupe de la Ligue
ou plus récemment à Toulouse mais l’ambition demeure au club.
Après
son annonce, les rumeurs les plus folles commençaient à circuler dans
les esprits des supporteurs, notamment la vente de Gomis qui apparaît
totalement farfelue alors qu’il est le meilleur buteur de l’équipe avec
notamment trois buts mercredi au Vélodrome.
Certes, celle de
Gourcuff, qui semble beaucoup moins indispensable, comme il l’a prouvé
face à l’OM par son absence sur blessure, annoncée dans l’après-midi sur
le compte Twitter officiel de l’OL, serait plus envisageable, à
condition toutefois de trouver un acheteur qui veuille bien reprendre
son salaire de plus de 400.000 euros mensuels.
Et rien n'indique que Bastos ne soit pas encore sur la liste des transferts après son départ manqué cet été.
"Bien
sûr, que la vie des entrepreneurs ou des présidents de clubs est faite
de réflexions quotidiennes. Lorsque l’on est chef d’entreprise, il y a
des conditions économiques et des situations concurrentielles qui font
que l’on doit éventuellement savoir changer d’avis", reconnaît Jean-Michel Aulas.
"Nous
sommes très contents d’être là où nous en sommes aujourd’hui et d’avoir
une profondeur de banc avec cette jeunesse qui nous permette d’imaginer
que l’on puisse quelques fois se séparer de joueurs. Cet été, tout le
monde imaginait que l’on s’était mis dans une situation de compétitivité
qui ne nous aurait pas permis d’être là où nous sommes", poursuit le
président.
"Oui, nous réfléchirons évidemment aux implications. Il
faudra voir aussi à quelle place nous serons le 23 décembre. Tout est
possible. Il faut savoir changer d’avis quand la raison demande de le
faire par rapport à ce qui a été dit précédemment", conclut-il.
En
clair, rien n’est décidé réellement. Il ne s’agit pas d’affaiblir
l’équipe, de savoir ce qu’entendrait JMA par "cadres" et de déterminer
leur influence réelle sur l’efficacité du groupe.
MOI JE LUI CONSEILLE DE PRENDRE MARC FRAYSSE ANCIEN JOUEUR SELON LUI DE L EQUIPE 1 ERE DE ST ETIENNE
Signaler RépondreMr "Foot-Business" devrait réfléchir à financer ce nouveau stade avec ses sous et non l'argent publique !
Signaler RépondreFaut prendre un vieux briscar au mercato dhiver. Genre Malouda. On dégage Bastos, trop cher, trop nul et on termine l'année en champions !
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