Ils sont accusés d'avoir fabriqué et tenté d'écouler de faux dinars
algériens. L'État algérien s'est porté partie civile.
Les faits remontent à 2006, lorsque les prévenus avaient volé un
important stock de papier fiduciaire destiné à la Banque centrale
algérienne. Le réseau avait été démantèle fin 2009 par la police
judiciaire de Lyon. A l'époque son n°2 était le commissaire Michel
Neyret, mis en examen depuis dans une affaire de corruption.
Le procès doit durer trois semaines et le verdict est attendu le 21
décembre.