Certains avaient en leur possession des bombes lacrymogènes ou des poings
américains. Une dizaine d'entre eux sont donc convoqués devant un juge.
Les autorités n'avaient pas lésiné sur les moyens pour
éviter tout débordement, 1 500 policiers et gendarmes avaient été
mobilisés. Au final, les dégâts ont été limités.